Mon point de vue : J'ai passé mon enfance à la montagne, où j'ai vécu jusqu'à mes 25 ans, tandis que ma compagne a grandi dans une campagne particulièrement isolée. Nous avons tous deux quitté nos racines pour la ville, motivés par nos études et nos carrières. Lorsque nous avons envisagé de rester en ville ou de retourner à la campagne, notre décision s'est principalement fondée sur l'accessibilité au travail, aux services, aux loisirs et à une vie animée, tant pour nous que pour nos enfants. Le choix de la ville s'est alors imposé, en grande partie pour éviter de devenir esclaves de notre voiture : à la campagne, rien ne se fait sans elle. Qu'il s'agisse du travail, des courses, des loisirs ou de l'école des enfants, tout nécessite de prendre la voiture, ce qui engendre une perte de temps et d'argent. L'enfermement dans le cycle "auto, boulot, dodo" n'était pas une option pour nous. La "campagne-banlieue" qui ceinture les villes nous semblait encore moins attrayante. Souvent, il n'y a rien : pas de commerces, pas de cafés, juste des dortoirs. Certes, on y trouve un bout de jardin et une maison, mais l'isolement y est palpable, renforçant l'individualisme. Quant aux interactions sociales, elles sont presque inexistantes. J'ai grandi à la montagne, que je distingue nettement de la campagne. Là-bas, il suffit de franchir le seuil de sa maison, sac à dos en main, pour partir à l'aventure et s'offrir une randonnée en altitude. À la campagne, au contraire, on se heurte rapidement à des limites : en sortant de chez soi, on se retrouve face à une nationale ou à des champs à perte de vue. Aujourd'hui, nous vivons dans un appartement en ville, certes modeste, mais nos enfants sont à cinq minutes à pied de leur collège. Nous ne passons que 20 minutes en transport en commun pour nous rendre au travail. Nous faisons nos courses et fréquentons le marché à pied. Les clubs de sport ou de loisirs sont à moins de 15 minutes de chez nous. En dix minutes, nous pouvons flâner dans l'hypercentre, profiter d'un cinéma, d'un musée, ou encore d'une activité culturelle ou sportive. Quand j'observe certains collègues vivant à la campagne et travaillant en ville, je me félicite de notre choix. Il est difficile de concilier ces deux mondes. Dans la région où j'ai grandi, la population a pratiquement été réduite de moitié. L'activité économique y a souffert, malgré un prix de l'immobilier élevé, soutenu par les retraités. L'accès aux écoles, aux soins, et aux services y est devenu compliqué. Pourtant, c'est un endroit magnifique, empreint de nostalgie pour moi. Mais y vivre au quotidien... ce serait une autre histoire.

le soucis avec le télétravail cest le manque d'interaction sociale sur le long terme

Comment vivre mieux que l’immense majorité des Français - autrement dit : le troupeau ? 1) Ne pas avoir d’enfants. Sans enfants la vie est plus libre, plus riche. 2) Ne pas avoir les mêmes désirs grégaires que le troupeau. En particulier pas les mêmes désirs de consommation. 3) Une fois que les deux premiers points sont acquis, régler les quelques détails restants, en s’inspirant de la vidéo - ou pas.

video tres intéressante 😊

Partisan de la campagne, je te rejoins sur ton "Hack ultime ++", la campagne c'est super ! Sous plusieurs conditions, le travail si possible avec voiture de service ou a minima indemnités de trajets, je dirais pas plus de 40 min de route pour le job parfait qui rempli vos conditions et celles pour vivre à la campagne. De plus, si on est quelqu'un qui aime faire des sorties plein air, c'est super, par contre il ne faut pas avoir besoin de se fournir en matériel "loisir" trop loin non plus. Car sinon on peut vite péter le budget et ca juste à cause de l'essence. ehhhh oui ! Les magasins sont loin parfois, faire du shopping plaisir de temps en temps ca devient embêtant quand on a 45 min de route aller + 45 min retour. Je dirais même mieux il faut savoir faire des concessions sur certains plaisirs pour justement en récuperer deux fois plus que ceux qu'on a du oublier pour vivre à la campagne. En tout cas, temps que je le pourrais j'y resterais dans ma campagne !! Je parle pas de la diagonale du vide toute pourrie où tout est vide... Mais plutôt des campagnes périphérique à de moyennes villes. Exemple : Nîmes, la campagne de 30 min aux alentours est super desservi, autoroute, nationale etc et une richesse de paysages et d'activités plaisantes.

Étant juriste pour les grandes entreprises, je ne peux travailler que dans les grandes villes... J'ai des collègues qui habitent loin, mais c'est une heure et demie de route minimum. Je suis à Lyon.

video pas interessante ☹

ça va dépendre des gens, la campagne les hôpitaux c'est une catastrophe. Le domaine du divertissement pareil, la France délaisse les campagnes comme pas possible. La plupart des campagnes sont vide, y'a une ambiance morbide. Sauf dans les barres mais bon que des darons de 40 pige alcoolisé. Pour une infrastructure correct c'est loin, l'éducation j'en parle pas. Entre le niveau scolaire des campagnes et les niveaux de ville ça n'a rien a voir. Demander vous surtout pourquoi tout le monde fuit les campagnes pour aller en ville. Ou une semi campagne a coté d'une grande ville. Les seuls campagne qui sont potable ce trouve dans le sud et encore, ou dans d'autre pays comme le portugal, l'italie. Ou les campagnes sont pas abandonné. Bien sur dans ce commentaire je n'ai parlé que des défauts de la campagne, il y'a aussi beaucoup d'avantage.

comment s'habituer a une vie de " campagne " quand on a vecu en environement urbain toute son enfance .