Avec plaisir 🙂

Bonjour, Merci pour ton message 🙂 Si tu souhaites également d'exercer à l'aide d'une perche, je parle de la posture et du réglage de celle-ci dans cette vidéo : kzfaq.info/get/bejne/bMV8gpeSz8mwoX0.html Il s'agit de la sous couche mais le principe reste le même avec une peinture de finition (mate). Bonne journée, Ghislain

Bonjour Marc. Merci pour votre message. Si mes explications vous permettent de mieux appréhender des travaux, j'en suis ravi !

Bonjour Gilles et merci pour ton message !

Bonjour Pascale, Merci pour votre message et bienvenue sur la chaîne 🙂 Bonne après-midi, Ghislain

Avec plaisir Ahmed 🙂

Avec plaisir Thierry 🙂

Merci beaucoup 😊

Merci à vous

Avec plaisir 🙂

Avec plaisir Françoise 🙂

Avec plaisir 🙂

Avec plaisir Marité 🙂

Bonjour, Merci à toi 👍

Bonjour Yasmine. Merci pour ce message

Avec plaisir 🙂

Bonjour et merci pour vos encouragements.

Avec plaisir Jacques 🙂

Bonjour Said. Merci pour ce message !

Hello, Avec plaisir 🙂

Merci à vous.

Avec plaisir 🙂

​@ svp pour une peinture laquée lavable?

Avec plaisir Serge 🙂

Bonsoir Gilbert, Merci pour votre message. Les peintures professionnelles sont riches en liant et à ce titre, cela permet de peindre les couches dans le sens de la pénétration de la lumière naturelle sans avoir à les croiser. En fait, une peinture pro peut se peindre en croisant (en veillant alors à appliquer la dernière couche dans le sens de la lumière pour que les coups de rouleaux ne soit pas éclairés en lumière rasante) ou toujours dans le même sens, cela n'a pas d'incidence sur l'esthétisme général une fois la peinture sèche. Par contre, les peintures crayeuses doivent être croisées (généralement, ce sont des peintures d'entrée de gamme) car la "charge" (très souvent la craie) n'a pas d'allonge, il est très difficile de travailler la peinture. Or, une peinture qui dépose, multiplie de fait les raccords (d'ailleurs la consommation au m² se ressent) et si on reste dans le même sens d'application, on favorise les "pâtés" de peinture qui vont devenir particulièrement visible. La craie présente est facilement identifiable dans un bidon. La peinture est laiteuse et non blanche et surtout elle ne supporte pas l'eau qui favorise sa détrempe. Bonne soirée, Ghislain

Bonjour Gillian, Les raccords de peinture sur un plafond ne peuvent être corrigés sans l'application d'une nouvelle couche de peinture. Pour éviter les raccords, il convient d'être vigilant sur les points suivants : - La température ambiante de la pièce ne doit pas dépassée les 27 °C car l'application devient beaucoup trop difficile, la peinture séchant trop vite à la surface, ce qui favorise les raccords. - Si vous peignez un plafond qui est sous les combles, celui-ci va monter en température du fait du déphasage thermique de l'isolant. Un plafond qui à une température de surface (à relever avec un thermomètre infrarouge) supérieur à 27 °C (il fait donc bien chaud dans la pièce) sèche également trop vite en surface et lorsque l'on travaille et applique la peinture, l'humidité de celle-ci vient "ramollir" une partie de la peinture qui a malheureusement commencé à sécher, favorisant l'apparition de raccords. - Il convient également de ne pas peindre en courant d'air, mais d'entrouvrir légèrement les menuiseries, puis d'ouvrir et d'aérer lorsque le plafond est en phase de séchage. En peignant par forte ventilation, la peinture sèche également beaucoup trop vite en surface et non à coeur, ce qui favorise les raccords. Cela reste également valable si le logement est climatisé (unité air/air uniquement puisque c'est de l'air pulsé) car l'air reste un facteur déterminant dans l'apparition des raccords de peinture. - Une dernière chose, certaines peintures ne sont guère adaptées dans la mise en peinture de plafonds. Idéalement et dans la mesure de votre possible, il convient de s'orienter vers des produits à base de résine siloxane pour intérieur (ce sont des produits à l'origine destinés à la mise en peinture de façades) qui sont plus tolérants et dispose d'une matité à coeur plus profonde, limitant "visuellement" les traces de reprises et autres raccords. Bonne après midi, Ghislain

