merci pour cette redefinition, d'être soi, Julie de Funes , c'est avant tout maintenir contre vent et matée , souffrance et joie , le courage de vivre

Salut Une modeste intervention si vous le permettez Chaque philosophe reste le produit de son époque, si l'on ajoute à cela la notion du temps, de l'histoire du mouvement humain dans le temps...on se rend compte que la "vérité" est en constant mouvement, et pour que l'Homme se met à son niveau il se doit d'être tjrs en mouvement avec la même fraîcheur d'esprit. Plutôt que de dire que l'on est sensé devenir ce que l'on est, je dirais qu'il nous faut nous rappeler qui l'on est, un rappel comme une alarme tjrs présente pour ne pas s'oublier, est c'est une grande porte vers la fameuse phrase :" connais toi toi même et tu connaîtras les seigneurs et l'univers." Se rappeler donc qui on est, ensuite accéder à la dimension de la connaissance de soi, une dimension ou la physique du temps et de l'espace est sujette à d'autres lois. Je me contente de ça. Merci à vous

Trop fort F.Luchini 😂, j’adore

Reconnaitre ce que l on est,c est une question de grace et non de volonte.

L’idéologie du marché , une pensée qui a besoin d’être soutenue même si ça ne tourne pas rond , mérite de s’écrouler , ça rapporte au carré , donc mieux vaut forcer un carré de bêtise dans un rond de bonheur que de perdre un rond . " Préférer être vivant que sage avec toutes les abandons de morale que cela suppose, " c'est le 49 .3 préférer être devant que derrière avec tous les abandons des derniers que cela suppose La dramatisation du 49.3 , c’est comme une chocolatine , ça fait partie des petites choses , à dramatiser ce qui les entoure , il faut attendre qu’elles refroidissent dont ils n'arrivent jamais à atteindre le sens d'être pourvu d'une seule bouche et donc d'une unique voie , pour savoir si de menue détail , elles sont bonnes à "partager" contre l'avis du peuple avec une gêne de communication et de participation du désir de durer pour recommencer ce qu'on aime un goût , qu'on est important , nécessaire , aussi de s'expliquer à soi-même et aux autres que ça va bien se passer à l'intérieur Le libéralisme veut dévaster l'ancien monde pour construire un nouveau avec de nouvelles règles irrégulières politiquement correctes que si autant libérales elles sont égales pour assoir ses fins aiguisées , instaurer un nouvelle ordre d’enthousiasme et de larmes à calculer les moyens , de nouveau mécanisme de violence à couteaux tirés du tiroir d'insupportables journées , répétées à vivre à sec de tout sentiment , à en être rendu comme un continent de malheur qui n'exclut aucune jouissance moche . Le despotisme , à en être aux épées des mensonges de gré ou de force dans un climat entourant les faiblesses par la contrainte , correspond à la dégénérescence possible de tout régime quand on est désespéré dans un sac à nœuds , et la démocratie n’échappe pas aux brisures du mauvais temps , ces lumières pas plus que les autres sont aussi ce qui échappe à l'activité des hommes honnêtes . La gratitude est la preuve de la valeur d'une chose , si on souffre ou que d'autres le sont de plus en plus avec la satisfaction des besoins repliés d’un coup au plus bas , c'est qu'on veut nous entraîner à faire partie de l'inventaire avant liquidation, avec l’air servile et désarmé , et de la mise sous cloche d'un pan de la société destinée à la reconsidération pour le rester et faire de cette situation incomplète de la correction des besoins essentiels leur lot à subir de leur œuvre malgré eux et se sentir simultanément le grand vaincu qui n'a rien demandé . Rien n'est inconcevable en soi de dénoncer et combattre le despotisme libéral , plus inconcevable est qu'on se divise pour sa chaumière empirique et qu'on ne fait rien de constructif pour défendre la maison fraternelle à la base de notre civilisation , la France libre , des catastrophes libérales qui la détruisent pour imposer son ordre économique et social qui remplace la liberté par l’éclatement libéral , littérale de nos vies . " Pour qu'on ne puisse abuser du pouvoir, il faut que, par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir » Si le capitalisme est le prédateur ultime du monde , le libéralisme en constitue l'idéologie destructrice finale . Le capitalisme , le bras industriel armé de mythologies immobiles , une expérience éternelle du ciel et de la terre sans vie que tout homme est censé y distinguer des morts ailés ceux dont la force avaient des concepts et des rouages universels justes et solides du pouvoir suffisant pour mener le monde , Il n'y avait qu'un secret , être porté à en abuser , sans le coureur des bois que l'on connait sous les traits de Robin de comprendre pourquoi on aime ni erreur de la crainte de se tromper , de Thierry ni illusion de pourquoi on souffre, des reproches d'avoir raison ; pourquoi on vit et on meurt que c'est le vrai mis à nu du fruit amer bien sans danger de la nature que la force porte à la franchise sans bornes de nous nourrir d'amour et de vie . La vérité seule , c'est d'être fort aux nues de la fronde attachée à la personne et ses droits à propulser avec la passion d'atteindre à l'infini le bien général sur les lois particulières mises en moyens de procéder à son organisation , inévitablement mal savoureux pour quelques-uns seulement . Pour qu'on ne puisse des vivants qu'on abuse qu'ils surgissent sous le vernis de nos portes du pouvoir que le libéralisme a fauché et fermé pour nous faire renier l’esprit d’inégalité qui cache les dangers qui le mène à l’aristocratie de notre passé, qui nous poursuivent au gouvernement d’un seul et nous tronque de ceux du présent , le capitalisme , jeu solitaire à variable d'ajustement du nombre rêvé , a besoin de l’énergie de la terre et des hommes , l’esprit d’égalité , dont il épuise les forces jusqu’à la fin extrême . Il ne peut avoir qu’une brève durée d’existence qui l'a conduit dans l’histoire au despotisme , mais il a suffisamment , d’un seul , le temps d’absorber toutes les ressources vitales de la planète de l'humanité en cloisonnant avec lui , qui ose tout , nos esprits à ne pouvoir avoir un futur libéré mais un futur vidé de tout qui corrompt inévitablement la raison du présent . Le libéralisme, c'est un jour de fête commerciale et 365 jours de prison libérale sans droit de visite du Père Noël .

