Ça commence par vouloir ressembler aux aînés La graine de café au cou jusqu'à la peau de lézard aux pieds On finit engrainés aussi vite qu'on fout le nez dehors Les années passent, on s'trouve coincés dans la même galère Le jour on parle en francs, la nuit on rêve de dollars À force d'y penser trop fort nombreux finissent taulards La vie est précieuse, non pas un film Chaque frère de perdu nous laisse infirmes Mon entourage formé comme un seul corps Des hommes de tête aux bras droits, pas de pieds tendres Paix à nos membres pénétrés par la lumière Nos cœurs ne demandent qu'à aimer, mais dans la vie y a d'la guerre Cette malédiction domine, beaucoup d'ennemis, mais parmi eux trop de tho-my On stocke la rage dans nos abdomens Hommes de l'ombre, hommes de l'ombre Cachés dans les coins sombres, coincés hors des lieux sobres Hommes de l'ombre, je suis un d'ces hommes de l'ombre Aux pensées sombres, 92 artisanale bombe Hommes de l'ombre, hommes de l'ombre Cachés dans les coins sombres, coincés hors des lieux sobres Hommes de l'ombre, je suis un d'ces hommes de l'ombre Aux pensées sombres, 92 artisanale bombe Ils nous laissent même pas l'temps de boire un Fanta ssis-a On veut des chiffres en nombre pour être dans notre Fantasia Les uns taffent, les autres au soleil s'placent Certains forment des staffs de bandits et vivent de crasses ou d'chasses Dandys, on a brandi les- pour affronter les tchitchis qui s'la racontaient Chichis de salopes, des bitches en mal clean On représente aujourd'hui Les vrais sentent le pur produit, v'la les auteurs dignes D'interdits qui claquent sur Internet Par intérêt comme dirait Sacha Un d'mes frères à Zed, Mazalaza, c'est pour les khos Les minces, les gros, les victimes et les pros, hommes de l'ombre, man Hommes de l'ombre, hommes de l'ombre Cachés dans les coins sombres, coincés hors des lieux sobres Hommes de l'ombre, je suis un d'ces hommes de l'ombre Aux pensées sombres, 92 artisanale bombe Hommes de l'ombre, hommes de l'ombre Cachés dans les coins sombres, coincés hors des lieux sobres Hommes de l'ombre, je suis un d'ces hommes de l'ombre Aux pensées sombres, 92 artisanale bombe Si ça marche pas j'arrête, écris sur mes pages à la barrette J'viens d'dehors tout ce que touche devient d'l'or Et puis c'est re-lou d's'épuiser pour rien Vous comprenez pas ou quoi, j'ai pas que ça à faire re-noi Des vols et tout ça j'ai lâché, préfère des tournées Mais si t'achètes pas mes skeuds frère, j'devrais y retourner J'ai pas envie et puis ça me prend la tête, ça m'gonfle J'veux des lingots et puis une pute à coté de moi quand je ronfle Bouger à New York City, quitter les Hauts-d'Seine Dispositif bifton dans l'objectif fils Six millions d'dollars ou d'francs Je m'en fous pour être franc, tu sais, du moment où j'ai du cash monnaie Et à l'école ils m'disaient d'lire, voulaient m'enseigner qu'j'étais libre Va t'faire niquer toi et tes livres On s'débrouille des négros des crouilles Des couilles, des embrouilles et trop de numéros d'écrous, écoute On m'a détruit, déporté d'Gorée Pendant qu'les truies font des portées d'porcs D'or et d'argent, mon crew, mon clan, mes agents Le froid du chrome sur la jambe Chouf le monde est flingué J'm'en bats la race car, j'sais qu'ça va sauter jusqu'en Alaska Je suis un d'ces hommes de l'ombre Aux pensées sombres, 92 artisanale bombe Hommes de l'ombre, hommes de l'ombre Cachés dans les coins sombres, coincés hors des lieux sobres Hommes de l'ombre, je suis un d'ces hommes de l'ombre Aux pensées sombres, 92 artisanale bombe Hommes de l'ombre, hommes de l'ombre Cachés dans les coins sombres, coincés hors des lieux sobres Hommes de l'ombre, je suis un d'ces hommes de l'ombre Aux pensées sombres, 92 artisanale bombe

Ajevi, le tueur !

Merci

Mes mots rimes infusé Mes phrases comme des fusés Je rappe comme un expert qui va tous les usés Je suis pire quun renard ruse Jecris seule ,comme robinson crusoé Cest la crise Les gens pleurent des meres comme à lepoque de noé Des familles qui saignent ,maid personne veut les sauver Je te dis que ce monde est mauvais Mes mots te disent mes vers On cherche tous les lovés Pour payer à des petites zoé Le monde me degoute comme des rappeurs aussi nul que le chewing-gum de biggie Je rappe thallucine Je les degomme en misille Je suis pas si riche Comme gattes bille boulebim Les gens touchent les asediques Tout en visant les ameriques A tes risques et peril Japprend le rap à des freezz ou des faux crime non je rigolle des lacrim Qui se prend pour pablo eski Quesqui veut espece dabruti Certains sont pire que sylvain durif Facon la vie entre pate et riz

Eh j’fini d’gratter et j’arrive, j’suis dans l’son mgl c’pas moi qui pose les tarifs, t’sent la frappe pécho des qu’tarrive, on pue la rue à force de traîner, demain j’arrête, comme les fumeurs j’mytho apres demain j’ai continuer Y’a des potos incarcérés, d’autre dans l’sol, sur nos sort jamais on pleure Dieu est grand et mama prie pour qu’on s’en sorte

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Dans les ruelles brûlantes où l'asphalte fond sous le poids des rêves, La liberté se dessine en traits de feu, dans l'ombre des mosquées. C'est là, entre les murs qui racontent l'histoire des oubliés, Que nos voix s'élèvent, que nos mots résonnent comme des vérités. La liberté, c'est cette flamme qui brûle dans nos poitrines, Qui refuse de s'éteindre, même face aux chaînes, même sous la haine. C'est le cri des opprimés qui résonne dans nos chants, Lorsque l'on refuse de se taire, lorsque l'on refuse de baisser le flanc. Dans les dédales de la cité, nous sommes les héritiers de la révolte, Les enfants des quartiers oubliés, les gardiens des secrets les plus sombres. Chaque cicatrice sur notre peau raconte une histoire de résistance, Chaque larme versée est une promesse de persistance. La liberté, c'est aussi le poids des responsabilités qui nous incombe, C'est le devoir de se battre pour ceux qui ne peuvent pas, pour ceux qui succombent. C'est lorsque nous brandissons nos stylos comme des armes, Que nous devenons les soldats d'une cause qui dépasse les drames. À travers les souks animés, nous tissons les fils de notre destin, Entre les soupirs des femmes voilées et les cris des enfants. Chaque regard échangé est un pacte de solidarité, Chaque geste posé est une promesse de liberté. Et lorsque le temps viendra de rendre compte de nos actes, Nous pourrons regarder en arrière avec fierté, sans pactes. Car tant qu'il y aura des cœurs qui battent pour la liberté, Nous serons là, fidèles à nos convictions, à jamais engagés dans la lutte, sans pitié.

Waaaoooooo thanks for this beat 👍👍👍

Wesh sisi 92 izi

Putin ça brûle, appeler les pompiers ❤❤

On m'a dit "faut jamais baisser les bras"

😉BYBHR