Merci Julien et c'est moi qui vous remercie pour tout l'intérêt que vous portez aux "bournhous" . La réussite du mouvement qui consiste à libérer les abeilles de l'apiculture traditionnelle, dépends de vos énergies et de vos réussites. Oui c'est moi qui vous dis "Merci"

Bonjour Pierre...Agréable souvenir de notre rencontre...

Merci pour elle!

Salut Henri je pourrai avoir ton numéro en privé je l avais mai prddu mon téléphone

Bonjour, Merci pour votre message. Les tripodes servent à placer des troncs creux qui ne sont pas des ruches troncs mais simplement des nids dans lesquels sont introduits des essaims destinés à retrouver la vie naturelle des abeilles. Aucune incursion, aucune aide, rien qui ne vienne entraver ce pourquoi elles sont faites. Le tripode permet une végétalisation (plantation de plantes grimpantes aux pies de l'édifice) qui donne au nid une protection naturelle contre les canicules prévisibles de l'été, mais aussi provoque une difficulté supplémentaire aux chasses du frelon asiatique qui de fait ne peux cibler un trou de vol trop précis. De plus la base du tripode est fournie en terre enrichie en micros organismes tel que le Scimitus (acarien prédateur de Varroa.) . le tronc étant ouvert en son fond, les acarien qui chutent du nid sont ainsi éliminés par Scimitus. Cela permet de limiter (ce n'est pas un traitement...) l'infestation du varroa sans hotter aux abeilles l'instinct de dépouillage qu'elles doivent développer par elles même (Elles le possèdent génétiquement, mais n'ayant pas eu affaire à ce type d'acarien depuis trés longtemps, elles doivent y revenir avec le temps. Et ce ne sont pas les traitements chimiques ou autres qui le leur permettra...)

@@igoir1 Bonjour et merci pour votre réponse. Je peux donc laisser en permanence ce tronc creux avec le tripode dans mon rucher sans y toucher ? Il y aura ainsi dans le rucher des ruches Dadant et un essaim sauvage. Au plaisir.

@@thierrylambert6556 Oui, au même titre qu'un essaim sauvage qui viendrait se loger naturellement au alentour de votre rucher. Quelques précautions pour lui: qu'il soit le plus à l'écart possible, bien protégé des vents dominant, pas en plein soleil... et juste en observation pour vous. Les colonies sauvages ne sont pas à l'abri des mortalités, des maladies et autres accidents inerrant à la vie sauvage et naturelle. Mais si vous avez la chance de tomber sur un bon essaim, réactif et énergique, vous devriez avoir de beaux moments d'observation à venir, et par vous même vous constaterez qu'une colonie sauvage, éloignée de "nos soins", possède des résistances que nos méthodes d'apicultures actuelles s'acharnent à saper. Bonne continuation.

@@igoir1 Bonjour et merci beaucoup.

@@igoir1 Bonjour, Je reviens sur votre commentaire concernant le depouillage des abeilles. Je suis en train de créer un projet de pose de ruches sauvages dans mon agglomération et je souhaiterais intervenir au minimum sur ces ruches. Puis je savoir si vous appliquez un traitement sur les colonies ou bien vous faîtes confiance à la nature. C'est mon cas, peut-être idéaliste, mais si on ne leur fait pas confiance, on ne donnera jamais la chance aux abeilles de retrouver un instinct de protection et de défense contre les parasites. Comment pourrais-je vous contacter si cela ne vous dérange pas ? Merci encore pour votre travail

Bonjour. Vous pouvez retrouver l'actualité d'Henri Giorgi sur la page de nos contributeurs: www.abeillesenliberte.fr/contributeur/henri-giorgi/

Vous pouvez déplacer la ruche vers fin mars et nettoyer le fond. Puis bien sur remettre la ruche en place. On peut aussi en profiter en penchant la ruche en arrière, pour éliminer les bâtisses du dessous sur une dizaine de centimètre... Celà permet aux abeilles cirières de régénérer ces bâtisses. Mais attention à ne pas être trop "hygiéniste" avec vos abeilles. Souvent on pense bien faire en nettoyage, grattage, brulage ..etc... Mais bien souvent aussi on détruit des éléments qui font partie de la "pharmacopée" du nid d'abeilles. Il y a encore beaucoup de choses à apprendre sur les 'déchets" de fond de ruche. Entre autre certains micro organismes trés utiles aux abeilles. Aussi la meilleure méthode pour protéger nos abeilles est elle de les laisser gérer leur milieu.

Merci pour votre message. Ennuyeux cette humidité. Les abeilles ne craignent que trois choses: les courants d'air réguliers et froids, l'humidité et les méthodes d'apicultures invasives de l'exploitation de leur miel. Donc cette humidité est assez ennuyeuse. Risque de fermentation des déchets hivernaux, momification des larve (couvain sacciforme au printemps...). Je pense qu'il faudrait placer une lauze ou une ardoise sous la ruche et la pencher un peu pour favoriser l'écoulement... Je propose ça parce qu'il s'agit d'une ruche tronc. Dans le cas d'un nid d'abeilles sauvages (comme c'est le cas de ceux placés dans des tripodes et que nous mettons en forêt) je suis moins regardant. Les troncs reposent "presque directement" avec la terre du sol.