Bonjour et merci pour votre message. Il faut que la lumière naturelle vous "éclaire", c'est à dire que si les menuiseries sont pas exemple au sud, vous démarrez du fond de la pièce pour aller vers la menuiserie. En peignant, vous réalisez une ligne droite et non une perpendiculaire, ce qui peut avoir comme conséquence de voir d'éventuel "coup de rouleau". En partant du fond, vous êtes éclairé par la menuiserie, car si vous partez de la menuiserie, vous peignez "de dos", ce qui n'est pas l'idéal, lorsque l'on souhaite observer son travail à l'avancement. On croise une peinture que l'on dit "crayeuse", car riche en charge. En effet, ce type de peinture (d'entrée de gamme) dispose d'une allonge, d'un pouvoir garnissant et opacifiant qui sont relativement faible, obligeant en croiser les couches. La première perpendiculaire au sens de la lumière, puis la seconde vers la lumière. Avec les peintures professionnelles, vous n'avez pas ce problème, car elles sont riches en liant, mais une bien meilleure allonge et surtout une meilleure facilité d'application et un meilleur pouvoir couvrant. Il est plus facile d'ailleurs de faire des "pâtés" avec une peinture crayeuse d'où l'intérêt de croiser pour éviter les surcharges. Pour ma part, je recommande bien sûr l'emploi de produits pro, gage d'une finition plus qualitative et durable. Bonne fin de journée.

Bonjour Pascal, Si tes murs et plafonds sont en blanc et de même niveau de brillance (par exemple mat), je te conseille vivement d'employer et de conserver la même peinture pour éviter de voir une éventuelle différence de "blanc", même si honnêtement avec des produits professionnels, ce phénomène n'est pas très courant avec du blanc. Par contre, un produit pro ou une peinture GSB haut de gamme (type Architecte de chez Dulux Valentine) avec un produit d'entrée de gamme, tu verras clairement une différence, peu importe le niveau de brillance. Lorsque les niveaux de brillance sont différents, par exemple un plafond mat et des murs velours, il y a toujours une différence, parfois cela reste guère visible, mais cela sera de toute façon plus visible qu'une même peinture employée sur un plafond et des murs dans un même niveau de brillance. Après, il existe des produits de même gamme qui sont déclinés dans des finis différents. XPRO3 de chez Ripolin existe entre autres, en mat et en velours. Pour conclure, il vaut mieux employer une peinture qui existe avec des finis différents et éviter d'employer trop de marques de peintures différentes, au risque de voir des différences qui peuvent déranger selon la sensibilité de chacun. Bonne après midi

Bonjour Gérard, Merci pour votre message. L'application d'un joint acrylique est parfois nécessaire lorsque les murs sont en briques et que le plafond est à base de plâtre de plâtre. Les matériaux étant différent, il arrive qu'une petite fissure se produise, ce qui n'est pas très esthétique. Dans ce tuto, le plafond et les murs sont réalisés avec des plaques de plâtre et des bandes de joint sont présente. L'utilisation du mastic n'est donc pas nécessaire dans ce cas de figure. Bonne journée, Ghislain

Hello, Pour réaliser un lissage optimal, le rouleau doit être déchargé de peinture, on appelle cela "travailler à sec". Si on part par exemple du fond de la pièce pour se diriger vers la menuiserie, le lissage préconisé est de le faire de la partie de plafond non peinte pour revenir dans le travail que l'on est en train d'executer. Dans les faits, avec l'habitude, l'essentiel est de lisser vraiment avec un rouleau bien déchargé. Avec une peinture professionnelle, il n'y a pas de problème particulier. Par contre, avec une peinture d'entrée de gamme voir petit milieu de gamme, il faut être plus vigilant et lisser en ramenant le rouleau vers soi. Bonne journée, Ghislain

Merci car j'ai toujours fait l'inverse, du plafond franchement peint vers plafond non peint

Bonjour Yan, La peinture acrylique est parfaitement adaptée à la mise en peinture de plafond. Il y a plusieurs paramètres à tenir compte. La qualité de la peinture a une influence certaine sur la finition, certains produits sont particulièrement performants et d'autres, malgré le respect de la mise en oeuvre, ne permettent pas de réaliser une finition qualitative. Le niveau de brillance de la peinture est aussi un facteur à prendre en compte car au delà du fini mat, la mise en peinture du plafond est plus délicate et plus rigoureuse. L'application de la peinture se réalise vers la lumière, pour limiter autant que possible les "coups" de rouleau, qui peuvent apparaître une fois la peinture sèche. Lorsque l'on applique une nouvelle couche de peinture sur un plafond peint, il est possible d'éclairer le support pour mieux voir ou l'on passe. Pour ce faire, un trépied avec un projecteur (idéalement sans fil pour être autonome) fait parfaitement l'affaire. En éclairant à la lumière rasante, la peinture sera particulièrement visible, puisqu'elle "brille" lorsqu'elle est fraîche. Bonne journée

@ Merci pour cette réactivité et les conseils. J'ai en effet fait les frais de peintures "honorables" (GSB à 70€/10l) mais pas haut de gamme. Certaines sont vendues en mat, mais sont plus proche du velours. Le plafond, c'est vraiment le juge de paix en peinture.

Oui Yan, c'est tout le problème avec ce type de peinture. Une luisance peut mettre à mal tous les efforts déployés pour réaliser un plafond de qualité et sur 40 m², selon l'orientation de la pièce et le nombre de menuiseries, cela devient vite visible... Bonne journée, Ghislain

Hello, Oui, tu peins vers le sens de pénétration de la lumière, du fond de ta pièce vers ta menuiserie extérieure (fenêtre).