J'adore cette philosophe. Elle est d'une telle limpidité et surtout d'un esprit philosophique très puissant.

j'adore cette phrase "je prefere etre vivant que sage..."

J'aime beaucoup Julia de Funès

N'empêche Nietzsche était très critique envers la religion mais c'est quelque chose qui affirme les choses sans chercher à prouver

le mental contre le coeur

Questions :: Comment un mec qui joue si bien la Mort de la Concierge peut frayer avec Macron ? Un gars qui fait une sortie si virulente sur le Covid ?? J'imagine qu'il a du subir des pressions.... fiscales ou autres. Qu'en pensez-vous ???

Vivant plutôt que sage avec abandon de morale 🤔 si ça existe : c'est les influenceurs , les anges de la télé, les politiques aussi !😁🤣

Ces intellos de salon qui se gargarisent de mots et de concepts: tout ce que Nietzsche exècre...

On ne peut être plus loin de Nietzsche sur ce plateau petit bourgeois.

Vive Schopenhauer !

Il faudrait d'abord ce connaitre avant de devenir ce qu'on est, non ?

Elle est marrante cette Juliette, mais je préfère Louis, il est plus clair dans ses expressions...

Et la gonzesse vas voir le cheval de nitch un film hongrois il part d un polnt il fait un grand tour et il revient au meme point la j ai tout compris

" Nietzschienne " 🤣

beaucoup des mots pour dire absolument rien du tout

Et toi tu progresse en disant des conneries c est sur avec luccini Comme pof tu vas allez tres loin c est sur c est pas du berthold Brecht

Être vivant plutôt que sage avec tout l’abandon de morale que cela suppose… c’est impraticable, c’est impossible?? Ah bon? Elle est pas mal celle là… apparemment Mme de Funès ne vit que dans son petit monde… et clairement elle s’adresse à elle même! C’est là où se trouve sa limite… aucun recul, et peu d’ouverture d’esprit.

C’est Heidegger le meilleur

Cette De Funès surpasse le Louis homonyme dans la pitrerie salonnarde. N'a rien compris au dialogue socratique . Et l'autre grand niais de Trapenard et ses yeux de merlan frit... Quelle misère !

Et blablas...Les Bobos s'écoutent parler! Il n'y avait pas de table chez Lipp?

grands blablateurs, broyeurs de mots.

je préfère Louis de Funes à cette ennuyeuse Julia prétencieuse

Une femme ne peut absolument pas parler de Nietzsche

Elle est nulle... totalement nulle, dans tout ce qu'elle dit.

Funeste Julie, Louis par ses grimaces en disait plus que vous et surtout plus simplement et si l'Augustin allait prendre un bain çà serait pas plus mal ! Quand à Fabrice, il assurait le service après vente de sa pièce. Un Uber l'attendait pour le jeter au Flore !