Merci pour votre partage. Je crains que la plaque de béton que j’ai mise en plancher, bien que sur des pierres, soit poreuse....une lauze le sera moins.....mais ça veut dire qu’il faut 2 lauzes pour une ruche.....aïe Si on fait un plancher avec 2ou 3 belles pierres, il va y avoir des interstices : que peut-on accepter comme trous par le dessous sans rendre le gardiennage trop difficile pour la colonie, sachant que j’ai déjà 5 trous de 8 mm pour l’entrée?

@@nicolasgaudout3593 ...pas de panique! Des belles pierres plates peuvent suffire. D'ailleurs l'été il est bon de soulever légèrement la ruche afin d'offrir aux abeilles des possibilités de sorties multiples sous la ruche. Cela favorise aussi les échanges d'air et d'atmosphère de l'intérieur de la ruche. Aussi, devant les attaques de frelons les abeilles ont bien plus d'échappatoires. Conclusion, que le bas de la ruche ne soit pas fermé hermétiquement n'est pas un inconvénient. Bien au contraire c'est un avantage. L'hiver il suffit de bien entourer la ruche d'une bordure de terre (si possible, mais pas obligatoire, mélangée avec du crottin de cheval...) pour l'isoler des courants d'air.

Merci pour cette réponse. Trop bien d’intervenir sur freethebees

Pour cela, nous vous invitons à vous rapprocher d'Henri Giorgi.

le varroa fréquente les ruche tronc comme il le fait avec n'importe quelle ruche. Simplement ce sont nos actions et les dispositions que nous prenons avec nos ruches qui créaient les fortes infestations . Il faut absolument éloigner les ruches les unes des autres à de grandes distances. Dans la mesure du possible utiliser le Scimitus (acarien prédateur du sol), et enfin permettre aux abeilles de "retrouver" les défenses qui leur permettent de lutter efficacement contre le parasite. Cela implique des pertes certes, mais des essaims résistants émergent toujours au bout d'un moment... pour ma part je ne traite pas: je favorise l'éloignement des colonie et je favorise la présence de scimitus...

L'activité des abeilles sur un même lieu d'occupation est trés variable. Suivant effectivement le type de ruche(isolation, volume...) mais aussi les besoins du moment. Surtout en fin d'automne, certaine colonie s'acharne à trouver encore quelque nourriture tandis que d'autre à l'aise dans le stockage de provision n'engage pas de perte d'énergie en vols de recherche.... La chose est assez courante dans la nature. On retrouve cette économie énergétique chez certains prédateurs qui jugent utile ou pas une attaque qui leur rapporterait moins en énergie que la dépense énergétique gagnée par l'attaque. Cette réponse n'est que réflexion éloignée, car une rapide et discrète visite de la ruche tronc serait utile.

...merci pour votre message. l'activité d'une ruche à l'autre, surtout en automne dépends de beaucoup de choses... la nature de la colonie, le type de ruche (isolation), emplacement au rucher..;etc. mais aussi une règle qui prévaux pour beaucoup d'espèces animales: ainsi beaucoup de prédateurs calcul le rapport entre l'énergie dépensée à la chasse (ou recherche de nourriture) d'une proie et l'apport énergétique que leur rapportera cette proie. Cela fait partie des régles de la prédation: ne pas dépenser plus pour une action qui rapportera moins. On le retrouve chez les abeilles qui n'ont en automne possèdent de forte provisions et qui n'ont aucun intérêt à partir en recherche inutile. Il peut y avoir d'autres raison aussi: sanitaires, de gènes parasitaires.... Mais pour cela il faudrait voir sur place. A observer si des abeilles trainent par ci par la autour de la ruche.....

La ruche kenyanne est trés à la mode en ce moment... mais comme son nom l'indique c'est (comme toutes les ruches à développement horizontale) une ruche adaptée au climat chaux et aux hivers quasiment inexistant. dans nos contrées l'hiver implique des volumes à développements verticaux afin de privilégier des volumes hivernaux en hauteur de la ruche (moins de déperdition de chaleur et meilleure concentration). Cela implique bien entendu une plus faible consommation de miel en hiver pour le maintient d'une température interne idéale. Etant vous même dans les Cévennes, la ruche tronc s'impose non?

@@igoir1 c'est un choix que j'ai hésité à faire quand j'ai acquis mon terrain. D'autant plus que je suis dans une Chataigneraie. Je pense bien que je vais m'orienter dans ce chemin dès que ma ruche refuge en bois cordé sera faite

@@sylviemarcel4317 Bonne continuation!!