@ merci beaucoup

Bonjour Richard, Il n'est pas toujours évident d'avoir des affiliations avec les produits présent dans les tutos. Dans tout les cas, j'utilise dans cette vidéo, un rouleau Goldor de la marque ROULOR en 180 mm de largeur. Bonne après midi, Ghislain

@ très bien merci

Bonjour, Merci pour votre message. Lorsque l'on détourne le périmètre à l'avancement selon la superficie de la pièce, sa dextérité et la température de celle-ci ou qu'il soit détourer au préalable, il convient de bien estomper les coups de brosse avec le petit rouleau de 110 mm ou mieux encore avec un rouleau de 50 ou 60 mm. Il faut lisser en tirant a sec. Une fois l'ensemble bien sec, lorsque l'on va appliquer deux couches de peinture sur les murs, la superposition de peinture ne se discernera pas. Par contre, lorsque l'on débute, ce n'est pas forcément aisé de bien estomper, je recommande de poncer pour dépointer le grain du rouleau et dans la même opération de le faire sur l'ensemble de l'ouvrage, bien souvent sur une sous couche ou une couche de peinture de finition. Pour ce faire, on utilise un papier de verre grain 180 en travaillant à vitesse réduite avec idéalement une ponceuse excentrique (125 ou 150 m de diamètre). Une fois cette opération de réalisé, vous dépoussiérez l'ouvrage avec un chiffon microfibre. Il est très important de ne pas attaquer durablement le film de peinture, c'est à dire de ne pas revenir sur les couches précédentes. Avec une peinture satinée, c'est d'autant plus visible. Les auréoles sont dû la différence du niveau de brillance entre les produits et à un traitement de surface différent, sur le même principe qu'une carrosserie de véhicule. La lumière qui parcours une voiture neuve qui viens de prendre un bon choc sur une portière est déformée tout en mettant en évidence la matière (acier, aluminium, composite...). C'est ce qui se passe dans votre pièce. Il convient dès lors de poncer l'ouvrage pour améliorer l'adhérence de l'enduit, d'y appliquer justement un enduit de lissage qualité fine avec au moins de passes, suivi d'un ponçage au grain 150 (180 si vous employez de l'enduit qualité extra fine) et d'un bon dépoussiérage. Il faudra ensuite appliquer la sous couche et terminer par la peinture de finition. Bonne journée, Ghislain

@ Merci beaucoup pour ces explications, c'est vraiment sympa ! :) Sinon c'est vraiment le seul mur où je me suis loupé. Les autres murs de la salle de bain sont pas trop mal. Les murs ont un beau grain (peint au rouleau "l'outil parfait" en 4mm et un autre d'une autre marque dont j'ai oublié le nom en 5mm) et on ne voit pas les traces de rouleau. Y a juste un endroit où j'ai un peu merdé car j'avais poncé la sous couche à un endroit (disons 10cm x 10cm) sans non plus faire l'intégralité du mur, du coup on voit une petite différence de rendu qui passe du lisse au granuleux mais pour un néophyte ce n'est pas trop mal :p Même si dans l'ensemble j'ai l'impression d'être quand-même bien plus à l'aise avec la sous couche que la peinture de finition... D'ailleurs je pense repartir sur du mat pour les autres pièces, juste au cas où ^^ Je note votre conseil concernant le collant car au départ j'avais tendance à acheter de la sous couche Pro de chez Tollens, et avec l'inflation j'ai dû me rabattre sur la Tollens impression standard (les pot XL blanc, orange et bleu) et même si elle s'applique bien (mais moins que la pro, où c'est peut-être qu'une impression), j'ai quand-même eu la mauvaise surprise d'avoir un ou deux pots neufs bien pourri avec plein de "cachous" à l'intérieur. Et qu'elle fût pas ma surprise quand j'ai peint mes plafonds. Ca m'a obligé à les poncer dans leur totalité pour pouvoir rattraper ça (je ponce également avec du grain de 180 en général). Je ne sais pas si c'est un problème de stockage mais Bricoman niveau peinture c'est vraiment pas le top. Sinon j'ai vu que vous peignez souvent avec des rouleaux de 12mm. Comme je disais en haut je suis souvent en 4 ou 5 mm mais ça demande de tout le temps charger le rouleau (au tout début j'ai fait pas mal de manque car je tirais beaucoup trop par rapport à sa capacité). Là je pensais partir sur un peu plus gros, au moins pour les plafonds, mais du coup le grain risque d'être plus gros j'imagine ? Je vous souhaite une bonne soirée :)

@@buens6494 je peins avec du 10 et le grain est pas mal pour une peinture semi tendue

Bonjour Joaquim. Si l'occasion se présente, j'en ferais une.

