C'est pas faux ! 😂

Parce qu'en 73 , c'était un pas de plus vers l'érotisme bon marché au cinéma, avant le déferlement porno l'année suivante dans les cinémas généralistes des champs élysées et la législation du gouvernement Giscard pour mettre un terme à ces débordements. Des films porno voisinant avec ceux de Catherine Deneuve ou Louis de funés, le tout censé choquer le bourgeois . Soudain , les films avec Bardot qui avaient tant scandalisé pendant deux décennies paraissaient bien sages à côté et elle choisissait d'ailleurs de s'arrêter, "dépassée" par une "Emmanuelle", elle-même dépassée dès l'année suivante par la vague des films porno. Bref , le cul fait vendre et faisait vendre , particulièrement à cette époque-là où toutes les limites morales n'avaient pas encore été abattues . Le spectateur émoustillé allait s'encanailler à bon compte en allant voir un film qui prétendait être une oeuvre d'art tirée d'une oeuvre littéraire avec l'acteur Claudélien Alain Cuny dans sa distribution comme caution culturelle ( plus tard ils se demanderait ce qu'il était venu faire dans cette galère...). Un film soit-disant d'art qui n'était en fait qu'un film de publiciste. Un coup publicitaire, en somme.

@@ilovemovies725 Très bien résumé, merci !

​@@ilovemovies725 Alain Cuny. Un nom prédestiné peut-être. 😊