Avec plaisir. ;-)

Avec plaisir.

Avec plaisir 😀

L'histogramme peut aider, mais ne permet pas de savoir ce qu'on mesure. Et il a aussi l'inconvénient d'être le résultat d'une image déjà traitée par le boîtier

Content que le contenu plaise 😉

Merci pour ce retour. Oui j'essaie d'agrémenter les vidéos de quelques graphiques et autres illustrations pour les rendre plus vivantes

Avec plaisir 😀

Avec plaisir 👍

👍

Merci pour le retour 😉

Merci a vous. C'est en effet ma passion, mais pas mon métier 😉

Avec plaisir

Avec plaisir 👍

Merci a toi

Oui 2 mois pour être exact. Entre vie de famille, obligations professionnelles et déconvenues dues au COVID, je n'ai plus grand chose comme temps libre.

@ souvent je pensais, tiens plus de vidéos déclic numérique, bizarre. Je comprends, ça prend beaucoup de temps et d’investissement. A très vite.

Merci 😉

Avec plaisir 🙂

Tout le plaisir est pour moi.

Avec plaisir, bonne soirée a toi également.

Avec plaisir.

C'est donc très clair mais encore avec encore du détail récupérable 😁

Génial ! Content d'avoir pu aider.

@ oui merci et on aimerait bien une autre vidéo sur le même sujet mais sur les modes de mesure à utiliser dans ces conditions. Merci bcp

Il faut prendre un peu de temps pour tester au début, et après ça devient naturel.

C'est un sujet que je compte bien aborder... Contraste de lumière, contraste de couleur, contraste de 'sens' ... Il y a de quoi faire en effet.

@ t’as tout compris ! En mesure de lumière ils en a beaucoup qui confondent le contraste du sujet et le contraste générés par l’éclairage. En cinéma on tourne beaucoup à l’ombre et souvent au nord pour avoir une lumière plate et constante…

Les boîtiers sont de moins meilleurs que les smartphones. La différence c'est le logiciel. Un smartphone combinera automatique ment plusieurs expos. C'est du bidouillage logiciel avec des rendus très stéréotypés. Personnellement je n'en voudrais pas sur mon matos. Si je veux je peux le gérer avec une qualité de loin supérieure avec mon appareil, mais au moins j'ai le choix

Oui ce sont des sujets que j'ai déjà traité, il y a d'ailleurs 3 vidéos consacrées au HDR

Oui je sais le reflet est gênant, j'ai une fenêtre occultée devant moi et il y avait juste une petite zone non couverte, d'où ce reflet, je ne l'avais boas vu dans le retour vidéo.

Bonne idée 😉

Oui et non, ça dépend des boîtiers. Sur les Sony c'est jouable,les zèbras sont suffisamment personnalisables. Notamment le fait de pouvoir définir un seuil de 109% qui correspond a l'ecretage raw.

Si les ombres ne sont pas assez denses et les zones claires pas assez claires, c'est que la dynamique de la scène n'est pas très élevée. Il n'y a rien a faire a la prise de vue, c'est au post-traitement qu'on peut amplifier le contraste.

Oui et non. En soi notre œil n'est pas si performant qu'on le pense. C'est notre cerveau qui fait de la post prod. Suffit de se concentrer sur une zone d'ombre pour se rendre compte qu'on ne voit rien dans les zones claires. Naturellement notre cerveau combiné plusieurs images pour en composer une plus riche. Un peu comme du HDR en somme.

Avec plaisir,mais moi c'est Steve 😅

Ha ça ... si je voulais être soutenu par KZfaq je devrais clairement changer de stratégie ;-)

Le problème de la mesure incidente, c'est qu'il faut que la cellule soit dans les mêmes conditions de lumière que la scène. Quand la luminosité est uniforme pas de souci, l'endroit importe peu, mais dans le cas contraire la mesure incidente devient très délicate. Le zone system est un peu la base de ce qu'explique dans la vidéo ici, mais one ne peut pas utiliser les zones du systèmes d'Adams en numérique ça doit être adapté.

Oui tout a fait, j'ai déjà 3 vidéos dédiées au sujet.

C'est ce que je fais en général. La seule exception c'est quand je dois adapter rapidement une situation qui évolue vite, la j'utilise plus souvent la mesure matricielle.

