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Alors que la Parlement danois discute une loi visant à interdire les autodafés de livres «ayant une signification religieuse forte», Michel Onfray livre une longue réflexion sur le délit de blasphème. S’il s’oppose intellectuellement à l’interdiction du sacrilège, la philosophe estime qu’il faut se garder d’user du blasphème, «qui blesse et qui insulte» inutilement. Selon lui, la critique des religions, et le combat contre l’islamisme, nécessitent rigueur et respect.