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Et ils sont payés des fortunes avec des pass droits de courtisans tous ces flingueurs de l'hôpital français...

Vrai aujourd'hui pour ce faire soigner devient un calvaire surtout pour ceux qui non pas trop d argent ou trop vieux aujourd'hui ceux qui ont Les moyens en plus de chance de ce faire soigner je le sais car malheureusement celà est arrivé avec un membre de notre famille

Trop peu de temps pour nommer tous les responsables, je pense. Ne pas oubliez les grands assassins que sont les cabinets de conseils…

PLAN HOPITAL 2007 : SARKOZY - Xavier BERTRAND - CASTEX (fonctionnaire)

@@lucidecassandre4096 Ne pas minimiser le role de Marisol Touraine

On l'oubli si facilement cette union des pieuvres européennes !

J'allais écrire quasiment le même commentaire, je me suis donc abstenu de le faire. Mme Polony sait tout cela, mais comme tous les journalistes soumis ou corrompus, elle ne fait qu' obéir à Ursula, et rien ne bougera.

Cela a permis à de nombreuses personnes de ne pas finir en " burn out "....

Ca ne va pas dans le sens des intérêts du grand capital. Le MEDEF lutte pour le "démantèlement systématique" de tout ce qui a été mis au point par le CONSEIL NATIONAL de la RESISTANCE (qui comportait des Communistes à l'origine des réalisations sociales sur lesquelles nous avons vécu de 1950 à 1975 le retour des capitalistes).

C'est clair, ils n'arrêtent pas de dénoncer, de ''sortir des vérités'' , d'alerter, etc, mais rien ne change.

Il faut , il faudra , il faudrait , il aurait fallu , y avait qu ’ à , fallait qu ’ on , bla bla bla !!!

@@constanttany1740: + bla.

Ce qui facilite le travail des euro-atlantistes ...

Objectif de ces messieurs : PRIVATISATION de la Santé et de l'Education. Les gens qui ne veulent plus aller y travailler vont dans le sens de cet objectif. Ils seront "obligés" de privatiser et la population exténuée sera ravie.

@@lucidecassandre4096 c'est clair qu'il y aune logique de privatisation derrière tout ça mais c'est une grosse erreur stratégique. Les nouvelles générations de soignants sont plus pragmatiques. D'abord il y en a de moins en moins et ils vont là où est leur intérêt. Même si l'hôpital deviens entièrement privé il aura grand peine à recruter et s'il y arrive il devra sortir le carnet de chèque ou offrir des conditions dignes, rareté des candidats obligé. Si l'hôpital reste ou plutôt redevient publique ce sera pire parce que cette adaptation nécessaire a l'offre de personnel supposera d'augmenter les budgets d'état à un moment où il sera en ruine.

@@arnaudwheeler5586 - Le système "public" fonctionnait TRES bien. Les entreprises et services publics étaient très bien gérés. Jusqu'à ce que le monde de la finance ne veuille mettre la main dessus. En France, il me semble que le critère fondamental auquel les Français tiennent par dessus tout est l'EGALITE et même l'EQUITE (social). Nous ne sommes pas des anglo-saxons protestants ... Je ne sais pas si les Français vont accepter l'INJUSTICE sociale basique qui accompagne le système américain. J'espère qu'ils vont resister. En tout cas, le système français social était admiré et copié dans le monde entier ... Alors que le système américain était considéré comme un truc pourri et malhonnête.

@@lucidecassandre4096 On est d'accord. Malheureusement cette gestion à dégouté une génération de soignants et il n'y a pas de remède rapide. Ce n'est plus seulement qu'un problème de gestion ou d'argent maintenant, c'est plus grave. Le bateau ne coule plus parce qu'il est mal gouverné ou mal entretenu mais parce que l'équipage l'a abandonné. L'étendue du désastre n'est pas encore coscientisée par la plupart des gens qui crois à un retour en arrière possible et l'intervention de Polony le montre bien. Il faudrait remettre des moyens, remettre le patient au centre mais surtout redonner du sens au métier de soignant. Rien aujourd'hui ne permet de croire que ce sera ne serait-ce qu'envisagé car aucun décideur privé ou publique n'y a intérêt. La chute de la qualité d'offre de soin en France va créer beaucoup de colère. Ça en crée déjà, mais quand les morts évitables vont s'accumuler, ça va être très très chaud...