Parce que si tu es avec des personnages de peau blanche habillés en blanc ou au contraire des peaux noires avec des vêtements noir ou très sombres tu auras des sous ou des surexpositions.

@@MegaMoi85 Si je me fie au propos de Déclic Numérique, mon objet d'intérêt (blanc ou noir), en mesure spot, sera bien exposé ; c'est son environnement qui peut être sur- ou sous-exposé. J'imagine que, dans certains cas, cela posera effectivement problème et qu'une mesure large sera plus appropriée.

@@emiliedixneuf8228 non la mesure matricielle ou moyenne ou ... en tout sauf la mesure spot, ne fonctionnera bien que si la scène est "moyenne", dès qu'on sort des sentier battus, pour du clair obscur, pour du contre jour ou des schènes déséquilibrées, ces méthodes sont plus difficile à utiliser et on a pas le choix que d'y aller au "pif" ou par essai/erreur. Ca fonctionne mais ... c'est pas pratique de mon point de vue. Je parle bien de scènes déséquilibrées ... par exemple une feuille blanche avec un point noir dessus ou une scène de nuit avec une petite zone claire dedans. Par contre si comme exemple je prends une feuille qui est 50% noir et 50% blanc, l'appareil le mesurera très bien dans les modes matriciels & cie. Tant que la moyenne de l'image s'approche d'un gris moyen ça fonctionne.

Oui c'est faisable, je vais essayer de faire ça ce soir. Je vous tiens au courant.

@ merci, merci merci

@@emerte7166 comme promis: declicnumerique.be/wp-content/uploads/2022/04/DeclicNumeriquePhotographie-Plage-Dynamique-et-exposition.pdf

Parce que j'ai déjà traité le sujet sur pas moins de 3 vidéos. Et en soi avant bde penser bracketting, mieux vaut d'abord savoir exposer le cliché de base.

C'est en effet une solution, mais ça reste hasardeux. Et si on procède a une fusion HDR, le rendu sera complètement différent.

En effet, d'ailleurs l'optimisation ne peut se faire qu'en mesure de lumière incidente, ou éventuellement en mesurant en réfléchi sur une charte de gris 18% mais ça reste délicat.

C'est pour ça que je galère en mesurant la lumière réfléchie sur l'herbe bien verte 😉

En studio et quand la situation le permet oui l'opti à 1.33 est la garantie d'une utilisation optimale du capteur. Les cas présentés ici n'en tiennent pas compte par ce qu'ils sont basés sur la lumière réfléchie et non la lumière incidente.

​@ Merci Steve. Quelle réactivité 😮. Pour vous, il n'y a pas besoin d'optimiser en lumière réfléchie ?

@@delphinebergeon3045 en soi se, il faudrait, mais il n'y a qu'en mesurant la lumière incidente qu'on peut être sûr du résultat. La lumière réfléchie dépend de trop de paramètres

​@ Merci beaucoup Steve. Je vous souhaite un excellent week-end 😊

Je pense que tu veux parler des filtres ND gradués qu'on utilise par exemple en paysage pour réduire la luminosité du ciel., ... je n'en ai pas encore parlé, ça viendra peut-être un jour, mais je n'en suis pas très fan ... du tout même. Les ND variables sont ceux dont l'intensité varie quand on les tourne, auquel cas il ne changent rien à la dynamique de la scène.

@ merci pour ta réponse. Oui, un filtre pour bien exposer mon sujet à l'ombre sans cramer le ciel. J'utilise un filtre ND gradué oui (je peux changer sa valeur en le tournant) pour éviter d'être à shutter 300 f16 en vidéo 😅. Je vais refaire un test demain avec. Tu dis que ça n'attenue pas le contraste entre basses et hautes lumières ? En gros ça me fait juste des stops en moins ? Peut être privilégier un profil d'image flat depuis le logiciel de l'hybride dans ce cas. Bon après-midi

En mode Av ou TV c'est la même chose. Sauf qu'on adapte 'l'expo en jouant avec la compensation d'exposition que l'on fixe sur la valeur souhaitée.

@ ok waouh j'ai du mal à piger tout ça. Merci pour ton retour.

La mesure spot peut s'adapter à toutes les situations, par contre dans les situations qui changent tout le temps et où la zone de référence n'est pas toujours au même endroit, ça peut être fastidieux à utiliser.

