L’espoir suscité par l’utilisation des psychédéliques repose en partie sur :
1) des observations cliniques ou expérientielles de modifications
des cognitions et/ou de comportement durables,
2) sur un corpus grandissant de travaux en neurosciences suggérant la mise en jeu précoce de modifications structurales à l’échelle des neurones. Nous illustrerons certaines de ces hypothèses, de la plasticité comportementale à la neuroplasticité, avec un focus sur la dépression et le trouble obsessionnel compulsif, deux troubles mentaux candidats à l’investigation clinique de l’effet possiblement thérapeutique des psychédéliques.
Présidence : Luc Mallet, Créteil
Orateur : Hugo Bottemanne, Paris
Session avec le soutien institutionnel de l’AFPBN