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LPSR #25 - Le Surhomme de Nietzsche - Yann Kerninon

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La philosophie ça sert à rien - Yann Kerninon

La philosophie ça sert à rien - Yann Kerninon

Күн бұрын

La notion de Surhomme est souvent mal comprise, voire récupérée par les idéologies sordides d'extrême droite. Revenons à la philosophie et expliquons le concept de Surhomme chez Nietzsche. Ce n'est pas un SuperMan. Et pour Nietzsche, il n'y a pas de "sous-hommes".
#philosophie #nietzsche #surhomme #ubermensch #concept #deleuze #kerninon #yannkerninon #intothewild #fightclub

Пікірлер: 41
@terreaterre9696
@terreaterre9696 Ай бұрын
Merci beaucoup ! J’ai fait des études professionnelles où on ne nous enseigne pas la philosophie. Vos cours de rattrapage me plaisent énormément.
@laphilosophiecasertarien-y5173
@laphilosophiecasertarien-y5173 Ай бұрын
Cool ! Très content de contribuer à ça !
@daddyleporc3475
@daddyleporc3475 Ай бұрын
Très heureux de ce grand retour ! Je me permets de commenter quant à Fight Club, justement parce que je repense beaucoup à ce film dernièrement. Je pense qu'il souffre beaucoup de son public, qui voudrait en faire un film dissident ou engagé politiquement. Lu comme ça, c'est en effet un teen movie qui se résume à "sociéter = mauvais". Mais récemment, j'ai re-pensé au film sous un angle différent, et peut-être un peu moins binaire. Ce qu'il y a d'intéressant dans Fight Club, c'est justement la recherche de l'enthousiasme , inexplicable, et parfaitement humain. Le protagoniste ne se réalise pas davantage dans son simili-club de boxe underground que dans son travail, ni dans la milice qui prend corps malgré lui. Au contraire, ce qui donne "du sens" à sa vie, malgré tout ce qui est énoncé depuis le départ du film et qui subsistera, c'est bien la rencontre de Marla, son Autre, celle grâce à qui il peut se dévoiler un peu plus. Je n'ai pas le souvenir que le film mette en valeur le nihilisme latent de ces rencontres souterraines. A mon sens, Fight Club ne défend finalement pas caricaturalement le militantisme anti-capitaliste, mais plutôt la recherche humble de sa propre étoile, et par là même le droit à l'errance et à l'erreur. D'ailleurs, un film en partie financé par les placements de produits Apple et BMW aurait bien du mal à s'attaquer sérieusement au capitalisme et à la société de consommation. Sans trop parler d'Into The Wild, qui ne m'a que très peu marqué, je crois me souvenir que le film illustre tout de même les regrets du protagoniste, qui réalise (trop tard) qu'il a fait un choix tout aussi caricatural qu'auraient pu l'être ses études. Je vous recommande vivement SLC Punks, un film qui pour moi prend le contrepieds d'Into The Wild, en suivant un groupe de jeunes punks dans la ville mormone de Salt Lake City !
@laphilosophiecasertarien-y5173
@laphilosophiecasertarien-y5173 Ай бұрын
@@daddyleporc3475 super commentaire ! Merci !
@friofrio-fp4zk
@friofrio-fp4zk Ай бұрын
Merci infiniment pour vos vidéos et votre vulgarisation pertinente. Je suis très heureuse de découvrir les rudiments de la philosophie à vos côtés.