Bonjour Frédéric, Si vous souhaitez réaliser un gris très clair avec du Covryl mat siloxané, vous utilisez de la peinture blanche et vous introduisez à l'intérieur du colorant universel de la marque Richard qui sont miscible dans les enduits, peintures acryliques et glycéros. Il s'agit de la teinte noire. Avant de teinter un pot complet, réalisez un échantillon pour voir si cela vous convient. Vous mélangez bien avec un malaxeur et vous obtiendrez la couleur qu'il vous conviendra. Bonne journée, Ghislain

Bonsoir, Un plafond qui a déjà été peint et qui ne présente pas de désordre esthétique et/ou structurel (peinture non adhérente, réparation importante avec de l'enduit...) n'a pas besoin de recevoir une sous couche avant d'appliquer la peinture de finition. Un rouleau est dans notre jargon, un "promeneur" de peinture, il convient donc qu'il puisse rouler avec aisance, sans appuyer fermement, ce qui a pour conséquence de faire refluer la peinture sur les extrémités du rouleau entrainant donc des traces (les fameuses "cornes" du rouleau). Cela forme des pâtés de peinture particulièrement disgracieux, qu'il faudra forcément poncer. Au delà de 15 m² de superficie et selon la température ambiante de la pièce (jusqu'à 24/25 °C), on dégage les angles (on détoure le périmètre) à l'avancement car la mise en peinture est exécuté à la main et l'action de travail est moins rapide qu'avec une perche, que l'on soit sur un escabeau ou un échafaudage d'ailleurs. En deçà de 15 m², il est possible de détourer le périmètre au préalable, puis de peindre à la main l'ensemble du plafond. Bonne soirée, Ghislain

@ Bonsoir, Merci pour vos précieuses informations. Excellente soirée à vous!

Hello, Il n'est pas nécessaire d'imprimer su support qui a été déjà peint dès l'instant que celui-ci n'a pas été entièrement enduit ou qu'il n'y a pas de grosses réparations à faire dessus. Un simple ponçage à l'aide d'un abrasif P120 dans les pièces sèches (lessivage dans les pièces humide suivi du ponçage) pour dépointer et casser les aspérités est suffisant. Si le support est soigné, l'abrasif utilisé sera le P150. Pensez à bien dépoussiérer l'ouvrage avant la mise en peinture. Bonne soirée, Ghislain

@ Je vous remercie bk pour votre réponse c'est gentille de votre merci prof Bonne soirée

Bonjour Mélanie, En effet, on commence d'abord par peindre son plafond puis les murs, ceci afin d'éviter des projections de peinture qui tacheraient les murs. La suie doit être éliminée avant de peindre car cela tâche la peinture et surtout, il y a un risque accru de ne pas avoir d'adhérence. Si la peinture est lessivable, on lessive le murs de bas en haut avec de l'eau additionnée d'Oxydrine afin d'éviter les traces même si de toute manière le mur sera repeint. Après lessivage, on rince à l'eau claire pour éliminer les résidus et le voile de lessive. Si la peinture est juste lavable, on élimine délicatement le plus gros de la suie à l'aide d'une éponge douce (pas de tampon à récurer). Après séchage et dans les deux cas, le mur est intégralement poncé à la ponceuse équipée d'un abrasif P180. Tous les petits résidus restant vont être eliminés ainsi. On dépoussière ensuite à l'aide d'un chiffon microfibre et s'il n'y a pas de zone remise à nue, on applique la peinture de finition. Si vous avez besoin de peinture d'ailleurs, vous avez un lien en description qui vous fait profiter d'une très belle remise 🙂 Bonne journée, Ghislain

@ merci beaucoup pour les conseils 👍👍

Hello, Il s'agit du Blanc Finnois référence 5034 du Chromatic de Seigneurie. Il ne s'agit pas d'un blanc cassé (très légèrement pastel) mais d'un blanc teinté entre la fin d'un pastel et le début d'une teinte claire, ce qui signifie que la couleur est quand même ressentie. Dans une cuisine, sur un plafond pas de problème mais les murs je ne te recommande pas le Covryl mat siloxane. C'est un produit qui est lavable mais non lessivable. Il te sera donc difficile de l'entretenir correctement sans l'altérer sous abrasion humide. Bonne journée, Ghislain

Merci beaucoup pour ces informations@ Je te souhaite une bonne journée. au plaisir, au fil de tes vidéos.

Bonjour Samuel, Avec des peintures de gamme professionnelle, il n'est pas nécéssaire de croiser car elles sont riches en liant. A l'application, il est important de lisser pour que le poché du rouleau (le grain) soit le plus uniforme possible, en évitant des "pâtés" ou des "maigreur". C'est principalement ce qui se voit lorsque la lumière naturelle ou artificielle va éclairer le plafond une fois les travaux de peinture terminés. On peut aussi observer une "nuisance" si certaines couches de peintures ont séchées trop vite et ont été redoublées trop rapidement. Egalement, la température du support joue un rôle déterminant en accélérant l'été les temps de séchage, ce qui oblige à s'adapter dans ce genre de situation. On croise le sens d'application (la dernière couche toujours vers la lumière) lorsque l'on utilise des peintures d'entrée de gamme, qui sont riches en charge, ce que l'on nomme des peintures "crayeuses". Ave ce type de peinture, il est beaucoup plus facile de laisser de la "charge", ce qui va se voir à la lumière naturelle et artificielle, si on peint plusieurs couches dans le même sens. En les croisant, on atténue visuellement ce phénomène. Sur ce type de peinture, c'est rarement une "luisance" que l'on remarque, mais une mauvaise superposition de plusieurs couches de peinture car on applique pas la peinture rigoureusement comme on vient de terminer la précédente couche. Plus la peinture est de gamme professionnelle, avec une belle matité (peinture siloxane dérivé des peintures de facade), plus il est aisé de réaliser et d'obtenir un plafond de belle qualité. Inversement, avec des peintures d'entrée de gamme, cela demande plus de technique, y compris le fait de croiser entre les couches de peinture. Bonne journée, Ghislain