@@arnaudwheeler5586 - Pour remettre le malade au centre du système de santé, il faudrait un gouvernement de Gauche. Avec des gouvernements libéraux, uniquement préoccupés des "économies", de la rentabilité, des profits etc ... ce qui est au centre c'est le pognon. Uniquement le pognon. Et la vie humaine ne vaut pas cher face aux monceaux de pognon que signifie la SANTE publique.

Les Francs maçons ont construit la REPUBLIQUE. L'Eglise et l'extrême droite les a toujours persécutés. L'Eglise et l'extrême droite n'aiment pas la République.

Vous avez bien résumé la TVA.....🙄

Exactement! Très bien résumé! L’hôpital est un service public et, à ce titre, il est là pour rendre un service à la population française. Qui imaginerai des pompiers facturer leurs interventions auprès du public? Ces dirigeants français sont devenus fous. Merci pour votre intervention Mary.

Projet : PRIVATISATION - L'Union européenne préconise la privatisation de tous les "Services d'intérêt économique général" (SIEG) RENTABLES - Comme aux USA. Seuls les SIEG non rentables resteront à l'Etat (armée, police). Les gens PAIERONT TOUT (éducation, santé, retraites etc ...) et, comme aux USA, ils paieront beaucoup plus cher. Les pauvres ne paieront pas et n'auront pas de SIEG. Les actionnaires s'en mettront plein les fouilles.

@@fredericrichard4716 Celui qu'il faut aller rechercher et placer devant ses responsabilités à ce sujet s'appelle notablement Alain Juppé (1995)... ce serait bien que l'on ne l'oublie pas, ni les Douste-Blazy qui a bcp sévi à l'époque, puis Bachelot et Sarkozy, Touraine et Hollande, Macron et Véran, etc : toutes ces glorieuses personnes mériteraient qu'on leur bande les yeux puis qu'on les monte puis les place à la guillotine, rien que pour les faire réfléchir un peu... je ne prendrai pas seul la décision d'appuyer sur la manette, mais ça mériterait d'en discuter, non ?

Oui à mes yeux aussi, c'est justement la gloire d'avoir un système de soin, qui ne peut que coûter, mais qu'on peut soutenir grâce au bénéfice obtenu dans les autres secteurs économiques. Enfin ça c'est quand on produit encore quelquechose dans le pays en question, parce que dans cette France, j'ai l'impression qu'à part des armes et des lois toxiques, on ne produit plus grand-chose depuis un moment... Le retour de bâton, bien sûr que souhaite qu'il leur fasse "bizarre", mais c'est surtout à nous qu'il va faire mal -sauf si on retourne le bâton contre ces salauds.. J'étais étudiant en médecine au début des années 90, lorsque s'est opéré le changement de paradigme (notamment sous l'impulsion du "génie" Alain Juppé) de transformer l'hôpital en une machine à faire du fric sur le dos à la fois des malades (vous n'êtes plus un citoyen pensant qui souffre, vous êtes un gisement de croissance économique pour le secteur tertiaire, alors tais-toi et avale tes génériques sans te demander ce qu'il y a dedans) et sur celui des soignants (en les sous-payant). Ce qui m'a alors choqué était l'absence de réactivité du monde soignant : on nous promettait la mise en boîte et la catastrophe, c'était presque officiellement affiché "on va vous enfiler bien profond", et "tout le monde" regardait ses pieds et se réfugiait derrière le lamentable "oh ben moi tu sais je veux soigner, pas faire de la politique"... navré de constater que bien évidemment, en ayant laissé faire, on en arrive là où on en est. À mes yeux, la seule solution envisageable passe par une refonte complète, de la république, de la sécu (en épurant l'arnaque des mutuelles notamment), et bien sûr du boulet-Europe que l'on subit actuellement. Les politiciens ne feront jamais cette refonte faute de compétence et d'intérêt, il ne nous reste donc que la voie révolutionnaire : après 25 ans d'exercice de la médecine, pour continuer de pouvoir espérer que nos enfants auront une vie acceptable, je me verrais plus utile sur une barricade qu'à tenir la main à une mamie agonisante... Ouvrez le bal frères parisiens, on arrive !