@rubenlaxai
@rubenlaxai Ай бұрын
c'est incroyable vous nourrissez ma soif de connaissance
Ай бұрын
Bonjour, Je voudrais juste rectifier une chose : "Into the wild" ne dit pas "rentrez dans le moule ou allez mourir avec les ours". Il dit justement l'inverse. Je vais devoir spoiler donc ceux qui ne veulent pas lire, qu'ils ne lisent pas : Le personnage principal, en lisant, se rend compte, mais bien trop tard, que "le bonheur ne vaut la peine que si il est partagé". Suite à cette révélation, il entreprend de retrouver sa famille, ou du moins la compagnie d'autres humains, mais son choix initial de se retrouver seul face à la nature à été poussé jusqu'à un point de non-retour, et la mort le rattrapera. Plusieurs fois dans le film, il nous est montré que "vivre seul avec les ours" est une utopie qui se transforme en cauchemar, et que de déception en déception, d'illusions en illusions, c'est un parcours qui peut s'avérer mortel. C'est également un parcours initiatique : l'on nous vend un concept de liberté et d'autonomie, de défi, et ce concept s'efface lors de ma révélation pour nous amener à comprendre que c'est une illusion, et que ce qui compte vraiment, c'est la compagnie, pas la solitude. Ainsi, de prime abord, on pourrait croire qu'il s'agit d'une glorification de l'anti conformisme face à l'idée de succomber aux pressions familiales, mais c'est bel et bien un film qui nous dit qu'il y a des solutions plus nuancées, moins suicidaires. Je suis étonné que ce film soit défini par vous comme vous l'avez fait. Peut-être ne l'avez vous pas vu, je ne sais pas, mais en tout cas ce n'est pas sujet à interprétation comme d'autres choses peuvent l'être dans ce film. C'est écrit noir sur blanc, le personnage s'en rend compte et essaie d'agir en fonction, pour périr de sa propre maln sans le vouloir alors qu'il a eu cette révélation. Dans tous les cas, je vous remercie pour votre travail clair et efficace, je voulais juste rectifier ce point parce qu'autant fight club est bel et bien ce que vous définissez, avec son point culminant etent l'essence même de ça, autant Into the Wild propose justement une conclusion inverse à son postulat de départ. Bien cordialement.
@laphilosophiecasertarien-y5173
@laphilosophiecasertarien-y5173 Ай бұрын
Merci du commentaire! Et vous avez raison. Mais disons que pour moi le film commence là où il finit. Son propos n’est que caricature. Et finalement il dit que les caricatures sont vaines. Et alors ? Alors qu’est-ce qu’on fait à partir de là? Ça le film n’en dit rien. Si ce n’est cet éloge un peu mièvre du “partage”. Nietzsche lui travaille à la redéfinition subtile de notre rapport au monde. Je me suis évidemment un peu amusé à me moquer de ces films. Bonne journée et merci du ton sympa du commentaire même pour formuler un désaccord. Ce fil de commentaires est peut-être le dernier endroit où cela existe ! :-D
@big2-axe985
@big2-axe985 Ай бұрын
Bonjour, comptes-tu faire une vidéo sur Stirner un jour ?
@laphilosophiecasertarien-y5173
@laphilosophiecasertarien-y5173 Ай бұрын
@@big2-axe985 Jai lu avec intérêt L’unique et sa propriété. Mais pas sûr d’en faire un épisode.
@user-hi6xv9vv4y
@user-hi6xv9vv4y Ай бұрын
Je n'ai que deux choses à dire. Premièrement, ce que je possède finit par me posséder. Et deuxièmement, LA SOCIÉTÉ !
@iissepto3194
@iissepto3194 28 күн бұрын
J'entends Surhomme, un état indéfinissable, non enfermable par des mots. Mais un état atteignable.
@Charles_40K
@Charles_40K Ай бұрын
Est-ce que lorsque Nietzsche parle du fait qu'en s'extrayant de la nature, l'Homme s'est rendu esclave de son humanité, cela peut-être comparé à la notion de société du spectacle de Guy Debord, ou d'autres concepts philosophiques ?
@laphilosophiecasertarien-y5173
@laphilosophiecasertarien-y5173 Ай бұрын
Je dirais qu'il ne faut pas tout mélanger. Même si le point commun c'est peut-être la notion de "représentation" par rapport à l'expérience vécue.
