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FATRAS DE MOTS
Paroles Joël Maillard (14 janvier 2011)
Vapeurs de brume, ciel qui s’allume, lumière éteinte, où sont mes plaintes ?
Dans le brouillard, lueur d’espoir, et je m’endors, Tel est mon sort
Mon parapluie est tout petit, je vois la mer au fond d’un verre Je bois la mer dans le désert, un coquillage sonne l’orage
Il est midi, je suis au lit, un ascenseur dans la douleur Plume qui vole, plus de pétrole, je vois un phare dans un miroir
J’attends la mort, sans un remords, et mes chagrins volent au loin Sur un radeau, je vois des mots, et des regards, remplis d’espoir
Fleurs sur la lune, c’est la fortune, qui ce matin, semble si loin Lueur d’espoir dans un regard, Et ton sourire, fuit mon délire
Un doryphore, berce mon corps, Berce mon âme, souffle ma flamme C’est un péché, faut l'partager, Dieu me pardonne, je ne suis qu’un homme
Et pour finir, Je dois bien dire, les papillons sont des poissons Et je termine, ma triste mine, dans le miroir, donne l’espoir
Une parenthèse, couleur de braise, et mon chapeau me dit ces mots Tant de couleurs, l’odeur des fleurs, tant de parfums n’y changent rien
Tant de prisons, tant de pigeons, tant de couillons qui tournent en rond Tant de prisons, j’oublie les noms de ces pigeons qui tournent en rond.
Tant de prisons, tant de pigeons, tant de couillons qui tournent en rond Tant de prisons, j’oublie les noms de ces pigeons qui tournent en rond.