Si tu es chauffeur de tracteur plutôt banal ...si tu es touriste la cata ...

Oui on belle agriculture

Si on pouvait t’envoyer le soleil on le ferait avec grand plaisir ☺️

Je parle pas je suis pas sur la vidéo 😂😂😂

Bonjour, êtes vous vraiment content du cultibio ? Merci pour votre réponse

J’aimerais bien 😉

Pour nous agriculteurs c'est pas le moment pour moi c'est l irrigation du mais doux à 15 jour de la récolte bon courage patrick du 47😉

Oui 😉

Moi franchement je trouve que ça fait du super boulot et c'est très bien de faire deux choses à la fois au moins ça te réduit tes coûts donc bravo

Oui tu as complètement raison sauf que dans notre cas de figure on n’a pas d’eau en ce moment il ne pleut pas et on peut pas se permettre d’accepter la concurrence avec l’herbe et deuxième raison on a un sol qui se tasse naturellement et si on fait pas un peu de travail du sol c’est une catastrophe pour l’avoir essayer l’année dernière

@@LaVitiBiodEmilieetBenjamin S'il se tasse, c'est parce qu'il n'y a plus de liant entre les micro agrégats de terre. Un sol ne se tasse jamais de manière naturelle.

@@fleuryjean-francois8704 vous avez une exploitation...ou plutôt par info médiatique votre conseil technique...la concurrence de l herbe dans un vignoble c est une cata ...surtout dans leur région tres sèche...les vignoble nord Loire ou Atlantique comme cette année beaucoup d eau est couvert est bénéfique...helas les météo sont toujours d une année à l autre voici la difficulté de ce métier...alors conseille des grand rêveur font sourire...pour information beaucoup d exploitation a vendre et après vous pouvez mette vos conseils en application...pour la battante du sol voir le taux matière organique premier point...ici limon argileux je suppose donc normal fragile a la battante...un couvert en période hivernal est souhaité.

Moi je suis dans le sud de la Drôme en Côtes du Rhône, et malgré les années très sèches j'ai 1 rang sur 2 enherbé dans presque toutes mes vignes de plus de 10 ans. Tous les rangs enherbés sèchent vraiment trop, par contre avec 1 sur 2 ça sèche quasiment pas plus que là où ils sont tous travaillés. Faîtes un essai sur une parcelle, je pense que vous serez surpris.

@@thierrynrj26 bonsoir j ai une centaine d ha conduit ainsi un rang sur 2 ...ainsi depuis une trentaine d anne pour des raisons techniques passage de traitements ou rognage en toutes les conditions météo...des parcelles d ugni blanc à 350hl ha ..

Tu as complètement raison mais pas chez nous on a essayé l’année dernière cette méthode pendant 2 ans et la catastrophe les vignes on arrêtait de pousser. On est dans un secteur où déjà on manque d’eau et surtout c’est des d’OL qui se tasse naturellement. On a essayé d’arrêter le travail du sol et on a fait plus de dégâts. Donc on fait des couverts 1 rang sur deux mais on est obligé de les détruire en juin juillet car on peut pas les garder plus. Chaque méthode ne peut pas s’appliquer partout malheureusement

@@LaVitiBiodEmilieetBenjamin chacun voit midi a son cloché, les parcelles n'ont pas le mème comportement partout,faites comme vous le sente,bon courage a vous deux a+

Ici dans le sud au contraire il faut laboure sinon l herbe pompe toute l'eau... Déjà qu'on manque d eau ici l été

@@Pape6969 Il faut arrêter de labourer et surtout dans le sud en raison des températures qui y règnent : c'est des coups à réellement détruire définitivement les sols avec la hausse des températures qui a lieu en ce moment. C. Abadie est en AC depuis 20 ans dans le Gers et la situation hydrique de ces cultures s'est améliorée : l'eau pénètre plus profondément dans le sol, la réserve utile a augmenté et l'enracinement des cultures n'est plus limité par la semelle de labour. Il a donc pu diminuer le nombre de ses tours d'arrosage pour ses maïs, par exemple. Autre absurdité, ''l'herbe pompe toute l'eau''. C'est avec le même genre de raisonnement erroné que les paysans des Grandes Plaines (à cheval entre les États-Unis et le Canada) pratiquaient le fallow summer, à savoir laisser le sol nu, mécaniquement ou par la chimie pendant presque 1 an et demi, entre une récolte de blé en juillet et l'implantation d'une nouvelle de culture en octobre de l'année suivante. Et cela, sous le prétexte de conserver l'humidité du sol : !?!? Des agronomes des antennes locales de l'USDA, côté américain et leurs collègues canadiens de l'autre côté de la frontière, ont parcouru de long en large les grandes plaines pour persuader les agriculteurs d'abandonner cette monstruosité agronomique et d'implanter des cultures de printemps, des couverts végétaux et de pratiquer le semis direct. Le résultat météorologique a été une hausse du taux d'humidité avec la hausse de l'évapotranspiration, une hausse des précipitations et une diminution des températures estivales (le ciel est devenu plus nuageux). La grosse différence avec les États-Unis est que l'INRA est loin de mettre en œuvre la même énergie et la même motivation que celles qu'ont pu déployer les agronomes de l'USDA pour arrêter les absurdités agronomiques auxquelles se livraient les paysans américains. Pour info, il tombe, en moyenne, entre 400 et 450 mm de précipitations annuelles entre le Montana et le Dakota du nord. De l'autre côté de la frontière, dans la province de Saskatchewan, il tombe en moyenne 465 mm de précipitations annuelles.

@@fleuryjean-francois8704 je vous propose quelques choses de venir vous occuper d’une de nos parcelles à 100 % pour nous montrer qu’on a tort et ça m’arrange car chaque année on se remet en question on cherche des solutions pour s’améliorer mais si c’est vous qui avez la solution je suis preneuse