L'éducation extrêmement stricte, la mère ambitieuse et toute-puissante, l'absence du père, l'importance de la musique dans la culture viennoise. Tout ce que décrit très bien Elfriede Jelinek avec un humour féroce dans son roman en partie autobiographique.

Il la nargue après avoir vu sa folie. Je pense qu au départ il était très sincère. Puis désespéré... Et il se détache avec brio ds cette scène où il l appelle professeur.

Non objectivement le mec est plus abject et barré qu'elle.

@@emiol2000tu dis pas non, réfléchis d d'abord !

@@emiol2000 tu peux expliquer pourquoi stp

@@tharakir1328 Elle a des désirs qu’elle n’a jamais appris à partager et elle essaie de les lui partager (maladroitement, certes, encore une fois elle ne sait pas comment s’y prendre). Mais il les interprètent au premier degré et sans empathie. Par exemple, comme nous lorsqu’on fantasme, c’est excitant et sans embarras alors que lorsqu’on essaie de les réaliser c’est beaucoup plus dur et parfois même décevant ou écœurant. Donc nous prendre au mot et nous intégrer à froid dans l’un de nos fantasmes ce serait l’horreur. Et malheureusement, c’est exactement ce qu’il fait, il la passe à tabac et la viole sans prendre en compte l’ambiance, le contexte, son langage corporel ou verbal, elle lui dit « non » qui sont tout sauf ceux d’un moment de partage. Et il refuse de remettre en question ses actions et se justifie de manière très froide en se disant qu’il a seulement exécuté ses instructions, sans s’inquiéter de son plaisir, son bien-être ou la relation qu’elle a essayé d’établir en lui rédigeant cette lettre.

Au moins avec une nana comme ça tu dois pas t'ennuyer 😉

ou bien, est-ce que c'est à Vienne ?

@@shannonshort9255 oui c'est la Konzerthaus de Vienne

@@sixtdailyah ! merci merci pour l'info