@ Bonjour Ghislain, merci pour votre réponse, je vais essayer très prochainement avec une peinture blanche V33 Velours multisupports (gamme professionnelle achetée chez Leroy Merlin) même si sur le pot il est indiqué de croiser les bandes de peinture. Peindre à la perche semble plus confortable que d'avoir à descendre à chaque fois de l'escabeau, mais est-ce réservé aux habitués ? Si j'ai bien compris, vous conseillez de peindre vers la lumière naturelle et non l'inverse. Pourquoi ? La chambre que je m'apprête à peindre fait 11m2 et je vais bien évidemment commencer par le plafond. Peindre les contours avant de commencer présente l'avantage de ne pas avoir à y revenir, mais cela dépend t-il de la surface de la pièce et de la vitesse d'exécution ? Ma crainte étant que ça sèche rapidement et que l'on finisse par y voir une différence. Avez-vous une marque Pro à conseiller ?

Bonjour Samuel, Désolé de vous répondre maintenant, le message n'étais pas visible. On peint les contours a l'avancement lorsque la pièce dispose d'une belle superficie ou lorsque l'on a pas l'habitude de peindre, pour éviter un séchage trop important lorsque l'on dégage au préalable le périmètre du plafond. Peindre à la perche demande de l'entrainement. Lorsque j'organise des stages sur le sujet, je dis toujours qu'il faut se "faire la main" sur des pièces de son logement peu visible ou d'une importance moindre (buanderie, cellier, couloir). Le but est d'améliorer sa dextérité et éviter surtout de trop appuyer et de travailler son rouleau "à sec". C'est pour cela que je précise dans la vidéo le nombre de passage que l'on peut faire avec un rouleau chargé. On peint vers la lumière naturelle (vers les menuiseries) pour être "éclairé" et pas à contre jour. Il est aussi tout à fait possible de s'aider d'un spot en lumière rasante pour bien voir son travail et surtout la manière de déposer la peinture, qui doit être la plus homogène possible. Pour peindre des plafonds de manière qualitative, vous avez l'Hermina Premium de chez Seigneurie et le Covryl mat siloxané de chez Guittet qui sont très bien. Bonne après midi, Ghislain

Salut Jean Louis, Il est tout à fait possible de peindre par projection à basse ou haute pression des murs et des plafonds. Cependant, ce matériel nécessite le coup de main et il ne se met pas en route dans des petites pièces, la protection et le nettoyage du matériel prenant du temps. Bonne soirée, Ghislain

Bonsoir, Il n'y aurait eu que des enduits a reprendre, vous auriez pu retoucher uniquement avec la sous couche de manière localisée. Avec des bandes de joint a reprendre, les enduits sont beaucoup plus présent et appliqués de manière plus large puisqu'il faut enrober correctement les bandes de joint. Je vous conseille donc après les travaux de ponçage d'appliquer une couche d'impression sur la totalité de votre plafond, pour bien réguler et homogénéiser le support et les fonds. Bonne soirée, Ghislain

@ ce n'est pas vraiment des bandes de joint on voit des défaut c'est juste retoucher pour atténuer du coup sous couche intégrale après enduit ou juste sur les enduit ?

Il est préférable d'appliquer la couche d'impression (sous couche) sur l'intégralité du plafond si les enduits sont dispersés sur le plafond. Dans le cas contraire et si les enduits sont relativement localisés, il est possible d'appliquer la sous couche uniquement sur les enduits en veillant à bien estomper les coups de rouleau. Une fois l'impression sèche, un coup de papier de verre grain 120/150 permet d'estomper les coups de rouleau si par mégarde la sous couche est quelque peu visible.

@ très bien merci et une sous couche alkide je peux mettre ma peinture de finition acrylique velours dessus ? Et une dernière question concernant la peinture sous couche alkide je peux la la mettre sur tous les supports ?