@@gogolfixpersonne1915 Je vous assure qu'ils vont se prendre en pleine face le retour de bâton tout ceux qui ont fait des magouilles sur la santé , menti , inventer , ce sont fait du fric sur le dos de la santé , vont le payer très cher je vous l'assure . La roue tourne est là il tourne très vite

Il faut demander au chat botté 😂

Comme le souhaitait le MEDEF, tout le modèle SOCIAL français doit disparaître. Le MEDEF gouverne via l'Union européenne. C'est l'Union européenne qui est en train de détruire la République française sociale (article 1 de la Constitution )

La dette publique ne craque pas !! Elle est même en augmentation régulière 😂

En fait, pour l'hôpital, c'est pas nos impôts, mais nos cotisations sociales

Non, pas tous !!

J ’ en connais beaucoup qui ne paient pas , qui n ’ ont jamais payé et qui profitent du système !!!

Pffffffffff non merci l hopital c est que j ai vu.

Analyse remarquable qui liste les causes provoquant les effets évoqués dans la vidéo. Demain nous pourrons ajouter toute la subsidiarité détraquée du système : l'extension du désert médical, la diminution galopante de nombreuses spécialités, le constat navrant qu'aujourd'hui, on est moins bien soigné qu'il y a 30 ans ...

Aucun droits !? Ce seraient des esclaves non payés ? Mais qui les oblige à rester ? Votre réflexion est nauséabonde.