Ce que tu peux faire c' est faire une mesure spot sur la zone pour laquelle tu veux exposer au moment où les lumières "balayent" cette zone. Ça marche aussi dans le cas de stroboscope mais c' est plus subtil. Une fois que tu comprends un peu la façon dont les éclairages sont utilisés pendant le concert tu pourras presque anticiper leur usage et caler ta prise de vue sur le moment opportun. Ça demande d' écouter la musique et si tu as un peu l'oreille musicale tu peux parfois anticiper le refrain, les moments forts, etc. en comptant les temps.

En général si il y a encore des zones claires w sur celles las avec une mesure a +2. Ou si c'est un ciel rouge de fin de coucher, une mesure a 0 ou +1 sur la zone rouge.

Oui c'est bien ça, la neige bien blanche c'est une expo entre +2 et +3. Si on l'expose pour 0 elle paraitra très grise. Même principe pour du charbon, il faut alors viser -2 à -3 pour avoir un rendu très sombre mais avec encore du détail dedans.

Oui c'est une solution, on peut ensuite en faire une fusion HDR, mais ça implique un rendu très différent.

@ Effectivement la fusion HDR c'est carrement un rendu différent , merci pour le retour

La correction permet d'indiquer a l'appareil le biais d'exposition a appliquer par rapport a une référence d'un gris 18%. La mémorisation permet de garder en mémoire une mesure de référence de manière à ce que les valeurs d'exposition ne varient pas entre plusieurs clichés ou pendant qu'on ajuste le cadrage.

La plage dynamique du capteur, c'est ce qu'il est capable d'enregistrer sur une même prise, en terme de données brutes. La mesure d'expo est une mesure de luminosité en terme de perception. Dans les faits il y a tjs de l'infos en dessous de -3 jusqu'à un certain point, idem au delà de +3 (pas bcp plus quand même) mais nous sommes incapables d'en percevoir les nuances. Le capteur enregistre aussi les données selon une échelle linéaire, ce qui ne correspond pas a notre vision (le gain de luminosité est plus évident dans le sombre que dans le clair pour nous) Tout ça pour dire que ce sont deux échelles différentes qui ne représentent pas les mêmes choses.

En général oui. Les mesures pondérées, matricielles etc sont trop aléatoires a mon goût.

Idéalement dans ce genre de situation une sonde externe est plus pratique, puisque là on mesure la lumière incidente et donc pas de risque d'erreur. Mais bien sur on peut gérer ça avec l'appareil aussi. Le plus "fiable" c'est la robe; du blanc, c'est du blanc. Donc en supposant que tu post-traite tes photos derrière et que tu shoot en raw et en mesure spot, je te dirais d'exposer pour la robe à +3 voire même +3-1/3 (à l'endroit le plus clair, exposé à la lumière, attention c'est important). Ca devrait te donner un rendu très blanc, être clairement indiqué par le boitier comme cramé mais ça ne le sera pas. Tu devras en post-prod réduire l'exposition probablement d'environ 1 IL, mais c'est normal. L'idée est de capture un maximum de nuances en callant l'exposition à droite et donc de profiter un maximum de la plage dynamique du capteur. Tu peux essayer par exemple en photographiant une scène avec une feuille blanche comme fond sur laquelle tu poses un objet (tissu, ...) qui ressemble au teint de peau de ta belle-fille.

@ Merci beaucoup pour ta réponse ! je traite toujours mes photos en post traitement avec LR et PS et je shoote en raw et en mode manuel. Je vais tester avec une feuille de papier comme tu me l'indiques. Merci

Si un dégradé corrige le problème en post production, utiliser un filtre ND dégradé a la prise de vue résoudra le problème, reste a savoir de quelle densité et si il faut un hard, médium ou light (dégradé plus ou moins rapide). Bien-sûr la on parle de shooter sur trépied avec système de porte filtre.

La compensation d'exposition et la lecture du posemetre définissent le niveau de luminosité résultant. Peu importe ce qu'on photographie, si on mesure 0, on obtient un gris moyen, si on va vers le plus on obtient qqch de plus clair et vers le moins du plus sombre. On dit au boîtier quel est le niveau de luminosité que l'on veut au final.