@wolfyn91
@wolfyn91 Ай бұрын
Le surhomme Nietzschéen c’est le papa dans Mon voisin Totoro 😊, l’homme de livre jamais dans le ressentiment
@fideIion
@fideIion Ай бұрын
Très tres bonne vidéo et agréable à regarder. Cependant, deux points me chiffonnent : d'une part, concernant Fight Club, je ne pense pas qu'on puisse réduire le récit de l'histoire à un faux dilemme opposant la petite vie rangée d'un travailleur docile et consumériste à celle d'une brute n'éprouvant de plaisirs que dans la baston. Son club de boxe est avant tout un moyen pour le héros, premièrement, d'exprimer sa vitalité trop longtemps tue et, deuxièmement, de se confronter à l'âpreté de l'existence tout en discipline et frénésie. Thèmes chers à Nietzsche. Ce qu'il cherche est surtout une vie active dressée pour son propre service et dans l'espoir de se retrouver. La bagarre n'est finalement pas le but de ses intentions premières. En tout cas, c'est comme cela que j'ai interprété le film. D'autre part, vous critiquez, à très juste titre, les lectures pauvres que l'extrême droite a pu tirer de Nietzsche. Vous avez évidemment tout à fait raison d'appuyer sur ce point, mais pourquoi ne pas avoir signalé que le philosophe au marteau était, lui-même, très souvent d'accointance avec les idées réactionnaires et conservatrices de son temps ? Que ce soit par Lukács ou par Russell, ses positions très virilistes, très guerrières ont été étudiées, et Nietzsche ne parait guère cultiver de la sympathie pour les individus de faibles constitutions, sans désirs propres et qui ne sont brûlés par aucune passion. Au contraire, c'est sur des hommes forts, cruels, ambitieux et peu empathiques qu'il semble jeter son dévolu. Russell écrit que César Borgia était à Machiavel ce que Napoléon était à Nietzsche. L'extrême droite a évidemment considérablement appauvri la pensée nietzschéenne, mais je ne pense pas qu'on puisse dire qu'elle l'ait déformée à outrance. Nietzsche est, selon moi, appelé à figurer parmi le panthéon des penseurs réactionnaires aux côtés de Bonald, Maistre ou Schmitt même si une lecture progressiste de sa pensée est tout à fait légitime et souhaitable afin de faire vivre une pluralité de points de vue. Merci pour votre vidéo.
@laphilosophiecasertarien-y5173
@laphilosophiecasertarien-y5173 Ай бұрын
@@fideIion merci pour ce commentaire. Peut-être veux je éviter de voir ce fond effectivement reac de Nietzsche. Après la force des pensées profondes c’est de pouvoir être lues de plusieurs manières.
@bacchus7944
@bacchus7944 Ай бұрын
La manière dont tu as critiqué ces deux points me chiffone. Déjà sur Fightclub : il est tout à fait étonnant que tu ressentes comme un gain en vitalité le fait de se foutre sur la gueule... surtout lorsqu'il s'agit de s'autofrapper. L'autofrappement ne me semble pas tellement enrichissant. Mais peut-être suis-je aveugle à la grande puissance de cette activité. La volonté de puissance est une volonté d'extérieur, d'inconnu, de complexification de son identité par une altération, une resistance étrangère. Tout l'inverse donc des mutilations contre soi présentées dans fight club (l'expérience de la brûlure chimique va dans ce sens : se faire du mal entre soi même et soi même afin de se retrouver, de retrouver ce que tu appellerais la "sensation de vivre" trop longtemps oubliée). Faire du désir de dominer le vivant un synonyme de la volonté de puissance est le résultat d'une lecture insufisamment fine de la pensée de Nietzsche. Le virilisme n'est pas une force de vie, tout comme les pulsions autoritaires ne sont pas le signe d'un amour du vivant. La volonté de pouvoir sur les choses et les personnes (sur soi y compris), à la différence de la volonté de puissance est un désir de réduir la vie plus que d'en réaliser les pleines potentialités. Tu parles de la discipline. Mais qu'est-ce ? Si c'est imposer aux corps un régime rationalisé, figé, réglé et préétabli alors cela n'a rien à voir avec le programme nietzschéen et c'est même tout l'inverse puisque ce dernier consiste à se laisser gagner par les forces qui nous transportent et épouser leurs formes. Que dis-tu du cinquième poème qui dresse le style du gai savoir ? : "Que nos vertus aussi sachent d'un pied léger, Pareilles aux vers d'Homère, venir et s'en aller!" Et celui-là, plus parlant encore dans le désir anti-autoritaire consitutif du programme nietzschéen (le 33e) : "Il m'est odieux de suivre autant que de guider. Obéir? Non, jamais, et jamais gouverner! Déjà il m'est odieux de me guider moi-même! Pareil aux animaux sylvestres et marins, J'aime à me perdre un temps, A m'accroupír, en quelque labyrinthe charmant, Enfin, de loin, me rappeler peu à peu au logis Pour revenir à moi et moi-même me séduire." Ce n'est pas ce que