D'ailleurs Séraphine est trop charmante et adorable je fonds à chacune de ses interventions

Quelle bonne idée t'intégrer Séraphine! Elle a meilleure mine que l'année dernière à la, même époque😉 Je sais, que l'aventure khâgne est finie, Margot mais j'ai quand même envie de dire:" Accrochez-vous, vous allez y arriver! ". J'ai un petit pincement au coeur de vous voir moins épanouie cette année. Vivement, les prochaines vidéos que nous sachions enfin si vous avez eu le Celsa🤞🤞🤞🤞

Wahouuu tu charbonnes niveau montage!! Finalement, tu n'as pas l'air de beaucoup t'autodéterminer et de te définir à partir de tes notes, ça reste une mentalité qui me semble saine au vu de l'académisme de la prépa qui fait que de nombreux étudiants ne vivent qu'à travers leurs résultats. D'ailleurs ton explication est pragmatique et reflète juste ton manque d'entrain (certainement justifié) pour tes matières et tes professeurs cette année, ce qui - je crois - découle plus de circonstances hasardeuses que d'un manque de volonté de ta part Sinon je propose cette idée comme ça, mais je pense que ce serait intéressant que tu reviennes sur ton évolution sur une matière en particulier en comparant tes copies depuis l'hypokhâgne (ou même depuis le lycée, ce serait rigolo !) et peut être en donnant des "tips and tricks" ? D'ailleurs, c'est la fin des 5 témoignages, pas de version de khâgne faute de temps? Vivement la suite !

L'hiver, en deuxième année, la fatigue morale s'installe, et de mauvais résultats peuvent enfoncer le couteau mais peuvent aussi servir de tremplin pour se remettre sur les rails. Hate de voir la suite de ton année, tes vidéos me motivent tellement à terminer mon mémoire

Courage à toi ! Étant moi-même en étude de philo, je trouve effectivement que le sujet est un peu compliqué, pas facile à « disserter dessus ». Si ta besoin d’aide pour la philo n’hésite pas ! 😊

J' ai hâte de voir la suite, ne tarde pas les vidéos s il te plaît

Ayant moi-même été en classe préparatoire (ECG par contre), je me reconnais totalement dans le fait de connaitre le blues de janvier au cours de la deuxiême année. Et aussi de perdre peut-être un peu l'émulation ressentie en première année. Mais il faut garder espoir. Les notes ne sont que des notes. Un nombre sur un papier. Elles n'engagent en rien qui vous êtes en tant qu'individu. Mais bien sur cela, l'on s'en rend compte bien après (de mon point de vue tout du moins).

Bonjour à Séraphine aussi

Je suis un grand fan d'histoire depuis 1978. il faut des années avant de cerner tous les aspects dans la première guerre mondiale. Je trouve qu'elle a été un peu dure votre prof d'histoire. Vous allez y arriver, j'en suis certain.

pour ton CB d’Histoire, je pense pas que ce soit ta réflexion le problème ou du moins, pas le principal problème. j’ai plus l’impression qu’il faut se pencher davantage sur la structuration de ta réflexion, comment tu organises tes idées et donc ton propos. une même réflexion sur un sujet peut être valorisée tout comme elle peut être jugée très mauvaise en fonction de la manière dont tu l’exposes. comme tu dis, tu as passé trop de temps à réfléchir et t’as perdu du temps sur la rédaction… revois peut-être d’abord ce point-là, je pense que c’est plus facile à retravailler en premier lieu, plutôt que retravailler la méthodologie sur la réflexion qui est un travail pas facile à aborder

Votre sujet de philo m'a intéressé du coup je me suis permis de faire une petite introduction, rien de spectaculaire mais j'ai aimé réfléchir dessus : Afin de donner un sens aux choses, les etres humains tendent à construire un avis, une opinion autour d'elles. Ce processus nécessaire à l'identification de toute chose pose également une multitude de questions dont la suivante : "Y a-t-il une vérité du sensible ?". Etant donné qu'une opinion est personelle, naturellement, les avis divergent quant à l'unicité de la vérité au sens mathématique. De plus, si la vérité était une, cela ne supposerait-il pas la fin de la réflexion en tant qu'outil pour appréhender le monde au delà du concret ? La science a adopté une démarche explicative basée sur des méthodes alors que la philosophie s'intéresse à des choses d'ordre métaphysique rappelant la phrase d'Emmanuel Kant :"La philosophie est un champ de bataille où il n'y a ni vainqueur, ni vaincu". Au sens philosophique, la vérité dépendrait donc du contexte, de l'heure et de rien d'autre. Pour qu'une vérité soit universelle, il faut qu'elle fasse l'unanimité alors que dans les faits, les avis se bousculent à la porte du débat à tel enseigne qu'il serait difficile de prétendre une uniformité de la pensée à l'image de l'obscurantisme des siècles passés. Quelles sont alors les éléments qui constituent l'essence de cette diversité ? Est-il possible d'opérer sous l'optique d'une transversalité entre vérité concrète et abstraite ? Qu'elle serait, si tant est qu'elle existe, la nature d'une vérité du sensible lorsque tout pointe vers une divergence d'opinions ?

J’ai manqué qch ? Séraphine, elle n’avait pas changé de prépa l’année dernière ?

Mais le vrai concours, c'est pour quand ?