​@ Bonjour, Un grand merci pour votre vidéo, que je trouve très claire et qui pourtant à l'instant "t" m'embrouille. Rien à voir avec la qualité de vos propos. C'est moi qui débute, d'où mes interrogations. Avant de la découvrir, j'ai lu plusieurs articles sur la correction d'exposition. Ce qui provoque la même réaction et question que Julien Merelli ci-dessus. Et votre réponse pourtant claire ne lève pas mon incompréhension. J'explique. Puisque que augmenter les IL double la lumière à chaque stop, et inversement, un ciel blanc cramé devrait l'être encore plus avec une correction à +2, non ? Pourtant, dans votre exemple en fin de vidéo, vous permettez au capteur d'en récupérer le détail en augmentant de 2 stops. Le ciel apparait moins cramé et révèle couleur bleue et détails. A fortiori, on a tendance à lire sur le net des articles, probablement moins complets que vos explications, qui se résument à dire (je caricature bien sûr) : - Trop sombre, on surexpose en augmentant les stops du correcteur d'exposition, et l'image devient plus lumineuse. - Trop clair, on sous-expose en réduisant les stops du correcteur d'exposition, et l'image devient plus sombre. C'est contre-intuitif avec ce que vous montrez. Qu'est-ce qui m'échappe ? Comment ces 2 vérités, celles de ces articles, et celle de votre vidéo arrivent à cohabiter ? Il doit me manquer un petit quelque chose pour que tout s'éclaire (excusez le jeu de mots). Je crois comprendre de vos explications sur la dynamique du capteur en début de vidéo, que c'est la typologie de mesure qui change tout. Est-ce juste de dire qu'en restant en mesure matricielle sur votre photo de fin de vidéo, une correction à +2 aurait cramé davantage le ciel au bénéfice des ombres, et par corollaire, qu'une correction à -2 aurait assombri les ombres au bénéfice du ciel ? Est-ce également correct de dire que la mesure spot, en concentrant la mesure sur le ciel, a permis de déplacer le "barycentre" de la plage dynamique du capteur, pour capter le détail des hautes lumières (auparavant cramé en mesure matricielle), au détriment des basses lumières (sur cet exemple) ? A partir de la là, la correction à +2 permet de faire matcher la lumière réfléchie avec ce qu'elle devrait être pour ne pas perdre de détail de ciel en sous exposant, ce qui serait le cas avec une mesure spot de base, calculé par le posemètre à 0 ? J'espère avoir été clair. Désolé d'avoir été long. Merci pour votre temps à me lire et peut-être à me répondre. Merci également pour la qualité de votre chaine KZfaq.

​@@unpapapasparfait Pour l'histoire de la compensation tout vient de l'interprétation de la mesure. En mode manuel, le posemètre indique un niveau d'exposition par rapport à un gris 18% (le 0 sur le posemètre). Un gris 18% est un gris assez sombre. C'est par exemple un niveau de luminosité d'une pelouse bien verte éclairée par le soleil quand on l'a dans le dos. En mesure matricielle c'est un calcul fait sur l'ensemble de l'image qui est donné, donc si on est dans une scène bien équilibrée le résultat sera plus ou moins correct. Par contre dans un cas plus compliqué d'une scène à port contraste ou avec une forte dominante de zones claires ou sombres, cette méthode de mesure donnera un résultat erroné. Donc là on passe en mesure spot, et on prend un point de référence de son choix. Ici dans l'exemple je prends le ciel. Je sais en général qu'une zone claire est 2 stops plus clair qu'un gris 18%, donc il faut que je règle mon appareil pour qu'il m'affiche +2 sinon le ciel sera trop sombre. Si je suis en mode semi-auto (Av/Tv etc...), le principe est le même sauf qu'au lieu de changer les paramètres directement, je vais jouer avec la compensation d'exposition. Si je laisse la compensation à 0, l'appareil va exposer mon ciel pour un gros 18%, ce qui sera trop sombre. Donc je compense, en montant la compensation à +2 pour que l'appareil calcule le réglage qui me donnera une exposition au niveau du ciel de 2 stops au dessus du gris 18% Donc en mesure matricielle, oui en effet j'aurais eu un rendu encore plus cramé puisque c'était déjà le cas sans. Mais c'est pour ça que je passe en mesure spot ce qui me permet de prendre un point de référence de mon choix au lieu de subir un algorithme pensé par le fabriquant. Le fait de passer en mesure spot ne change rien au niveau de l'équilibrage de la plage dynamique. C'est juste expliquer au boitier sur base de quel zone il doit faire son calcul, et avec la compensation ou les réglages lui dire à quel niveau d'exposition il doit arriver. Et oui en effet le posemètre mesure une lumière réfléchie, donc en effet, à partir de là sa lecture doit est comprise comme "ce qu'on veut comme exposition de la zone de référence". Tout simplement. Un exercice simple à faire: - je photographie 3 feuilles de papier, une noire, une blanche et une grise. Si je laisse le boitier décider ou si je mets "bêtement" le réglage sur 0 ... mes trois photos seront grises (le fameux gris 18%). - pour exposer correctement ma feuille noire, je dois donc dire au boitier d'exposer moins que le 18% de référence, donc je vais compenser vers -2 ou -3 selon la densité du noir que je veux. - pour exposer la feuille blanche correctement, je vais compenser vers +2 voire +3 selon que je veuille un blanc avec du détail ou un blanc immaculé.

