La fiabilité était très relative, elle regroupait les inconvénients des CD R (trop de dommages = Signal irrécupérable) et de la cassette audio (vulnérabilité face aux aiments, fragilité de la bande, démagnétisation même quand on ne l'utilise pas).

Il me semble que le Mnidisc compresse les données contrairement au DAT.

@@Loicc0 oui tout à fait il y avait une compression mais je ne suis pas sûre qu’elle était aussi forte que le MP3 de mémoire un mini disque standard contenait 250 méga on pouvait enregistrer environ 74 minutes

​@@NiccoReyes pour l'ATRAC (le codec du mini disc), c'est comme pour tout codec, tout dépend de ce qu'on lui demande au niveau des réglages. Si on règle ses deux codec avec la compression maximal, c'est sûr que l'ATRAC va perdre parcequ'il est plus ancien, mais si on le laisse plus d'espace il peur donner de très bonnes performances. Il faut aussi noter que les platines de salons et les lecteurs mini disc portables ont été à l'époque des matériels assez cher voir haut de gamme pour beaucoup, ils étaient donc matériellement plus performants que la moyenne, surtout en comparaison aux lecteurs MP3 de l'époque.

@@Din-nz9tl bonjour, est-ce que tu te souviens du bitrate qui était disponible avec l’atrack ? En ce qui me concernait je n’ai eu que des lecteurs portables et je suis bien d’accord l’atrack sonnait mieux que les MP3 de l’époque.

@@NiccoReyes Le débit maximal de l'ATRAC que les lecteurs Mini Disc normaux peuvent prendre en charge 285Ko/sec, le codec MP3 peut aller plus loin mais pas forcément les lecteurs de l'époque, de plus il faut prendre en compte la qualité des lecteurs qui, pour le Mini Disc étaient dans leurs globalité supérieur aux lecteurs MP3. La comparaison est un peu complexe car on ne compare pas que deux codec audios mais aussi deux parc d'équipements bien différents, qui ne s'adressent pas au mêmes publiques et qui n'ont été commercialisé côte à côte que dans une très courte période.

Oui c'est le problème des pannes sur ce matériel.