Je suis pour!! 😉

Oui, très intéressé par une vidéo sur le clivage !

si j'ai bien suivi, ce serait plutôt la Réunion... (toute ressemblance avec des tubes de Francky seraient donc parfaitement fortuites et à la mauvaise latitude ! 😅)

mh. Peut-être que c'est moins tabou à imaginer quand il y a une très grande distance relationnelle avec un des parent? Mais que ça reste néanmoins questionnant, surtout si l'autre parent n'a pas respecté de distance ? #vtfs

@@pochaze671 Maintenant que j’y pense, en dehors du fait que ma mère soit plutôt une pote, qui est gentille mais qui n’est pas une personne ressource comme le serait un adulte, et qu’il n’y a donc pas de barrière liée à l’autorité, et que mon père soit son ex qui lui a brisé le cœur et dont elle m’a raconté l’histoire assez longuement, ce qui me donne beaucoup de matière pour imaginer, il y a aussi un autre point qui rentre probablement en jeu c’est que je suis moi même asexuelle et que imaginer du sexe est donc pour moi quelque chose qui reste une action physique. Comme je ne sais pas ce que c’est que de ressentir du désir sexuel je ne peux pas aller plus loin que concevoir que quelqu’un qui pratique en étant consentant ait conscience de son propre désir de le faire et que c’est probablement pour ça qu’il passe à l’acte, mais il m’est impossible de donner du sens à la différence entre le désir sexuel et le désir de manger une glace. C’est probablement pour ça que je ne peux pas comprendre pourquoi c’est tabou, l’objet du tabou en lui même est insaisissable pour moi.

@@unrealemma8724 tant que cela n'est pas cause de mal-être et ne vient pas faire obstacle à tes projets de vie, ton approche rationaliste de ce sujet ne semble pas un problème. On voit que tu as un degré certain d'introspection et d'élaboration, logique si on commente sur cette chaîne. Vois-tu la psychologie (ou la psychanalyse) comme un loisir, une ressource, un projet ?

@@pochaze671 Pour moi la psychologie est un loisir. Ça découle à l’origine de mon attrait pour les films d’horreur, j’ai commencé à chercher des documents sur le véritable milieu psychiatrique fermé par attirance morbide pour les trucs glauques. Après internet a évolué et il y a commencé à y avoir beaucoup de contenus sur la psycho qui n’était pas dark du tout et je suis passée de la catégorie horreur à la catégorie comédie dans ma consommation de contenu parce que c’est devenu une source inépuisable d’amusement d’explorer l’écart entre mon fonctionnement et le fonctionnement « normal » qui est décrit dans ce type de vidéos. Comme j’ai été diagnostiquée autiste avec des zones de surdouance dans mon QI j’ai aussi essayé de voir si les gens qui avaient un diagnostic similaire me ressemblaient beaucoup. J’ai découvert que non, ce qui a d’abord été très irritant parce que c’était censé être le cas, puis finalement je me suis dit que ça n’a aucune importance. Ce qui compte c’est que ce diagnostic explique au autres les bizarreries de mon comportement d’une façon qui soit satisfaisante pour eux, ce qui désamorce les problèmes. Parfois ce type de vidéo peut aussi me faire gagner du temps en apportant des réponses sur des choses qu’il est apparemment tabou d’expliquer dans la vraie vie, comme qu’est-ce qu’il est censé se passer pour une personne normale quand elle parle à un psy. Parce que IRL on va me dire « ça serait bien que tu sois suivie » ou « ça serait bien que tu en parles à un psy », et si je demande pourquoi on me dit que « je verrai », qu’il faut que j’essaye pour découvrir. Ça me rappelle quand on m’a inscrit dans un cours de danse quand j’avais huit ans et que quand j’ai eu la vingtaine, au hasard d’une conversation téléphonique ma grand mère me révèle que ma famille espérait que je me fasse des amies au cours de danse parce que ça les tracassait que j’ai pas d’ami. J’étais là « AH » ça aurait été bien de le dire à l’époque parce que comme je ne le savais pas je suis partie dès le début du principe que je n’allais les voir que une fois par semaine et je n’ai même jamais connu le prénom de aucune d’entre elles. Quand les gens ne savent pas à qui ils s’adressent sur internet, ils disent des choses qui balayent plusieurs interlocuteurs possibles et donc ils donnent plus de contenu dans leur discours que dans une conversation IRL

Je lis ce commentaire au moment du "ta touffe m'étouffe", du coup j'ai fortement douté de quel gazon il s'agissait ici 🤣

(du coup OUI je suis venue me réfugier dans les commentaires quand on m'a demandé d'imaginer mes parents copuler, je fais pareil quand je flippe devant un thread horreur 🤭)

C'était donc vrai ! Les films et autres médias d'horreur sont bien reliés au refoulement sexuel! 😁

La fuite... hum... ah oui ?

après l'agression 'objective'. Autant pour la distinction entre cadre thérapeutique et dialogue avec le thérapeute.