@@lemecreant2430 c'est le fric qui "oblige" les médecins étrangers à rester, ou bien (car cela existe quand même encore un peu) pour certains, qui viennent apprendre une compétence ici, le projet de se faire "des couilles en or" après leur retour dans leur pays d'origine, auréolés de la gloire d'être devenu dépositaire d'une technique nouvelle chez eux (et donc lucrative). Mais c'est parfois seulement le fric, non au sens d'en ramasser plein, mais parce qu'ils sont "piégés" ici s'ils sont venus avec femme et enfants : leur paie très nettement inférieure à celle des médecins français (c'est pour ça aussi que l'hôpital en a embauché tant) est fréquemment majoritairement engloutie par les frais de logement+scolarité (il n'y a pas je crois de médecins étrangers qui viennent en France pour gagner de l'argent à envoyer chez eux ...la France continue de sous-payer ses soignants ...qui en crèvent à petit feu depuis 25 ans...). Et il est aussi vrai que fréquemment ces médecins étrangers sont traités comme des esclaves dans les services où on les prend (nombre de patrons leur font bien peser le "et si t'es pas content tu dégages, et je te ferai de la pub, plus personne ne voudra de toi"), j'en ai vu nombre d'exemples lors de mes études (c'était au début des années 90, mais comme on le sait tous rien n'a évolué dans le bon sens depuis dans ce pays). Le drame ubuesque que nous commençons (seulement) à vivre, de ne plus disposer d'un système de santé pertinent dans un des plus riches pays au monde, tient à deux stupidités technocratiques condamnables, et troisièmement à une perversion systémique : 1) depuis l'époque Mitterrand jusqu'à il y a peu, les génies de la politique sont restés sur l'idée débile qu'il fallait faire moins de médecins pour que la Santé occasionne moins de dépenses (si, si, ils ont théorisé et appliqué cela... et ils continuent encore, dans l'attente des robots qui nous remplaceront), d'où -malgré les alertes par les doyens de facultés depuis 1993- la pénurie de médecins "de terrain". 2) Les mêmes génies, constatant que oui, il n'y avait plus assez de personnel pour les besoins, se sont dit "on les sous-paye, comme ça on va forcer ces gros naïfs à bosser plus pour ne pas gagner plus, en leur jouant les violons sur ô combien ils sont nécessaires et admirables de soigner les malheureux victimes de la vie"... (et en plus, ils ont rogné nos capacités d'action de façon grave, mais ce serait trop long à développer ici) et 3), la perversion du système, c'est que l'industrie pharmaceutique a pris trop de poids financier, et manipule populations comme gouvernements sans éthique ni scrupules -on l'a bien vu avec l'entourloupe du Covid19 et de ses "vaccins" foireux (normal qu'ils aient été peu efficaces avec un virus type Coronavirus, qui mute beaucoup, mais par contre la façon de vouloir imposer au bétail humain des injections expérimentales sans garanties et dans un cadre réglementaire fachiste, là pour moi on a le symptôme de la corruption des "décideurs", au-delà de leur catastrophique incompétence). Beaucoup s'explique si l'on comprend que (notamment depuis les "ordonnances Juppé" en 1994-95) dans ce pays, pour le Pouvoir et les "profiteurs de la maladie", quelqu'un qui tombe malade n'est ni un citoyen qui souffre, ni même un travailleur-consommateur mis hors-service, mais c'est du client à faire avaler du médicament, pour faire s'enrichir les gens bien placés dans la grosse machine qui génère toujours plus de milliards ...pour la dépense la plus petite possible (et tan pis si mon grand-père n'a sa couche changée qu'une fois par jour... les actionnaires sont contents). On ne sortira pas du chapeau les 30 000 généralistes qui manquent à ce pays (et qui seraient là si les politichiens de tous bords n'avaient pas fait la sourde oreille aux appels depuis 30 ans... en ce qui me concerne je leur laisserai le choix, à ces pourris : bannissement, ou lynchage public, mais qu'ils disparaissent !), on va donc nécessairement, et même avec le concours des médecins étrangers, inévitablement continuer de passer d'un système de soin confortable (pour les patients) à quelquechose qui va davantage s'apparenter à de la médecine de catastrophe, où on gèrera au mieux les priorités, en devant faire des choix douloureux (personnellement cela fait déjà 6 ou 7 ans que j'ai dit à mon secrétariat téléphonique que je ne recevais plus les angines, rhinopharyngites, bronchites et autres gripouilles si elles ne présentent pas un caractère de gravité, et entre deux appels urgents, la priorité est au plus jeune ...tant pis les boomers). Je n'ai pas la baguette magique pour résoudre nos soucis, mais par contre à part mon sthétoscope j'ai un manche de pioche, et quand je vois l'insultant mépris de ces baratineurs criminels (Macron et sa clique, mais ceux qui les ont précédés aussi depuis 40 ans), j'ai franchement envie de leur faire découvrir l'utilité d'avoir pas trop loin un bon chirurgien orthopédiste spécialiste du genou... A bientôt sur les barricades alors, j'espère, car à mon sens la voie "officielle" étant bouchée, ce pays ne se sauvera que par lui-même, façon 1789... (je suis un généraliste rural de 50 ans, totalement écœuré de son métier après 25 ans à faire des efforts et avaler des couleuvres, et désespéré par la léthargie et l'égoïsme fatal qu'il constate dans ce pays qui lui, à mes yeux, est devenu très nauséabond ...et que j'envisage plus que jamais de quitter)

Le problème doit être vu en amont , par la remise en cause du numérus clausus , pour éviter de recourir, lors des études médicales, aux médecins étrangers Si on supprime ce numérus clausus, on peut alors former davantage de médecins français