@ J'ai compris ! Merci bcp d'avoir pris le temps

Non pas du tout, c'est un autre moyen de gérer les choses.

Avec quelle méthode de mesure d'exposition ?

@ mode évaluative avec Canon 80D.

@@magixvideophotocanon là raison est là, la méthode que je propose s'applique uniquement en mesure spot. Il faut alors cibler une zone précise, dans le cas présent la partie nuageuse un peu plus claire. En mesure évaluative, l'appareil fait en qque sorte une moyenne ( c'est plus complexe que ça) de l'ensemble de la scène et ajuste en fonction, ce qui veut dire qu'on a aucun point de référence précis. Avec ce mode là il faut y aller à tatillon, ça fonctionne mais ça peut être laborieux dans des situations complexes.

@ OK je vais faire en spot- merci pour votre disponibilité- bonne journée. 😆

Vu que la plupart du temps je suis en manuel, je n'ai pas besoin de la mémorisation d'expo. Mais en av ou TV, la oui.

C'est une solution, mais le rendu est différent. Plus plat et moins contrasté, c'est un choix a faire.

En effet c'est ça que sert l'empilement HDR. Mais ça impacte fortement le contraste de la photo, c'est donc un choix a faire, comme a peu près tout en photo.

En effet je n'ai pas poussé jusque là mais c'est aussi très dépendant du boitier, si je devais parler de ça je devrais aborder l'iso-invariance, et franchement ce n'est pas le genre d'infos que tout le monde est prêt à digérer.

Caler l'expo du ciel sur +2 ça signifie demander au boîtier d'exposer cette zone 2 stops au dessus d'un gris 18%, soit le niveau de luminosité d'un gris 72% ce qui est encore loin d'être cramé.

Merci pour la video j'allais poser la meme question lais tjrs pas compris plus de details stp?

Comme je le disais juste avant. Le posemetre, comme son nom l'indique sert a faire une mesure. Donc ce qu'on lit c'est un résultat, ni plus ni moins . Peu importe ce que je vise, si je l'exposé pour +2 le résultat donnera toujours la même luminosité apparente.

En gros si j'expose le ciel sur +2 et que je declenche la photo ne va pas etre surexposée?!

@@adelouidir5879 non le ciel sera très clair mais pas surex. Par contre si il y a des nuages blancs eux seront bien plus clairs et pourraient être cramés. Normalement un ciel bleu on ne l'exposé pas pour +2. Mais les nuages blancs ou un ciel voilé très clair oui.

C'est parce que je n'essaie pas d'assombrir. Je pose mon expo pour que le ciel soit mesuré a +2 avec la mesure spot. Je ne pars pas d'une mesure quelconque de l'appareil pour ensuite la corriger. Ici je prends un point de référence et le place au niveau de luminosité souhaité.

@ OK je vois... Mais je ne pense pas que mon boîtier puisse le faire (7D) . De plus le principe de la mesure spot c'est de faire une mesure juste de lumière à l'endroit qu'on lui indique, inutile dans ce cas d'ajouter 2 spots, non ?

@@mrstf tous les boîtiers reflex et mirrorless savent le faire Et si il fait bien donner la valeur souhaitée, sinon le boîtier calculé l'expo pour un gris moyen

@ Intéressant. Il faudrait un tuto !

@@mrstf je pense faire une vidéo de mise en pratique du principe. Ça complètera cette vidéo.