You couldn't have say it better. Beethoven's art itself its for me the summit of the civilization and the greatest of all intelectual works ever.

Merci, merci pour ces instants de grâce.

I'm beginning to think so myself.

Thanks a lot for giving us the details; it is so much easier to listen to specific parts.

merece estar junto a la interpretación del cuarteto de Tokio

' Molto Adagio - Andante - Heiliger Dankgesang eines Genesenen an die Gottheit , in der LYDISHEN TONART '

Marco1281 -- .....pretty sure it was the other way around. Cheers from Acapulco!

Hello :-) Sorry but i dont understand your answer : pretty sure it was the other way around. What are you refering to ? Cheers from Paris ! :-)

@@Marco1281 -- I just think that, if anything, God was being helped by Beethoven. C'est comme lorsque votre barde intones, "C'est l'Ennui! L'œil chargé d'un pleur involontaire, II rêve d'échafauds en fumant son houka. Tu le connais, lecteur, ce monstre délicat,- Hypocrite lecteur, - mon semblable, - mon frère." Êtes-vous d’accord?

@@steveegallo3384 Ha ! I understand now - well, the explanation of "the other way around" . :-)

Pour en constater la vulgarité propagandiste chrétienne ?! Huxley en parle comme d une musique ascétique ( comme peut être l arietta op 111 ou les variations op 120 ) , alors qu elle est chargée d émotions (a titre superlatif , si on considu les harmonies de la section entre les sections rapides.).

Sie meinen wohl den dritten Satz!?

you mean Bartok's with Beethoven's

I say I find his influence more beautiful. At the time his music and last quartets were ahead of his time, but mendelssohn took it and analyzed it to write his string quartet no. 2 in a minor, a veryyyyyyyyy lovely piece

nice what You SAY .

Je suis pour le moins surpris, que vous soyez à court d'explications, sur le comment et le pourquoi du GÉNIE des derniers Quatuors de L.V.B. Déjà, dans mes tendres années, quand je sus qu'il les composa alors qu'il était déjà sourd...et à leur écoute...je compris qu'il entendait cette musique intérieure...jours et nuits...pour compenser sa surdité...et que ces dernières oeuvres...sont sans conteste...le génie INTIME du Créateur avec le Créateur. Transcendance...certes. Communion...assurément. Connection directe avec l'infini Total...nuls doutes. They are, if i may, no harder to explain than... Ludwig was on the last leg of a MAJOR psychedelic trip in the Universe...on Earth. Voilà. Au plaisir de vous lire à nouveau...

@@Claude1Rochon Bonjour Claude. je ne comprends pas bien votre question. Cela a été débattu des centaines de fois dans la littérature, de Romain Rolland et Chantavoine à Boucourechliev en passant par le très intéressant livre de Kerman. Il y a dans le dernier Beethoven une sorte de transcendance entre des formes établies et un manière qui lui est propre de les prendre par le cou et de les plier à sa volonté. Ainsi, pour en rester à ce quatuor, le premier mouvement est à la fois ample et aéré. Comme dans la IX° syphonie, le '2° thème' est à la tonalité usuelle du relatif majeur de la sous-dominante, ce qui implique une chute de tension au lieu de la tension liée à la région de la dominante, pour laquelle il utilise parfois une tonalité de substitution (op. 31 n°1, op. 57) mais toujours dans la région de la dominante. Comme dans le quatuor en Ut# mineur, dans le second mouvement, il n'arrête pas de réassimiler le K. 464 en La de Mozart ce qu'il fit dès l'op. 18. le troisième mouvement alterne choral et sorte de scherzino en Ré majeur, en créant une forme articulée en 2 volets comme, dans un autre genre, le mouvement lent de la IX° symphonie voire le dernier mouvent de la sonate en La bémol majeur, qui fait aly terner arioso dolente et fugue, droite et inversée. . Jusque là, le quatuor, fort beau, s'était défié d'une certaine forme de lyrisme en 'vagues rythmiques' que l'on rencontre avec surprise dans le dernier mouvement, un rondo-sonate assez régulier. Cheers !!!!!

De ma grand mère aussi.

Ah oui ?Référence , s il vous plaît ( pour l allusion aux quatuors des années 1820 ,a l exception du dernier , je connais , merci., même si je ne sais plus dans quel livre.)

Citado en Contrapunto, de Huxley

Holy Song of Thanksgiving. But, yes, you're right; it is wonderful.

Ah ! but no ... your perception has fooled you... poor balcony dweller on the other side of desire... let me reassure you...( i know something of this.. ) you were indeed on the right balcony...for on the other with the magical reflection...everything was roasting and sweating like a pig...save the fact there might be artificially cooled mutants behind the glass. So, the sun's reflection was on your crumb, really.

@@Claude1Rochon Charity is cold in the multitude of possessions, and the rich are covetous of their crumbs. For the Longitude is (nevertheless) attainable by steering angularly notwithstanding. So it is the right balcony after all. For Bullfinch is under Bull. God be gracious to the Duke of Cleveland.

So sorry about that Duke of Cleveland reference though, about 130 years out of date I suppose, but, you know how they are covetous of their crumbs.

He decided to be a condictot

@@johnwilliamadlington1552 Thank you. But look at that glorious bowing technique- arm and hand. Thank goodness for these wonderful recordings.