Voilà une émission authentiquement Française. A l'heure ou France Télévision tente de gommer nos racines un vent de résistance souffle sur le Net. Merci à TVLiberté. Continuez à innover.

Excellente émission. La fabrication et la restauration a l'ancienne, c'est mon boulot, c'est même une passion. On ne devient pas riche, mais on se fait plaisir.

Souhaitons un max de vues pour une suite. Très bon doc. Merci.

Excellente émission, bravo à vous !

Parfois un peu abrupt sur la forme, mais vraiment riche sur le fond. C'est très prometteur pour la suite !

Superbe reportage 😍 Merci à vous deux Patrick et Pierre 👍

Très bonne émission!

magnifique emission un vrai artisan

Révoution française-Terreur: à la question "Est-tu royaliste ou républicain?", un pauvre gars répondait inlassablement: "J'suis ébéniste".

C est super ,j adore et j ai été obligé et il le dit dans le reportage de quitter la FRANCE car je n arrivais pas a en vivre et surtout trop de paperasserie un vrai désastre ,suis au CANADA depuis 20 ans et cela n a rien a voir ,j ai la haine contre les cons prétentieux qui sont a l ÉLYSÉE depuis 40 ans et qui détruisent le pays

VERY NICE!!

Une émission dans l'atelier d'un taxidermiste, serait intéressante. > Deyrolle, Rue du Bac, Paris ?

Émission très intéressante : je vais me précipiter pour acheter le produit miracle "royal" pour lustrer mes boite en tortue , en ivoire en argent , .... J'ai hâte de voir l'émission sur le Serrurier ! n' est ce pas Pierre ?

Dommage que ça paie pas bien .

Faudra faire quelque chose pour le son, pour les prochaines émissions. Là ca grésille, ca siffle, pas toujours top. Par exemple a 28:28, le son est pas synchro avec l'image, et la qualité du son fait penser à un appel téléphonique.

typique: je constate les mêmes inepties égoïstes dans mes domaine artistiques, tentative de plagiat, anti-libéralisme, anti-création (art), anti-conservatisme et anti-patriotisme compris. Attention, la création est possible dans tous les domaines même aux contraintes et outils les plus ancestraux. Un cuisinier ou un sculpteur ou un peintre peut faire évoluer sa discipline aujourd'hui même si ce sont parmi les plus vieux métiers: les possibilités du réel sont inépuisables. Cette modernité n'est en rien liée aux machines, ou autres technologies de l'outil, du médium. C'est vrai pour tous les arts pour celui qui est cultivé, sans forcément passer par l'esbroufe ou le rejet de références aux oeuvres du passé. Cette vision technologiste de l'art est une catastrophe notamment en musique ou on fabrique des générations de "sourds" et de "manchots" sous prétexte qu'ils "mixent" et "écrivent"! "La pittura e cosa mentale" ("la peinture est une chose mentale") était pour Léonard de Vinci une manière de résumer l'idée que la main obéit au cerveau et donc ce qui sort de la main, du cerveau. La preuve, les singes ont 4 mains et ils ne font pourtant aucun métier "manuel"! Pour Hegel, un musique qui ne sort pas directement du travail du corps humain, est forcément une musique sans âme (il y avait déjà des automates musicaux sophistiqués à son époque, notamment, des joueurs de piano). Enfin, les plus grand théoriciens utilisent depuis bien longtemps et toujours les mêmes outils archaïques: un crayon et une feuille de papier: est-ce que cela en fait des passéistes ou des gens incapables de création? Et que dire de ceux qui n'utilisent que leur voix et leur corps, dans leur métier, sans outil ou accessoire (théâtre, danse, politique, etc.)! A méditer! En tant que diplômé de l'école nationale supérieure des arts appliqués et des métiers d'art et de la faculté d'arts plastiques, je connais bien l'approche théorique et pratique du sujet en profondeur et à un haut niveau (et j'ai été primé nationalement par des professionnels pour un ouvrage pédagogique de musique où je suis carrément autodidacte).

j ai pas compris la phrase a 13mn "une future cliente de dodo la saumure", j ai l impressio que c est une blague ratée non..?

Bon compagnon travail et chante, car chanson vaut mieux q'un discoure pour rendre les outils mien lourds et l'existence mien méchante.