@@herveherve324 Dès la fin des années 80 les doyens de facultés de médecine demandaient à genoux d'anticiper et former plus de médecins : les divers gouvernements ont systématiquement refusé, jusqu'à la trop tardive et brutale augmentation sous Sarkozy, qui ne résous pas le problème : promotions trop nombreuses de carabins moins bien formés (on ne sait plus où les mettre en stage, donc parfois ils alternent un jour sur deux...), et à ce que j'ai constaté ils sortent bien trop "robotisés-protocolisés" par la machine hospitalière informatisée, donc moins efficients pour répondre à la demande de la médecine de ville, ce qui génère une frustration dans la population (la fac ou l'hôpital ne forment pas à la médecine générale). On ré-atteindra peut-être une situation démographiquement équilibrée d'ici 15 ou 25 ans, mais les dégâts vont être importants d'ici-là (même si le système ne s'écroule pas bientôt, ce qui me paraît probable voir souhaitable); toutes ces souffrances, des patients et des soignants, auraient bien sûr pu être évitées si... mais le bain de merde est maintenant prêt, et on est dans le toboggan qui y conduit sans que je voie de branche à laquelle se raccrocher... prêts pour une amère tasse ?

@@gogolfixpersonne1915 Oui, mais tes commentaires renvoient, en fin de compte, aux origines du numérus clausus , créé au début des années 1970 Malgré une période économique encore faste, les pouvoirs publics avaient une intention non avouée en partant de l'idée suivante : ce sont les médecins prescripteurs qui engagent les finances de la sécurité sociale (branche assurance maladie), via les consultations , les hospitalisations, les pharmacies, les laboratoires.... Si on limite le nombre de médecins en formation, on limite, à terme, le nombre de médecins en activité , avec l'espoir que la sécurité sociale puisse faire alors des économies. Système de soins à visée exclusivement économique, qui, in fine, n'est plus tenable , devant les groupes de pression qui se plaignaient, à tort ou à raison, que ce système avait besoin de moyens supplémentaires , et donc de médecins, pour soigner au mieux, les malades Le numerus clausus est maintenant, depuis un an ou deux, abandonné, mais il faut 10 ans pour former un médecin avec un gros problème qui est apparu, il y a quelques années : le vieillissement accéléré du corps médical et nombre important des déserts médicaux, liés à mon avis, à la liberté d'installation des médecins qu'il faudrait, peut-être remettre en cause

@herve Hervé, le blessé va se faire soigner aux urgences car il ne trouve pas un médecin de ville qui peut le prendre en charge pour ce soin. A moins d'attendre 5 jours voire plus un rdv en ville et se retrouver avec une infection ...

@@bambyoho1296 Tout ça doit se voir au cas par cas, entre souvent, les pompiers , le SAMU et l'établissement de soin lui-même , à partir du blessé qui se trouve en difficulté pour se faire soigner , en urgence L'expérience montre que de nombreuses personnes qui arrivent librement aux urgences sont soignées pour des bricoles, d'où l'expression ironique de services de bobologie, ce qui gène évidemment les urgences les plus criantes, d'où l'intérêt de réguler les urgences, mais c'est plus facile à dire qu'à faire, parce qu'on est dans l'humain qui souffre A une époque très ancienne, il fallait distinguer les urgences qui donnaient lieu à hospitalisation aux urgences qui ne donnaient pas lieu à hospitalisation, pour mesurer l'importance et la qualité des services d'urgence , et si je me souviens bien, au niveau national, un tiers des urgences donnait lieu à hospitalisation

La T2A a un caractère inflationniste Plus on fait de l'activité , plus l'hôpital se fait son pognon sans s'interroger sur l'opportunité de cette activité , dans le cadre d'un projet de santé régional

T’inquiète pas pour eux il y aura toujours un lit et des médecins pour ces crapules !