j'appelle une volonté autoritaire, une volonté de soumettre le vivant. Il s'agit juste d'apprécier les formes que prend la vie, et notamment ses formes les plus vivantes ! La discipline des droitardés, Nietzsche s'en fout. Il n'aime pas se guider lui-même. C'est écrit ! Il faut bien le prendre en compte. Autre passage éclairant : le fragment 22 du premier livre, toujours du gai savoir qui est d'un point de vue philosophique son plus grand livre. "L'ordre du jour pour le roi" : "Attention! n'était-ce pas la cloche? Au diable! La journée et la danse commencent, et nous ne savons rien de ses tours. Ainsi il nous faudra improviser - tout le monde improvise sa journée! Faisons donc aujourd'hui comme tout le monde! C'est en effet mon habitude de commencer la journée de façon à me l'ordonner et à me la rendre supportable à moi-même, et il se peut que souvent je l'aie fait de façon trop formelle et trop princière." Voilà comment la lecture des 70 premieres pages du gai savoir réduit à néant l"interprétation" que les droitardés font de nietzsche, qu'ils n'ont évidemment jamais lu. Et encore ce ne sont que les exemples les plus simples à trouver, les plus évidents. Nietzsche n'est pas tjrs évident à cerner, mais si l'on fait un effort d'honnêteté on trouvera mille autres exemples toujours dans les 70 premieres pages. Autre histoire celle de s'attacher à la quintessence des choses. Certains trouveront consistant et fécond de concentrer leur regard sur les sorties mysogines tout à faits grossières du bonhomme qui n'est que l'écume d'une réflexion éminemment plus intéressante. Ansi ils s'attarderont sur les critiques assez nulles que Nietzsche fait du socialisme afin de le blâmer moralement au lieu de voir ou de ressentir ce qu'il voulait AU FOND dire. Ils s'accorderont pr dire qu'ils n'aime pas les pauvres et le peuple sans soulever le fait que c'est sous un certain point de vue - bien particulier - qu'il ne les aime pas, oubliant toutes le pages où il critique à fond les conservateurs qu'il déteste sous un certain angle, exactement comme les progresssistes. Et je parle de passages centraux de ses livres tjrs ! Pas des trucs que je suis allé cherché désespérement au fin fond de sa correspondance pour bricoler le nietzsche que j'aimerais voir. Il aime la guerre au sens héraclitéen du terme. Il aime la lutte. Et la lutte parfois prend la forme de traits rattachés à la masculinité. Nietzsche ne remet pas en cause la binarité des genres et ne cherche pas à savoir si la capacité à commettre des violences est en soi un trait masculin donc il utilisera le mot "viril" pr parler d'un truc fort et "sensibilité féminine" pr parler d'un truc faible. Il sombre en effet dans ce cliché tout à fait fallacieux mais il ne faut pas pr autant dire que sa philosophie est réservées aux mascus. Il laisse par ailleurs une grande place à la féminité. Pour finir "Nietzsche ne paraît guere cultiver de sympathie pour les individus sans désirs propres et qui ne sont brûlés par aucune passion". Mais est-ce different de nous ? Est-ce que vous réellement vous aimez / vous êtes attiré par les individus sans désirs propres et sans passions ? Personnellement ils ne me font pas envie, et c'est tout naturel. Il serait bizarre d'aimer des esclaves pas du tout émancipés ni épanouis. Il est aussi compréhensible de préférer et de trouver préférable un corps vivant et fonctionnel plutôt qu'un corps dans un fauteuil roulant. Je pense que tt le monde ici préfère voir les gens vivants que mornes ou affligés par des maladies. Cela est évident. Nietzsche n'aime pas l'ambition. Il le fait comprendre partout dans le gai savoir. L'ambition c'est même tout ce qu'il déteste, l'ambition c'est le désir de l'ingénieur plutôt que du bricoleur. Et Nietzsche est tres clairement du côté du bricoleur, car il a la grâce de ne pas soumettre le réel à un plan préétabli. Mais c'est un livre que vous n'avez sûrement pas dû lire. C'est comme critiquer Proust sans avoir lu la recherche. C'est assez creux et vain. Je vous conseillerai donc amicalement de lire Nietzsche dans le texte avant de vous pencher sur ses commentateurs tous plus misérables les uns que les autres. Vous verrez vous en tirerez de belles choses.
@fideIion
@fideIion Ай бұрын
@@bacchus7944 j'ai lu Nietzsche. A aucun moment je n'ai dit que fight club était un film nietzscheen, j'ai simplement dit qu'on pouvait interpréter le combat, la combativité, comme un amour de la discipline et comme de la volonté de puissance, faire face au chaos des combats afin de faire naître une étoile en nous. C'est un thème apprécié par Nietzsche, le combat je ne sais pas, mais la combativité, l'adversité oui. Mais pourquoi considérés tu les lectures de Lukacs et Russell comme pauvres ?