Oui bien sur, l'impression glycéro ne pose aucune difficulté si l'on souhaite appliquer de la peinture acrylique de finition. En général, une sous couche glycéro peut s'appliquer en extérieur sous abri, mais elle doit être recouverte assez rapidement. Certaines gammes de produit sont plus tolérant et le recouvrement peut patienter jusqu'à six mois. En intérieur, elle va sur tous les supports usuels y compris les boiseries. Sur les ouvrages métalliques, il convient d'appliquer un primaire antirouille, l'impression glycéro n'étant en général pas nécessaire, puisque le primaire antirouille va remplir la même fonction. Bonne soirée, Ghislain

Lorsque l'on souhaite poser un papier intissé à peindre, on commence d'abord par celui-ci car la colle fait toujours des traces qu'il faut nettoyer à l'éponge. Une fois la pose du papier effectué et surtout qu'il est bien sec (au minium 48 H), on applique la peinture de son plafond puis on termine par les murs. Attention, les travaux préparatoires qu'il doivent être réalisés sur le plafond seront entrepris avant la pose du papier pour évier de l'abîmer. Un plafond se ponce (P120) avant d'être repeint pour dépointer l'ancien grain du rouleau et pour casser les petites aspérités du support (peau de peintures, petit pâté...). Un nettoyage au chiffon microfibre (à sec) permettra d'éliminer le voile de poussière.

Merci Ghislain

Bonsoir, Il en effet pas toujours évident de voir ou l'on passe lorsque l'on peint en blanc. Pour mieux repérer la peinture, vous pouvez utiliser un spot sur trépied mis en place en lumière rasante proche du plafond. De cette manière, la peinture fraiche "brille", vous aurez plus de facilité pour la repérer. Il est aussi possible selon la luminosité de la pièce, de fermer ou d'entrebâiller les volets, pour "casser" le flux lumineux, ce qui permet aussi de favoriser la localisation de la peinture. Bonne soirée, Ghislain

Bonjour Raphael, Lorsque la température ambiante de la pièce ne dépasse pas les 25 °C, que vous ne peignez pas en courant d'air (juste entrouvrir les menuiseries, pour renouveler l'air) et que la pièce ne dépasse pas les 30 m² (autour de 15 à 20 m² lorsque l'on débute), il est tout à fait possible de réaliser son réchampis au préalable, en sachant que celui-ci est estompé avec un rouleau de 110 mm de largeur. Le rouleau de 180, 220 et 250 mm de largeur et en général 12 mm de hauteur de mèche (fibre polyamide) sert au remplissage. Dans cette vidéo, j'aborde justement la technique à la perche : kzfaq.info/get/bejne/qayKi8Shx76dh40.html Du moment que la peinture réalisée en périmètre (le réchampissage, communément appelé le détourage) n'est pas sèche, vous n'aurez pas de traces ou de raccords. Par contre, si le temps passe et que cela a séché, il est possible d'avoir une superposition de peinture, en fait une deuxième couche sur une première à peine sèche et le risque d'avoir des "traces" va s'accentuer. Il convient dès lors de réaliser le réchampissage au fur et à mesure, puis de l'estomper au petit rouleau (110 mm) et de poursuivre le remplissage à la perche. Bonne journée, Ghislain

@ Merci pour la réponse détaillée. Pour l'impression, j'utiliserai la même peinture (Sikkens alphaxylan) pour les murs et plafonds et pour le coup je me pose la question de la nécessité du réchampis dans ce cas, contrairement aux couches de finition où les murs seront peints avec une peinture différente (autre blanc, plus cassé et autre marque : Seigneurie Evolutex velours) ?

Bonsoir Raphael, Lorsque plusieurs ouvrages et/ou supports utilisent un même produit, il n'est pas nécéssaire de réchampir. En commençant par le plafond, vous dégagez en même temps, le haut des murs avec le petit rouleau 110 mm. Une fois le plafond de terminé, vous remplissez les murs. En finition, le haut des murs est dégagé lorsque vous avez terminé le plafond pour éviter les raccords, si la pièce dispose d'une belle superficie ou lorsqu'il fait chaud. Dans les autres cas, il est tout à fait possible de le faire en même temps, tant que la peinture n'est pas sèche. Pour gagnez en allonge, vous pouvez utiliser une brosse de type pouce, qui va mieux garnir les angles, car les soies (naturelles ou synthétiques) ne sont pas taillées en biseau. Concernant la hauteur de mèche du rouleau, partez sur un 12 mm, fibre polyamide que cela soit pour l'impression et la finition. Pour la brosse, une 29 ou mieux une 32 mm permet de faire bien dégager les angles et de peindre ce que l'on appelle le développement des épaules, c'est à dire avec une brosse de 32 mm chargée, vous faites un aller et un retour dans l'angle. Bonne soirée, Ghislain

@ Bonjour Ghislain, Je ne suis pas sûr d'avoir bien saisi. A l'impression je fais le réchampi directement au petit rouleau sans passer par la brosse et à l'avancement, angle du plafond et haut des murs ? En finition je dégage le haut des murs après le plafond s'il fait chaud. Mais en faisant le plafond, est-ce je fais les angles "à l'avancement" avec brosse et petit rouleau , car blanc de couleur différente entre mur et plafond et donc nécessité de réchampir (on en revient à la méthode de base du réchampir que vous avez expliquée) ? Je devrais attaquer aujourd'hui, j'ai 23,5/24° au plafond à 9h30... Bonne journée

