Le problème n’est pas la méritocratie mais le monopole sur le marché de l’emploi des grandes écoles et la cooptation en leur sein . L’excellence universitaire est d’office exclue par cette mentalité de chasse gardée. On voit maintenant où en est la France qui sombre dans la pensée unique.

Je suis sorti d'une école supérieure de commerce en 2001 avec mon diplôme et je n'ai trouvé aucun emploi dans cette branche. Car pour réussir, il faut être un séducteur et avoir la bonne "personnalité". Quel est le mérite d'avoir une personnalité plutôt qu'une autre ? On est jugés sur des choses qui n'ont rien à voir avec le mérite scolaire. -- Finalement, je suis retourné à la musique.

La vie est la seule voie qui ne vous doit rien , ne ment pas et surtout vous n'avez aucun droit qu'elle mène personne à la mort sur le destin . Tout le monde ne fait pas comme ça mais dans les dessous , personne ne s'en prive et alors c'est vivre et mentir au lieu de mourir et sentir . Tout le monde ne fait pas ça de mourir comme ça pour sentir ce que ça fait mais tout le monde fait tout pour vivre comme ça se mentir sur sa mort pour vivre sans compter . L’indiscipline de penser contre son temps aveugle et de tous les instants , c’est de l’héroïsme. qui fait la force principale des hommes libres . Mais le dire , le mouvement est une source de la folie pétrifiante les actes morts , de la pensée contre productive qui demande qui pourrait être bien son maître à penser; le mini libéralisme tient la première tôle , pendant sa durée de se laisser tenter d'abandonner l'apparence du réel contre l’instabilité de notre être irréel , bien pâle de sa condition d'homme matérialiste qui révèle la misère de nos pauvres limites qui ne fait que tendre à la mort idéologique de se laisser faire , de ne pas vivre comme il le veut sa liberté , s’il faut toutefois l’appeler vie dans ses conditions non optimales d'éviter un enfer quel qu'il soit de sa bonté . La vie dit qu'on est malheureux de donner l'apparence quand on a froid ou qu'on est malade du réel ou qu'on n'a pas de quoi manger l’irréelle , ce qui déborde du reste, de nos pauvres limites qui sont des vapeurs non tarifées sur le destin donc qui sont habillés du velours du sursis . Ce sont les sages conservations des lumières en colombes dont le mouvement est une source pétrifiante les actes morts . Penser contre son temps, c’est de l’héroïsme. le vrai tombeau des morts ' . Ils ne disent rien , ils ne se cachent pas sous la table, c'est le cœur des vivants qui ne mangent qu'un bonbon à la fois qu'il faut savoir jusqu'au bout d'aller trop loin du message de la mer sur le talus planté à s'envoler tempétueux comme une feuille de route de la vie même qui est devenue sa voie , ou debout sur la montagne , si profondément élevée au rang du ciel des lumières . cité bercée par la vague des nuages et la mer des rêves .

« À la Terre, restez fidèles. »

C la panique total

Le problème n'est pas tant le mérite que la répartition et le partage des ressources ... qu'est ce qui justifie qu'un individu se retrouve à avoir 100 fois, 1000 fois, 10 000 fois ... le revenu d'un autre individu ?