Oui je trouve aussi

J'ai étudié un peu ce concept qu'on commence à voir s'organiser dans toutes les grandes villes par divers organismes. Les organisateurs achètent les lots de fringues dites "de marque" à l'étranger à prix de gros (environ 10€ le kilo) et ensuite les revendent en margeant à x3. Avec le concept au kilo, le client ne se rend pas compte du prix, qui peut monter très vite car un simple pull pèse facilement 500 grammes et une veste en cuir 2 kilos. Et surtout, les fringues viennent de collectes de dons que les gens croyaient faire à la charité ! Ca fait un moment qu'on a appris que ces collectes ne servent qu'à enrichir des profiteurs (y avait eu une enquête d'Hugo Clément je crois) mais on en fait quand même car ça débarrasse. Mais comme de nos jours les fringues en bon état finissent avant tout sur Vinted, ce qui se retrouve dans ces lots au kilo ce sont les vêtements très usés, tâchés et troués. Egalement beaucoup de contrefaçons. On ne sait pas comment les fringues ont été stockées, souvent elles viennent de l'étranger donc elles ont bien voyagé, elles peuvent contenir toutes sortes de saletés du type punaises de lit. Bref, à fuir ce concept qui n'est ni écolo, ni éthique, ni intéressant pour le porte-monnaie.

Vous avez raison un vêtement comportait une grosse tache !

Grave! Aux puces c'est 1e ou 50ct pièce et il y a des choses comme neuves

​@@Mia-yr9ovle kilo ?

Et tant mieux😊

Parfois même quand le vêtement comporte plusieurs trous, certains en sont encore à nous baratiner une réduc... Et pendant qu'ils la proposent, on continue à les compter.

toujours mieux que des vêtements produits en asie également avec des matières premières amenés depuis plusieurs parties du monde

@@bgduroi1236 Pas pour moi, je préfère Emmaüs ou les ressourceries, des ventes issues de dons.

Ce n'est pas parce que la fast fashion est un business horrible qu'on doit soutenir la "fast friperie" qui est tout aussi nuisible puisque chaque vêtement a fait 5 à 10 voyages avant d'atterrir dans ton placard ! Sans compter le point que le reportage ne souligne jamais : où ont-ils eu tous ces vêtements? Tout simplement des fameuses collectes de dons par des soi-disantes assos, qui étaient censées aller aux gens dans le besoin ! Au lieu de ça, nos dons remplissent les poches des profiteurs. Autant te dire que plus jamais je donne ailleurs qu'en recyclerie.