Bonjour Raphael, Je vais être plus clair, car j'ai tendance à écrire des romans en commentaire !! La couche d'impression est appliquée sur le plafond et les murs, il n'est pas nécessaire de réchampir puisque c'est le même produit. Vous pouvez utilisez une brosse de type pouce pour aller plus vite lorsque vous peignez dans les angles, puis vous estomper les coups de brosses avec le petit rouleau de 110 mm. Pour la finition, vous réchampissez puisque ce sont des produits avec des niveaux de brillances différentes. Vous dégagez bien le périmètre du plafond, puis vous remplissez. S'il fait trop chaud ou si la pièce est trop grande, vous dégagez au fur et à mesure, généralement on dégage le périmètre du plafond adjacent à deux faces de murs. Même chose avec les murs, on dégage face de mur par face de mur en réchampissant le plafond puisque les produits sont différents. N'oubliez pas également. On termine le plafond, puis on applique la peinture sur le mur. Bonne continuation, Ghislain

Salut Francis, Tu pars du fond de ta pièce pour te diriger vers ta fenêtre. Cela te permettra de voir ce que tu es en train de faire sans te faire de l'ombre. Le plus important est bien sur de partir d'un angle de la pièce pour aller de l'autre côté de la pièce. On ne commence jamais à peindre à partir du milieu d'une pièce. Pour le lissage, si tu n'est pas à l'aise, tu ramènes le rouleau vers toi à sec, c'est à dire à partir de la menuiserie pour le ramener vers le fond de la pièce. Cela signifie que tu commences à rouler sur une partie qui n'est pas peinte. Ensuite, avec la dextérité, cela n'a plus d'importance. Bonne journée, Ghislain

@ merci beaucoup et on doit aussi toujours tenir le rouleau sur le côté droit pour un droitier et gauche pour un gaucher mais pas au centre (ce que je fais, je ramène le rouleau vers ma tête). Quand tu parles de menuiserie on ne sait pas si c'est celle de la porte ou celle de la fenêtre.

Les poussières se retirent à l'aide d'un chiffon microfibre. Cette opération est visible sur des vidéos plus récentes sur la chaîne. Bonne soirée, Ghislain

Bonsoir Olivier, Peindre à la main permet lorsque l'on est débutant, de bien apprendre à travailler la peinture dans le développé de ses épaules, pour apprendre à bien allonger celle-ci. Pour information, sur un rouleau de 180 mm de largeur et 12 mm de hauteur de mèche (tissu polyamide tissé ou à fil continu), on peut peindre deux fois la largeur du rouleau sur le développé des épaules avec un rouleau correctement chargé. Ensuite le rouleau étant sec, on lisse et serre le grain du rouleau. Une fois que l'on est à l'aise avec la peinture et son application, on peut passer à la perche pour peindre plus rapidement et limiter les phénomènes de reprises et de raccords qui sont surtout visible selon la température du support. Concrètement, à partir de 25 °C, les peintures acryliques sèchent vite sur le film superficiel et il devient beaucoup plus technique de travailler uniquement à la main avec un escabeau ou un échafaudage. Il est cependant tout à fait possible de peindre entièrement un plafond à la main, cela demande plus de temps, plus de place dans la pièce puisque il faut pouvoir travailler en hauteur et circuler sans difficulté. De règle générale, un plafond se peint sans perche jusqu'à 8 à 10 m² de superficie (sauf si celui-ci est composé d'ouvrage comme des moulures), au delà, c'est une affaire de temps... Bonne soirée, Ghislain

Bonsoir ok merci d'avoir pris le temps de m'expliquer, je vous souhaite une bonne continuation, en vous remerciant pour toutes vos vidéos

Bonsoir, Il faut déjà déterminer s'il s'agit d'un papier à peindre, comme le papier à grain (papier granité contenant des petits copeaux de bois, cela se faisait beaucoup à une époque pour masquer des fonds hétérogènes). Si le papier peut recevoir de la peinture, il faut vérifier s'il n'est pas gras même dans un séjour. Il suffit de le toucher et si cela colle, cela va être compliqué de le lessiver sans le détremper; le risque étant tout simplement de détapisser. S'il n'est pas gras, il convient de le dépoussiérer puis de passer une lavette légèrement humide (eau tiède) pour vérifier si les traces jaunies s'estompent au contact de la lavette. Si c'est le cas, il faut continuer avec la lavette et essuyer tous les 3 à 5 m² avec un linge en coton pour ne pas détremper le papier. Une fois celui-ci bien sec, ce type de support restant "à problème" dû à sa vétusté (le jaunissement peut venir des fumées de cigarettes, cigares et autres pipes en tous genres), il convient soit d'appliquer une peinture mate sans tension aux huiles chaulées qui isole ce genre de tâches (en phase solvantée ou en phase acrylique, je suis moins partisant pour cette dernière) et de terminer ensuite la deuxième couche avec en sachant qu'il est souvent considérer comme une impression aux huiles chaulées mais qu'il est tout à fait possible de faire une finition avec (attention ce type de produit n'est pas aussi blanc qu'une peinture acrylique mate) ou d'appliquer une couche de peinture aux huiles chaulées et de terminer avec une ou deux couches de peinture mate acrylique selon la qualité du produit. Sur un voile de rénovation et plus largement sur n'importe quel types de papier, je ne recommande pas d'employer de l'enduit pour faire une quelconque réparation, le papier peut travailler, l'enduit étant inerte, c'est la fissure assurée tout en étant inesthétique. Il n'est pas impossible (les joies de la rénovation...) que le papier ne soit pas à peindre et que celui-ci a été à une époque, pelé à sec, c'est à dire la couche avec le motif et que l'envers est resté sur le support. Si c'est le cas (pour le savoir, il faut regarder attentivement le papier et voir si le motif n'a pas marqué (à la lumière rasante dans la pénombre ou si dans un coin on ne voit pas apparaitre du papier et non du "tissus" comme le voile de rénovation). Si c'est du papier qui à été recouvert de peinture, ce n'est pas très qualitatif ni très durable dans le temps. La peinture raidi le papier le rendant cassant et instable avec le temps... Il convient dès lors de détapisser à l'aide d'un décolleuse en lardant au préalable le papier à coup de cutter. L'idéal est d'utiliser un cutter et une lame de 25 mm qui permettent de forcer et de bien marquer le support. Plus le papier sera abîmé, mieux la vapeur pénétrera dans le support et provoquera son décollement. Ce n'est pas un travail facile, j'en conviens mais c'est la garantie de repartir sur des bonnes bases. Bonne soirée, Ghislain

