Nicolas Patin est très pédagogue, très appréciable pour le néophyte que je suis. Merci librairie mollat pour le partage !

Toujours aussi brillant, passionnant et passionné. Merci Nicolas si vous me permettez 🤩👏

Toujours aussi passionnant Nicolas Patin 🙌👏👏👏👍 Merci

Merci pour cet entretien très éclairant. Merci à la librairie Mollat pour son travail Dr mise en valeur des historiens innovant. Nicolas Patin est vraiment passionnant et j ai hâte de découvrir Julie le Gac sa co-autrice. Bonne continuation.

Renouvellement des perspectives vraiment intéressant pour redonner un nouveau souffle à ce que peut apporter l'histoire aux recherches philosophiques ou anthropologiques sur la question de la guerre et plus largement de la violence. Merci pour cet entretien très bien mené. Impatient de lire ce livre, pour creuser, en priorité, ces concept de "masse" (cf Canetti était à ce niveau un précurseur) et de "décloisonnement de la violence".

Une très intéressante lecture moderne de cette période. Passionnant !

Si seulement le sens historique nous aidait à mieux gérer le présent alors même que les problematiques de l'énergie et de la démographie bouleverse les raisonnements.Merci pour votre démarche de prise de recul.En haussant le niveau de compréhension par le jeu des interactions beaucoup plus détaillées vous démontrez brillamment la nécessité d'un minimum d'érudition pour développer une intelligence critique .

Balaise ..très très instructif !!

Merci pour l'entretien très intéressant. Je reste toutefois sur ma faim concernant le regroupement des deux guerres. La seconde guerre mondiale est parfois (trop souvent) vue comme la continuité de la première, principalement par la faute du Traité de Versailles. Généralement, les pays anglo-saxons suivent sans réserve Keynes et dénoncent son caractère trop punitif. Joffre lui considère qu'il ne l'est pas assez et que l'Allemagne reviendra après "une armistice de 20ans". N Patin fait une référence assez hâtive sur l'infame article 231 qui est selon moi un mythe historique mais je regrette qu'il ne fasse pas la liaison entre les deux guerres mondiales. via Ludendorff et Hindenburg et l'absence de condamnation des crimes de guerre. Je regrette aussi que dans une perspective d'histoire globale, on élude l'accession des USA comme première puissance mondiale ainsi que celle de l'URSS et de l'internationalisme communiste.

Bon, c'est de l'ordre du détail (détail estimé cependant à 100 000 morts), mais les bombardements de Tokyo, c'est plutôt le printemps 1945, en particulier le 10 mars. Mis je suis honnête : ce bel entretien m'a franchement donné envie d'acheter l'ouvrage de Nicolas Patin et Julie Le Gac et de le lire (bien sûr).