La Gauche ne gouverne plus. Le "gouvernement" français est à Bruxelles. Vous ne le savez pas mais les "dirigeants" français sont aux ordres de Bruxelles. Et Bruxelles, l'UNION EUROPEENNE, c'est le grand capital industriel et financier.

PRIVATISATION - voilà le projet.

C'est bien l'adaptation de la demande à l'offre d'emplois qui pose problème et notre système de formation qu'il faut revoir

Tout n'est pas noir ou blanc : il y a certainement eu des abus aussi de certaines personnes qui se rendaient aux urgences pour un oui ou pour un non... Mais effectivement, la donne a changé. À Grenoble, par exemple, il est devenu impossible de trouver un médecin ou dentiste si l'on n'est pas déjà patient. Et je parle de visites standard, pas même à domicile. Et le médecin (absolument incompétent) de ma mère est devenu totalement injoignable (pas de secrétaire, pas de réponse au téléphone, et maintenant il ignore même les courriers déposés dans sa boîte aux lettres, qui sont devenus le seul moyen de le joindre... à part aller frapper à sa porte quand il est en consultation !). Même pour renouveler les ordonnances. Et ce n'est qu'un exemple... La France devient un désert médical...

@@LonesomeCowgirl - En Morbihan, trouver un ophtalmo est devenu le parcours du combattant. Les hôpitaux n'assurent plus cette spécialité. Rentable, elle a été privatisée ... et le privé n'assure pas ! J'ai fini par trouver un ophtalmo à l'autre bout du Morbihan ... Une espéce d'usine à gaz où on est traité comme du bétail. Absolument aucune humanité ! La rentabilité c'est tout. J'ai eu le droit à une usine à examens cardiaques ... Traitée comme un bout de viande dans une ambiance de merde ... Et j'ai même eu droit à un examen "à distance" ... En "tête-à-tête" avec un ordinateur (manipulé par un infirmier) et une voix sépulcrale qui ne m'a dit ni bonjour ni au-revoir ... Renseignement pris le "médecin" était dans le sud de la France ... J'ai dit à l'infirmier : "Médecine de brousse" ... Non, m'a-t'il dit "Ca a été mis au point par la NASA... pour les cosmonautes !!! "

@@LonesomeCowgirl - Je pense qu'il y a eu des gens originaires d'Afrique où c'est le système : des dispensaires, hôpitaux. Le médecin "de ville" ça n'existe pas.

@@lucidecassandre4096 Possible, mais des gens aussi avec de petits moyens, comme ma belle-soeur, etc. Et des gens qui ne veulent pas attendre un rendez-vous (il faut dire que, ça aussi, ça devient compliqué, même quand on a un médecin)...

@@lucidecassandre4096 Le Morbihan, c'est merveilleux (j'y ai passé une semaine début juin, après un premier séjour il y a... 43 ans !)... Mais effectivement, tout devient extrêmement compliqué, y compris en région parisienne... J'ai dû me rendre dans un centre ophtalmologique une fois, c'est effectivement l'usine ! Je ne savais pas que ça existait pour la cardio ! J'ai pu avoir un rendez-vous relativement rapidement avec l'ophtalmo cette fois-ci, mais quelqu'un m'a dit que ce n'était pas un bon médecin et qu'il ne lui avait pas décelé un problème sérieux à l'oeil... Mais j'ai besoin de faire réévaluer ma vision, et la "préposée" du centre ophtalmo l'avait fait tellement vite que je n'ai pas confiance... Quant aux machines... magique, non ? ☹ J'imagine que je peux m'estimer heureuse de rencontrer un interne différent à chaque fois que j'ai rendez-vous avec ma généraliste...

