logique... on n'était pas tous à poursuivre notre propre démesure... la société paysanne était une société de rareté, et on ne cultivait donc pas des rêves de possession. On cultivait l'art du peu, et la satisfaction poétique et spirituelle. Plus de temps à l'amour. La société industrielle a besoin de notre consommation (de choses pas vraiment utiles) pour tourner. Et de nos entreprises (pas vraiment utiles) basées sur nos ambitions (pas toujours bien placées). Bref, la société industrielle a besoin d'une surexciation économique permanante pour ne pas s'effondrer sur elle-même. Du coup, elle sollicite naturellement notre mauvaise pente et nos vices. C'est un peu déplorable. Je pense que ça impacte directement sur notre disponibilité à l'autre, à soi, et donc à l'amour et au bonheur. C'est juste un forme d'hubris comme disaient les anciens. Peut-être en reviendra-t-on, avec l'épuisement actuel. Qui sait...

19olivier72 Ce qui est exceptionnel ce n’est pas qu’elle parlait un bon français, mais plutôt qu’elle parlait parfaitement breton.

elle parle mieux le français que certains qui ont fait des études en 2022.

C est sur.le monde est fou de nos jours

Sauf que ce n’est pas la France...

@@morzhed-hoqh732 la modernité les gens l ont voulu non ? 🛠️👍

Mon ile le manque

il n"y a pas de belle epoque

Les langues régionales ont disparu naturellement, elles sont remplacées par de nouvelles etc etc... C'est un cycle naturel.

@@jackyzboub5607 Les langues régionales n'ont pas encore disparu, mais beaucoup sont en danger oui , et la baisse des locuteurs est loin d'être naturelle puisqu'en partie voulu par l'état et l'éducation nationale car (entre autre) interdites à l'école pendant longtemps avec une véritable volonté de les faire disparaître chez certains individus (membres de l'administration, de l'éducation etc).

@@blevek8516 Moi je trouve au contraire qu'il y a un revival des langues régionales...on ne compte plus les écoles diwan en Bretagne quant au secteur Gallo tous ceux qui y ont été plongé dans leur famille voir les réunions de famille le comprennent et savent le lire s'ils ne le parlent pas où peu...mais c'est surtout une histoire de complexe vis à vis des aînés...car ils se moquent des blanc-becs qui n'articulent pas bien leur patoie! Lol

@@jackyzboub5607 Les "langues régionales" disparaissent à cause du centralisme. Il est très cynique de dire que c´est un cycle naturel. D´ailleurs, ce son de langues nationales, on peut faire partie d´une nation tout en étant integré à l´état français. Le terme "langue régionale" est péjoratif.

@@jackyzboub5607 Les langues régionales ont disparu naturellement? C'est vrai que la véritable guerre faite depuis des siècles à ces langues, l'interdiction officielle d'enseigner le breton jusqu'en 1951, l'absence de soutien de l'État aux réseaux immersifs, les bâtons constamment mis dans les roues des acteurs de la langue bretonne même à notre époque, l'interdiction, encore aujourd'hui de donner certains prénoms breton à son enfant, l'absence d'une offre télévisuelle suffisante etc, tout cela n'a aucunement aidé à cela... Franchement, ce qu'il faut pas lire...

Bonjour, oui mais cependant l'époque qu'elle regrette ici était une époque bien différente de la notre, un monde que peu de personnes aujourd'hui peuvent connaitre. Une vie dure certes, mais plus simple et bien moins individualiste...

N'importe quelle époque les anciens regrettent celle d'avant. Les actuelles personnes de 70 ans nous disent à quel point les années 70 furent libres, belles et simples, et quand tu remontes dans les années 70 des gens de 70 ans te dise que c'était mieux avant, dans les années 30.. et dans les années 30 on voyait des écrivains nés fin du 19e comme Zweig qui plaignaient ce nouveau siècle et regrettaient la vie de 1895 a 1910. C'est dans la nature humaine que de regretter une période révolue

Non en fait on regrette tous la même époque

Oui, l'île de Sein a été fait compagnon de la libération et cette femme porte l'insigne représentant l'emblème de la France libre. Elle porte fièrement l'insigne de son mari. Car les 128 hommes de l'île a l'appel du général de Gaulle sont tous partis le rejoindre en Angleterre en 1940.

@@foudebassan56 Honneur à ces patriotes, de VRAIS hommes. Combien en feraient autant aujourd'hui ?...

D'accord, et peut on dire : " c'est mieux aujourd'hui ?"

@kellyozore, ben oui, c'était "réellement" mieux avant.

@@herveconteurdhistoires6715 Je n'ai jamais connu 'l'avant'. Chaque époque a ses bons côtés et ses moins bons.

Non, c'est bien mieux aujourd'hui. Pour nier les progrès faits il faut vraiment être un vieux ronchon.

@@Antitheiste ce n'est pas le progrès qui est en question, ce sont les rapports humains!!!..

Oui d’ailleurs ils ont eu des soucis à force… 😅

Non non elle a 135 ans maintenant!

@@daviddrenth90 mdr.

@@daviddrenth90 Vu l'âge de cette dame à l'époque du reportage ( 1973 ), cela ne fait guère de doute ...

?

@Quincy The Great c est certain🤣🤣🤣

L’INA est l'institut national d'audiovisuel qui a pour mission d’archiver pour l'histoire. Je ne comprends pas votre discours manipulateur. Hors sujet encore une fois...

C'est justement les boomers qui ont quitté l'île pour aller "travailler sur le continent" et profiter des bienfaits des trente glorieuses et de la société de consommation... Cette dame est d'une génération bien antérieure au Baby Boom.

OK LOOSER

l'exode rural a commencé vers 1860 et s'est fini vers 1960 en gros... ce fut pareil dans toutes les régions de France, par vagues successives.

cette dame n'est pas de l'époque des boomers, elle est la mère voire la grand-mère d'un boomer..faut pas tout mélanger

Oui comme l'était l'Algérie, le Sénégal,...