Playlist interviews (Gabriel Bianco, Judicaël Perroy, Emmanuel Rossfelder...) 👉 kzfaq.info/sun/PLVjP1ZOOx5MTQ5jirlwK9R-xpB8OWxq3X

A travers cette interview, je me souviens avec plaisir de nos masterclasses communes avec Maestro Alberto PONCE á Arcachon, Pyla-sur-Mer et á La Coume prés de Prades... Et ensuite de mes etudes á l ´ Ecole Normale de Musique de Paris/Alfred Cortot avec Alberto PONCE. Il y a des années... Salutations musicales á Tania Chagnot de la part d´Angelika d´Allemagne!

Ah Tania!! Je me souviens avoir organisé un concert de Tania à Rennes avec quelques amis guitaristes. Tres beau concert dans un temple ou le pasteur avait oublié de mettre le chauffage. Dur pour les doigts!! les danses du Terpsychore pour demarrer un programme vraiment sympa. une soirée au resto acheva de rechauffer les corps et les âmes

Merci pour ce nouveau numéro. Tania Chagnot me fait beaucoup penser à Geneviève Chanut qui a été mon professeur. Des femmes intelligentes mais simples, sensibles et déterminées qui permettent à leurs élèves accéder à la liberté de leur expression. Merci à Benjamin pour les choix constructifs de ses invités? Philippe

Je l’ai connu chez Alberto Ponce.

Je me souviens de ce concert de Rolf Lislevand au théatre Adiar. Un des plus grands moments du festival, avec la venue des frères Assad.

Bravo pour toutes ces interviews. C'est passionant. J'adore cette chaines. À quand d'autres interviews de femmes guitaristes ou luthières?

Je suis guitariste depuis des lustres,en possession de bien des revues sur la guitare entre autres ( les cahiers de la guitare cela date) et j’apprécie ta chaîne et m’y suis abonné ( une de plus sur notre merveilleux instrument) , je te souhaite succès présent et à venir.

Vidéo intéressante pour les guitaristes qui ont connu ce clivage aberrant d'attaque à droite ou à gauche ou l'utilisation un peu trop exclusive de certaines méthodes techniques sans tenir compte des l'adaptation ou de la morphologie des élèves. Pour ce qui est de la lutherie des guitares lattice, je suis plutôt d'accord et le système présente en plus certains inconvénients tels qu'une table très fragile... Pour ce qui est de la musique contemporaine, là je n'adhère pas du tout, on joue ce qu'on veut, ce n'est pas parce qu'il y a une partie des compositeurs modernes qui composent de la musique atonale ou dissonante qu'il faut les jouer. On joue ce qu'on aime et cela reste un milieu fermé, réservé à des initiés. Quand on joue de l'atonal, des non-initiés sont agacés ou fuient carrément. Le milieu des conservatoires est trop cloisonné avec le contemporain. Je me souviens de N. Yepes qui jouait de tout et introduisait de petites pièces de caractère ethnique ou très colorées qui étaient toujours très attendues par son public. Dans d'autres pays, ils jouent plus de musique ethnique ou latino-américaine avec un mix de différents styles. En France il y a un principe conceptuel qui veut qu'on joue un morceau classique et un morceau contemporain dans tous les examens ou concours. C'est un passage obligé qui ne favorise pas forcément l'amour de la musique.

Super interview ! Bravo :))))

Un beau témoignage. Merci pour l'accent mis sur l'expressivité, un peu effacée, parfois, par les contraintes techniques de plus en plus pressantes dans nos conservatoires.

Oui tout le monde attaque où il veut... Et joue avec ou sans ongles.. j ai eu la chance de voir Alberto ponce qui est venu faire une masterclass au CNR de Nancy..a l' epoque..j ai été éblouie. Il m a dit une chose quand il m a écouté jouer" " si je pouvais revenir en arrière, je copierai votre sonorité"... Je jouais avec la pulpe , j ai eu mon prix avec la pulpe,.. j ai essaye avec ongles et pulpe , et non, ce n est pas pour moi. Moins de vélocité, mais le plus important c est l expressivité et le son ...

C'est très intéressant d'avoir plusieurs avis car Arnaud Dumond par exemple, qui est lui même compositeur, dit le contraire. Il dit que la première chose c'est que l'interprète résonne avec la pièce. Il doit avoir de l'appétit. C'est une question de priorité. L'interprète doit ressentir quelque chose et à partir de là, commence un travail. Le respect ça se gagne, ça ne s'impose pas. Etc etc

Très intéressant. Tu perds la stéréo au moment de la présentation du festival. Mais ça revient après

Apprendre le vice