Interessant comme sujet. .aime bien la notion de "nouvelle amitié " la sympathie vibratoire, relation non polarisée relation non subjective et libre tenant compte de l'unicité de chacun! Merci Marco!

Une chose qui nous handicape beaucoup sur le chemin de désastralisation me semble être la peur de perdre ; cette peur qui s'infiltre partout et est parfois difficile à repérer et à déloger. C'est toujours cette histoire de manques, de faux besoins , le fait d'attendre de l'extérieur, alors qu'il n'y a rien pour nous à l'extérieur, tout est à l'intérieur ou à créer soi-même.

Brûler les liens d’assujetissement, c’est, avant tout, un profond respect pour soi-même, c’est savoir instantanément ce qui est intelligent pour soi. Au delà d’un choix, c’est une décision instantanée. Et qui dit décision consciente, dit tentative de récupération directe et indirecte, donc observation interne et externe de ce qui se joue. C’est vicieux, et souvent cela implique une seconde décision : la mise à distance de ceux qui sont magnétisés à leur insu. En observant le phénomène, on voit clairement l’objectif des forces en arrière : ralentir et faire souffrir.

Je me reconnais tout à fait dans l'exemple étant parisienne et partie vivre en Martinique. Si j'avais écouté famille et amis c'est certain que j'aurai regretté de ne pas avoir saisi l'opportunité.

Déjà la notion de pardon est encensée, encouragée dans divers mouvements, religieux ou autres. Et qui est censé apaiser. Dans d’autres milieux c’est la vengeance qui va apporter cette « paix » et surtout sauver l’honneur. Dans un cas comme dans l’autre, il y a comme un besoin d’assouvir, de remplir un espace, une quête extérieure impliquant un mouvement polarisé. Ah, j’oubliais : Ii y a aussi le Ho’oponopono, formule magique à partir de laquelle tu risques de te charger d’un karma supplémentaire ! Le savoir permet d’adapter, d’adopter une position équilibrée et juste pour chaque situation. Merci Marco

La notion de pardon, telle que tu la présentes, fait vraiment écho. Si tout jugement devient caduc, le pardon en tant que pardon d'une "offense" n'a plus de sens , il n'a plus lieu d'être, plus de lieu pour être. A propos de se désassujettir de tout lien ... on nous a pourtant appris l'inverse, jusqu'à valoriser les notions de "lien", d'"attachement" ... Si on est lié ou attaché, qu'en est-il de notre liberté ? (Voir la fable de La Fontaine: "Le loup et le chien" : "Attaché dit le loup ? Vous ne courez donc pas où vous voulez? " ) Les stratégies pour nous "attacher" sont parfois bien subtiles, parce qu'on nous montre clairement ce qu'on a à y gagner, et c'est plus facile que d'aller à contre-courant. Mais pourtant "Je sais ! ". Ce qui est extraordinaire, c'est qu'on a toujours la solution en nous !

L'absorber = l'alchimiste oeuvrant , voilà ce qui me vient

Merci Marco pour les balados tjrs très intéressants J ai une question : est-ce que l écriture peut nous permettre de nous désassujetir ou uniquement que par la parole vibratoire et mentale que cela se passe ? Merci

Si cela fait son chemin dans l'être humain qui va le recevoir comme tu le dis si bien Marco, de par le principe de l'équilibre en action propre à chacun donc, comment savoir ou plutôt distinguer si ce processus n'est pas ralenti voire empêché par de l'intellectualisation psychologique limitante non vue en tant que telle ?