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26:40 OBJECTION...l’huile de coco « pur poison » On voit vraiment mal comment une huile qui possède 86.5 % d'acides gras saturés pourrait être bonne pour la santé et encore meilleure pour le cœur. Non Monsieur Buchs sauf ton respect Revoit ton cours avec cette fausse doctrine délétère pour jeunes adolescentes garde les allégations sante.é en suppositoire au CHU ..service de Gérontologie. ou au pire pour le cuir de tes pataugas ...🤔🤨🙄

Bonjour en effet c'est la surconsommation de fructose sous la forme de produits transformés, sodas, jus d'orange qui peut provoquer un NASH sur le long terme. Les fruits entiers contiennent des fibres qui ont un effet protecteur. Pour les antinutriments des légumes, la balance risques bénéfices est largement favorable aux légumes en vapeur douce aldente par rapport à une consommation occidentale à base de produits transformés et ultratransformés.

Bonjour, merci pour votre retour. Je n'arrive pas à trouver de recherches scientifiques sur ce sujet. Pour moi la résultante glycémique était surtout utiliser dans la méthode Montignac lors de la phase de stabilisation (IG moyen de 50 lors d'un repas). Je vais avoir plus de préférence avec le concept de charge glycémique (Walter Willet) qui a fait ses preuves à l'école de nutrition de Harvard.

@@williambuchs Merci pour votre réponse, effectivement j'avais vu ça dans le méthode Montignac. Aussi, avez-vous de nouveaux conseils à propos des produits laitiers par rapport à de récentes recherches comme vous l'avez mentionné ?

@@pierrelepvrier8944 Voici la conclusion d'une thèse sur le lait intéressante car on relève à la fois les avantages et les inconvénients (Moiroud, 2017) : le lait aurait un effet protecteur sur certains cancers comme le cancer colorectal, sur la constitution osseuse (à condition qu’il soit associé à la vitamine D), ainsi que sur le risque de survenue du diabète de type 2 ou de pathologies cardio-vasculaires comme l’hypertension ou le syndrome métabolique. Les acides gras présents dans le lait, ainsi que le calcium pour ce qui concerne l‘hypertension, sont les principaux responsables de ces divers effets protecteurs. A l’inverse, une consommation importante de lait peut aussi amener des effets néfastes. Parmi ceux-ci, les cancers hormono-dépendants (prostate, sein, utérus) et les conséquences lors d’intolérance au lactose (troubles digestifs mais aussi selon certains auteurs : eczéma, douleurs, allergies…) sont assez unanimement reconnus par la communauté scientifique. Ces inconvénients apparaissent souvent dans les études à partir de 3 à 4 portions journalières de produits laitiers, c’est pourquoi les recommandations actuelles tendent à conseiller 1 à 2 portions par jour au maximum, tous produits laitiers confondus à partir de l’âge adulte. Le choix de la consommation ou non de lait à l’âge adulte est individuel selon la tolérance de chacun.

@@williambuchs Merci beaucoup pour ces précisions !

Bonjour, je vais vous apporter la réponse. Ou plutôt vous allez vous l'apporter vous-même. Achetez un lecteur de glycémie et faites vos mesures pré-prendiales et post-prendiales. Amusez-vous à consommer le même menu mais en inversant ce que vous voulez et vous aurez en partie votre réponse. Mais vous nous parlez de d'insulinémie (mesurable par prise de sang). Il y a un lien (élastique). N'oubliez pas non plus que ce qui compte pour l'insuline n'est pas forcément "le pic" mais ce qu'on appelle "l'aire sous la courbe". Tout ça pour vous dire que vous devez vous donner les moyens de tester par vous-même plutôt que de chercher des études payantes qu'il vous faudra comprendre et...valider. Nous sommes tous différents, ce qui se passera chez vous ne se passera pas chez le voisin.