@bacchus7944
@bacchus7944 Ай бұрын
​@@fideIion dommage de ne pas lire mon commentaire. Il sera pour les autres
@fideIion
@fideIion Ай бұрын
@@bacchus7944 Mais je vous ai lu. Je vous ai répondu que j'avais lu Nietzsche, je l'ai même étudié à l'université. Nietzsche ne honnit pas la discipline et vous le savez, ce qu'il exècre c'est l'ascétisme afin de faire vivre un idéal provenant d'un arrière-monde. La discipline, si elle permet de faire accroitre son besoin de vitalité, de vivre selon une vie de grande santé, sans une rationalité trop intellectualisée qui cadenasserait nos corps, n'est pas critiquée par Nietzsche. Or, c'est cette idée qu'on retrouve, selon moi, dans Fight Club ; un récit d'un gars déboussolé qui veut sentir à nouveau son corps bruler par le désir de puissance, par l'envie de vivre et de se confronter à l'adversité. Fais donc un jour un sport de combat, tu verras que de telles disciplines donnent un certain regain de vitalité. C'est l'esprit des combats clandestins, non pas Fight Club, qui peut être rattaché à la lutte haréclitéenne par les éléments que j'ai exposés. Je te remercie pour les citations partagées, j'avais déjà parcouru le Gai savoir. Cependant, Nietzsche n'est pas un penseur systémique, je pourrais très bien prélever quelques citations qui vont dans le sens soit du virilisme, soit de la domination. "Si l'Islam méprise le christianisme, il a mille fois raison: l'Islam suppose des hommes pleinement virils". Voila un exemple. Cependant, c'est évidemment à relativiser, d'une part par ses autres écrits, et d'autres parts, parce qu'il est comme tu l'as dit un penseur subtil. En revanche, pourquoi me parler des droitardés ? Je ne les ai pas évoqués, j'ai préféré citer directement Russell, qui, il me semble, fait figure d'autorité dans le monde de la philosophie. Pourquoi considères-tu sa critique à l'endroit de Nietzsche comme misérable ? Bien à toi M. Bacchus.
@rockybrule7739
@rockybrule7739 Ай бұрын
j'apprécie le film into the wild car c'est une belle démonstration de la théorie de l'évolution . sa suite logique est Idiocraty ^^
@laphilosophiecasertarien-y5173
@laphilosophiecasertarien-y5173 Ай бұрын
@@rockybrule7739 Drôle :-)
@omegabemful
@omegabemful Ай бұрын
Est ce que le Surhomme pratique l’Ikigaï? 🤔
@vaguedeau1564
@vaguedeau1564 Ай бұрын
J'ai cherché à savoir si une vie pathétique valait la peine, sûrement, un peu d'élan et la nauséabonde existence recule. Mes Chairs dansez, gare à la tombe, gare aux noires colombes.
@dhineshdalou3383
@dhineshdalou3383 Ай бұрын
Dommage qu’on peut pas liker deux fois.
@laphilosophiecasertarien-y5173
@laphilosophiecasertarien-y5173 Ай бұрын
@@dhineshdalou3383 :-)
@Agesilas2
@Agesilas2 Ай бұрын
il me semble qu'en anglais on parle plutôt de "overman" du coup
@laphilosophiecasertarien-y5173
@laphilosophiecasertarien-y5173 Ай бұрын
@@Agesilas2 c’est possible qu’on choisisse effectivement cette traduction.
@azmarmohamed5318
@azmarmohamed5318 Ай бұрын
le surhomme est un surfeur
@surlatoile007
@surlatoile007 Ай бұрын
Wsh c’est quelle timeline de Doxa encore ???
@EpicSnakes
@EpicSnakes Ай бұрын
Je n'ai pas compris Fight Club comme un dilemme en la nature et la culture mais plutôt comme une dénonciation du fascisme comme un gourou mettre sous emprise des personnes perdus dans la vie.
@lukmeatstealer1570
@lukmeatstealer1570 Ай бұрын
Je croyais que fight club parlait de la fugue mentale devant une sexualité dissociée ou le personnage est obligé de s'inventer une vie illusoire pour accepter d'être hétérosexuel. Aprés Into the wild oui c'est clairement une bouse.
@laphilosophiecasertarien-y5173
@laphilosophiecasertarien-y5173 Ай бұрын
@@lukmeatstealer1570 :-)
@fideIion
@fideIion Ай бұрын
quoi ? mais hahah c'est une plaisanterie ?
@saboux12345
@saboux12345 Ай бұрын
Merci de servir la noble cause du rien.
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