ben oui, on va pas se priver, les algorithmes pour les robots-médecins sont presque au point, alors pourquoi encore se faire chier avec des humains dotés d'une conscience critique qui en plus veulent contester le discours officiel ?... de quoi nous scandalisons-nous ? on les a même pas brûlés en place publique ces infâmes terroristes qui ne croient pas en la Divine Parole du Seigneur Macron et de Saint Véran !! (c'est plus productif de les faire socialement disparaître, ces rebelles; on n'a pas encore assez lobotomisé les moutons, ils pourraient trouver que l'on gouverne de façon brutale si on tuait physiquement les rétifs...) Petite notion supplémentaire en rapport : les médecins généralistes français (dont je suis - je parle de ceux non aveuglés par leur adoration à je ne sais quel gourou politique) ont compris depuis au moins vingt ou trente ans que leur profession était vouée à disparaître pour l'accomplissement des objectifs du Pouvoir Technocratique : "Big Brother" se fout de votre bien-être, vous êtes maintenant nombreux à l'avoir compris, mais il me semble que trop peu ont à ce jour saisi à quel point on ne les envisage que comme bétail à exploiter. La déshumanisation du soin, qui est réellement en cours (on n'a plus de temps pour vous écouter, la machine dit que vous avez ça alors vous prenez ça et ouste dégagez, point.), va encore s'accentuer avec la disparition des cabinets individuels de médecine : c'est beaucoup plus juteux pour les profiteurs du système de faire exploiter le mouton n°Z dans des "maisons pluridisciplinaires" subventionnées et contraintes à placer des génériques (énoorme mensonge les génériques, techniquement et encore plus économiquement !) que de permettre que le même patient Z soit entendu et examiné par un toubib qui le connaît, et répondra à ses questions pour beaucoup moins cher au final. Nous sommes champions pour avoir monté une usine à gaz dans laquelle le malade n'est vraiment plus que la petite souris qui se tue à pédaler pour faire tourner la roue qui, au-dessus, génère du bénéfice pour des profiteurs injustifiés -qui ne sont bien sûr pas les soignants, eux-mêmes moutons-victimes de ce système toxique. Mais il n'y a pas de "ruissellement" bénéfique, et si la petite souris finit par crever, pour ces merveilleux "gouvernants", ben il n'y a qu'à mettre une autre petite souris à la place, ça tombe bien il y en a plein, et voilà... où voyez-vous un problème ???! Continuer dans la cinquième fausse république et dans la pseudo-Europe de l'arnaque des peuples, c'est favoriser ce type de politiques où le citoyen est remplacé par l'esclave-consommateur, et où votre humanité est oubliée pour ne plus voir en vous que ce dont on peut profiter... Et vous voudriez qu'on trouve choquant qu'on ait sabré quelques malheureux résistants qui voudraient jouer les grains de sable dans notre belle machine si bien huilée au chloroforme ? Rhoooo... réactionnaire, va !!! Eh bien alors j'espère bien avoir le plaisir de vous rencontrer bientôt sur une barricade, parce que vu qu'aucun journaliste ne se décide à gifler direct un politichien en flagrant délit de langue de bois, il n'y a que la révolution qui je pense permettra de remettre cette "société française" sur les rails du vivable !

Et il a été réélu.

@@lucienvergez1565 Et il a menti , il avait repondu à une pauvre dame qui l'agressait :"j'y songe..."

Sujet tabou qui expose à toutes les critiques racistes et xénophobes !! Natacha Polony refuse de parler de ce sujet , pourtant fondamental J'avais lu, Il y a trois ans, environ, dans sa revue Marianne , journal de gauche, à l'époque, un sujet sur l'immigration , complètement à coté de la plaque , en sous estimant la gravité des flux migratoires

Bonjour.. heureusement qu'il y a des pauses!....passer 8 heures parmi la souffrance et la maladie entachent la joie de vivre.....alors quelque petits rires remettent le cœur ❤️ à l'ouvrage!.......une ancienne infirmière

Oui - On rit beaucoup à l'hôpital. Pour DECOMPRESSER !!! Parce que la mort, la souffrance, la pauvreté, l'injustice ... c'est très difficile de vivre avec.

@@mireilleraymond522 - Cet ahuri ne connaît visiblement pas le travail en hôpital ...