@ Bonjour, merci beaucoup pour ta réponse. Au passage J'ai pris quelques photos du papier non peint et celui qui a été peint si vous voulez avoir une idée ;)

Bonjour Denis, Avec une peinture professionnelle qui est riche en liant et non en charge (très souvent de la craie), vous pouvez appliquer les deux couches de peintures (parfois trois selon la richesse de la teinte) dans le sens de la lumière naturelle (on peint vers la menuiserie). Si c'est une pièce borgne, cela n'a pas d'importance. Par contre, sur des produits de moindre qualité et/ou d'entrée de gamme, il convient de croiser les couches de peinture en veillant à toujours finir la dernière vers la source de lumière naturelle. Ce type de peinture étant riche en charge (lorsque l'on ouvre la peinture, elle est laiteuse et non bien blanche) et en eau (c'est pas cher !), il convient de bien disperser la charge sinon elle s'accumule sensiblement au même endroit si on travaille la peinture dans le même sens. Or, en séchant, cela se voit en laissant apparaître soit des "pâtés", soit un voile blanchâtre qui est particulièrement disgracieux. Pour information, une peinture crayeuse est bien souvent une peinture très peu chère au litre, souvent vous allez trouver en magasin les 5 litres pour 6 € ! Bonne journée, Ghislain

Merci pour votre réponse et bonne année 2023

Globalement 9 à 10 m² par litre en la diluant un petit peu. Il s'agit de peinture de gamme professionnelle (Hermina de chez Seigneurie).

Pour appliquer une laque sur un plafond, le protocole de travail est différent et le support doit être très bien préparé. J'aurais l'occasion d'en parler ultérieurement.

Hello, Dans cette pièce de presque 16 m², je met environ 15 minutes pour faire le remplissage à la perche (je ne parles pas du périmètre qui est dans les deux cas réalisé à l'escabeau) et il faut compter environ 30 minutes pour le faire à l'escabeau. Ce temps peut être raccourci si on utilise une plateforme et non un escabeau à marche comme dans la vidéo.

merci !@ donc grosso merdo....on double le temps moi le soucis c'est le cou et les cervicales...question d'habitude et ...d'age surement ! va vraiment falloir que je m'y mette surtoutpour les grandes surfaces , supérieures à 30 m² j'aime beaucoup ta pédagogie, et le temps que tu prends pour tout bien expliquer. merci d'être là...

ah oui j'apprécie aussi ta réactivité, c'est vraiment pas donné à tout le monde, surtout dans le métier! au plaisir@

Merci pour ton message 🙂 Concernant la posture à adopter pour travailler à l'aide d'une perche, son réglage et la gestuelle à mettre en place, j'en parle dans la vidéo de dimanche dernier : kzfaq.info/get/bejne/bMV8gpeSz8mwoX0.html Il s'agit d'une sous couche mais c'est bien sur le même principe qu'avec une peinture de finition. Bonne soirée, Ghislain

Bonsoir, Les peintures acryliques sont moins nocives que celles en phase solvanté mais c'est surtout une sensibilité de chacun. Il faut penser à aérer la pièce en entrouvrant les menuiseries pour libérer le plus possible les composés organiques volatil (COV). Si vous n'êtes pas à l'aise avec ce type de peinture, prenez un masque anti gaz. Bonne soirée, Ghislain

Hello, Un rouleau peut se garder jusqu'à 15 jours s'il est bien enfermé dans un sac. Il suffit de lui mettre un peu de peinture et il pourra être réutilisé une prochaine fois.

@ merci beaucoup

Avec plaisir Nathalie 🙂