Merci à vous 😊

C'est un peu le but de le faire connaître. Alors que la France était écrasée sous la botte allemande, il y en a qui n'ont jamais renoncé et se sont battus comme des lions !

Je pense, que c est surtout l ambiance et la pression des membres de sont unité ! Voir plus que de simples dispute , les mecs devait lui en vouloir, méchamment de pas respecter les bases en combat ! Et mettre leurs vie en jeu , pour sortir de la formations , pour acquérir des victoires perso , Qui était extrêmement dangereux pour les mecs , de sont stick qui mets en danger a chaque fois , qu'il volé ensemble , Faut imaginer l ambiance au mess , et entre eux ! Au sol. les vidéos d après mission , qui montre qu'il pensé pas a ces coéquipiers malgré sont énormes talent il mets ses coéquipiers en danger de mort. , surtout pour la mentalité stricte de la chasse allemande connu pour sont sérieux et force d élites super importante , pour la doctrine allemande de la célèbre blitzkrieg ...

Merci Jean !

Merci, Jean !

Je me réserve Jaco pour plus tard ! J'ai déjà son témoignage oral, mais il faudrait que j'aille au SHD pour compulser son dossier.

Bonjour Jac : HJ Marseille n'a remporté aucune victoire aérienne sur le front de l'Est, il n'y est jamais allé. Tous ses succès ont été remportés sur l'Angleterre (7 revendications) et surtout, au-dessus de l'Afrique (151). De toute évidence, un redoutable pilote.

@@davidmechin6227 Bonsoir et merci, je mélangeais un peu avec tous ces as, Molders, Galland, Hartmann, ceux qui ont combattu les sorcières de la. Nuit... Cordialement Jac

Clostermann avec deux N, bien que né au Brésil il était de souche alsacienne par son père et lorraine par sa mère. Ses récits sont un must sur cette époque et j'ai eu la chance de le rencontrer un jour à Strasbourg en compagnie de son vieux complice Remlinger.

@@CHADDOCK67 Bonjour. Quelle chance vous avez ! Pour ma part j'ai eu la joie de croiser des gens de la France libre et des compagnons de la libération à leur siège rue Vergniaud à Paris XIII ; lieu que M. CLOSTERMANN honorait de sa présence quelquefois. C'était un endroit où il était possible pour le public de déjeuner... J'y ai rencontré des personnalités qui le connaissaient et nous avons pu parler de son grand cirque. En revanche je demandais aussi pourquoi Jean Maridor est si peu nommé dans les publications sur la seconde guerre mondiale, notamment ce qui touche au FAFL et autres pilotes ayant servi pour la France, malheureusement je n'ai reçu aucune reponse. Peut-être en savez vous plus ? Pour conclure, de 2005 à 2013, j'avais une réunion mensuelle quasi en face de leur bâtiment, - ainsi, étant passionné de l'histoire de cette période, c'était pour moi un privilège de côtoyer ces femmes et ces hommes. Merci pour cet échange. Cordialement Jac

@@handicapgardfederation438 La rencontre a eu lieu en 1999 de mémoire, Avenue de la Forêt Noire à Strasbourg, il était invité à un meeting à Entzheim et il déambulait bras-dessus bras-dessous avec Jacques Remlinger, je me suis permis de les interpeller, après avoir hésité car je ne m'attendais pas à les rencontrer ici ! Nous avons échangé quelques mots et Clostermann était très affable, mais ce n'était pas le lieu pour avoir une grande conversation et j'en garde un souvenir ému ! Concernant les pilotes méconnus des FAFL (ainsi que du Normandie Niemen) il y beaucoup de héros méconnus, tous n'avaient pas les talents d'écrivain de Clostermann et beaucoup sont restés anonymes ! Donc pour Maridor effectivement je n'en sais pas plus que sa disparition héroïque lors de la destruction du V1... Cdlt

Clostermann n'a jamais été humble... Jamais. 😌

@@davidmechin6227 quand on avoue avoir eu la frousse et que l’on relativise en disant qu’on a aussi eu de la chance ce n’est pas forcément de la fausse modestie... en tous cas pas pour lui. En général ces pilotes avaient une certaine estime d’eux mêmes... Closterman n’a jamais hésité à dire qu’il tirait comme un pied. Il a suffisamment écrit aussi que lors des combats il s’éloignait de certains pilotes Allemands, conscient de leur supériorité.

@@guidopapeete1021 Cher Guido, ne confondez pas ses écrits littéraires et le personnage réel. Il disait aussi qu'il n'était pas modeste à cette époque, ce que confirme (entre autres) Hemingway qui a visité son escadrille en 1945 et y a vu un "mad Frenchman" ou quelque chose comme ça. Après la guerre cela n'a pas changé puisqu'à une réunion de compagnons de la libération, il a mimé aux vétérans du Normandie-Niemen consternés que leur victoires étaient de la (il mimait un joueur de flute). L'un d'eux lui a répondu par écrit qu'il était de l'escadrille des joueurs de balalaïka, puisque le pipo n'existait pas en URSS. Bref... 😏 Ça n'enlève rien à ce qu'il a fait pendant la guerre, à son habileté de pilote et plus généralement au courage qu'il a eu - volontaire pour un second tour d'opérations, rien que ça. Mais prenez ses écrits avec un minimum de recul.

Content de vous avoir fait découvrir l'histoire d'un de nos aviateurs Compagnons de la Libération. A l'heure où tous nous ont quittés, la moindre des choses est de raconter leurs aventures...

Cher BFVK, oui et oui. 😉

@@davidmechin6227 Bien reçu, j'ai hâte de découvrir les pièces les plus originales de votre collection, gage d'un sujet tout aussi original :-)

Et en plus, il porte aussi de beaux chapeaux dans la vie de tous les jours.

Tout le monde n'est pas au courant ...

C'est pas faux. "Au Levant" eut été un terme plus correct.

Cher Sylvain, je vous confirme que les coiffes sont rigoureusement indispensables. D'ailleurs, je les porte dans la vie de tous les jours.

Je peux en attester, je t’ai vu au musée des pionniers avec meme une fausse barbe

J’atteste, je l’ai vu au musée de l’air avec un chapeau