Un vrai moment de bonheur cette interview ❤️❤️❤️🐺🐺🐺🐺🔥🔥😈😈🤣🥳

Connaissais pas du tout certainement pour des raisons de générations; Connaissais son père que je suivais vraiment et dont j'étais intellectuellement proche. Merci Fanny de m'avoir fait découvrir cette prodigieuse artiste à la sensibilité si authentiquement perceptible. 😍🥰

❤Elle a une voix splendide, j'aime beaucoup sa musique, son jeu d'actrice, son énergie.❤

J‘ai adoré son premier album, vraiment l‘un des mes albums préféré, tout cour! J‘adore chaque titre! Je n‘aime pas trop la musique qu‘elle fait en ce moment mais en tant qu‘artiste elle est assez interessante. Donc je me réjouis de voir cette vidéo!

Il était cooool cet épisode !!😍

J'ai a do ré 💜

❤

A la 32 eme minute quelque chose se passe vraiment : Izia dit « il y a l’empathie aussi ». Tu réponds : « oui mais ca peut être dangereux aussi ». Il me semble que c’est justement l’absence d’empathie qui est dangereuse ou plus précisément pathologique. On parle souvent d’hypersensibilité pour désigner, voir stigmatiser les personnalités qui communiquent sur les émotions qui les animent, il semblerait qu’ils soient hors normes comme si le mutisme était souhaitable. Izia parle de naïveté, de faiblesse comme si à l’inverse la dissimulation, l’hypocrisie pouvait être une force ? Pour parler en langage binaire il y a ceux qui existe en acceptant de ressentir pleinement les émotions qui s’invite dans leurs corps et les partagent puis ceux qui se cachent, qui à force de refouler ne ressentent plus rien par peur de souffrir. C’est la conséquence d’un objectif de vie définie de manière tacite, qui propose toute une génération de se sentir valoriser en voulant paraitre fort comme de la moutarde et pétris de certitude sur la nature humaine. On ne peut pas considérer l’état de carence affective comme une norme ou relevant de la nature humaine même si un grand nombre de personne semble en être atteins. C’est structurel, les gents pressés comme des cirons n’ont pas de temps pour l’altérité. L’apprentissage du goût demande du temps, le dégout est plus accessible alors tu mange sur le pouce. L’appétence sur un plant culinaire à perdu de sa diversité pour des raisons commerciale, le gout des autres sur un plant relationnel s’oriente vers la même direction, on précarise les liens. Si tu gagne le combat contre ta honte d’exprimer la douceur d’un velouté sous ton palais, le craquant d’un carreau de chocolat, alors peut être un jour, toi aussi tu oseras dire sincèrement que tu aime, que tu a mal, que tu as froid sans avoir peur de passer pour la douce dans le rayons des pots de moutardes. Alors les hypo sensibles deviendrons plus nombreux et les hypersensibles serons considérer comme des gents normaux, je ne te cache pas qu’il y a encore du pain sur la planche !!!