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Les Magritte du Cinéma, cette année, c’était aussi drôle à l’envers qu’à l’endroit. Ambiance concentrée et à la fois décontractée dans les coulisses, coiffure, maquillage et vestiaire, on était là, pour cueillir l’émotion en amont. Remettants ou lauréats, suivez-les avec nous, derrière le rideau, au-delà du tapis bleu.
Depuis 2010, cette cérémonie célèbre les métiers de l'ombre aussi, les moins glamour, ceux où l'on mouille son tee-shirt, mais pas toujours avec du champagne. Les Magritte sont inclusifs, jonglent avec l'auto-dérision tout en valorisant les talents qui chérissent et font évoluer la culture. L'une des spécificités touchantes de cette soirée belge jusqu'à la pointe des cuberdons distribués à l'entrée, c'est l'hommage à cette production cinématographique qui commence à s'unifier en une identité cohérente quoique multiple, et à s'exporter solidement (le clivage "films flamands / francophones" fond comme de la pellicule au soleil). Sur scène, on riait beaucoup parce que ça évite de se prendre les pieds dans le texte et la légitime nervosité.
A propos du cinéma belge, on a cueilli à chaud Vincent Patar et Stéphane Aubier, les Présidents de la cérémonie, Nicolas Maury, notre chouchou dans la série Dix Pourcent, Nicole Gillet, directrice du FIFF, Mustii, Cody, Astrid Whettnall, Lukas Dhont, le réalisateur du film Girl qui a remporté 4 prix, et Alex Wizorek. Mais les grands gagnants de cette 9ème cérémonie étaient d’abord les spectateurs, qui ont beaucoup ri, avant de danser jusqu'au bout de la nuit (pense-t-on, vu qu'à un moment donné, on est quand même rentrés se coucher).
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