Lien vers l'étude ➡ form.crnl.fr/index.php/survey/index/sid/626616/newtest/Y/lang/fr 00:00 Générique 00:30 Présentation de l'invitée 16:47 Conférence 01:17:20 Questions du public 01:46:45 Générique de fin

Aaah une conférence sur mon sujet préféré. Je peut vous faire 3 rapports de rêves, par nuits. Bon j’écoute tout et j’essaierai de vous donner mon avis a partir de mon experience, je me réveil souvent, mais c’est pas une donnée absolue . Le truc sur que je peut avancer c’est que les phases de traductions ne peuvent êtres décorrélées des émotions du sujet qui rêve, c’est incontournable, c’est même la donnée principale.

Du coup, merci c'était très intéressant. Du coup est ce que l'espace des sciences va programmer une conférence sur les tics de langage? Du coup comment on en prend conscience pour s'en débarasser?

"Du coup" ? 😋 Merci pour cette conférence très enrichissante. Ca faisait longtemps que j'attendais une présentation aussi complète. ❤

C’est très intéressant merci pour ce travail

Dans la présentation de cette conférence il est dit en exergue à propos des rêves : Leur souvenir dépend des capacités de mémoire et de conscience au réveil mais leur rappel ne conditionne pas leurs fonctions. Même un rêve oublié a joué son rôle. Certes, mais ce rôle ne serait-il pas différent selon qu’il y ait, ou non, souvenir/rappel ? A ma connaissance d’amateur passablement éclairé je n’ai pas connaissance que la ou les fonctions du rêve soient établies, élucidées par les scientifiques en charge de ce genre d’étude. En fait, de par son mélange causes/conséquences (si, si) votre phrase me donne le tournis. Reste qu’il est raisonnable, dans une nature où rien n’est gratuit, rien n’est fortuit de poser que “ Même un rêve oublié a joué son rôle”. Basée sur d’innombrables constats je propose une piste de réflexion : Une caractéristique notoire Le rêve présente au moins deux aspects différents : il y a les rêves que je qualifierai de physiologiques et qui font partie de l'architecture du sommeil, mais il y a ‟en extra” les rêves laissant une trace mnésique. Sont-ils de même nature ? On évoquera un parallèle, sans aller jusqu'à la comparaison : la respiration, la digestion, la fonction cardiaque s'exercent ordinairement quasiment à notre insu dans le silence des organes, or ces fonctions peuvent être affectées par divers facteurs dont notre émotionnel. La personne concernée sera apte à reconnaître une modification du "cours" d'un tel organe, ce dernier exprimant généralement un "quelque chose" d'adaptatif, une tension, un travail particulier. En analogie peut-on transposer cette adaptabilité fonctionnelle au rêve-qui-se-manifeste ? Un rêve particulier peut-il être lié à une tension particulière ? Objectif : Il semble qu’il puisse exister un rapport entre une tension psychologique et la survenue de rêves. À partir des récits de rêves d’un public ciblé, mais neutre car non impliqué directement par une étude sur les rêves, il est/serait possible faire ressortir le rapport de cause à effet entre une tension particulière et d’éventuels rêves s’y rapportant. Méthode : Une méthode statistique courante peut être mise en œuvre. Le sevrage tabagique, le sevrage alcoolique, ou leurs prémisses, les contraintes d’un régime quel qu’il soit, sont susceptibles d’induire des rêves dans lesquels ce tabac, cet alcool, cette nourriture ou des éléments qui leur sont connexes (car un rêve n’est guère à lecture directe) entrent en scène. Par le biais des structures concernées et d’interrogatoires personnels, recueil de bilans capables de discriminer au mieux ces occurrences. Résultats : la collecte des résultats bruts ne permet pas d'emblée de distinguer entre la tension causée par un désir, un besoin (de tabac, d'alcool, de nourriture) et la tension mobilisatrice mise en œuvre pour contrecarrer ce désir. Par contre un rapport de cause à effet peut déjà y être reconnu. Conclusions : Un tel constat nous place inévitablement devant le "choix qualitatif" : ici, soutenir dans une passe difficile. La réponse se trouvant facilement par ailleurs. Quoi qu'il en soit la question qu'un rêve particulier est lié à une tension particulière peut alors légitimement se poser. De fait SEULS les rêves d’arrêt du tabac sont pratiquement à lecture directe. Résumé/redite Un premier point ne devrait pas nous échapper, celui de l’intérêt de dissocier un rêve pour ainsi dire physiologique s’inscrivant dans les cycles de sommeil et dont on ne peut dire grand-chose hors spéculation, d’un rêve laissant une trace mnésique. On peut risquer un parallèle entre la santé qui est la paix des organes et le silence des fonctions et ce sommeil physiologique. Nos paupières clignent, notre digestion se fait, notre respiration ventile, notre cœur bat, survient une tension quelconque, physique ou psychologique, et ces fonctions s’adaptant, ou s’adaptant mal, en seront affectées et pourront même devenir conscientes. Il en va de même pour le rêve dont on garde une trace mnésique, et c’est enfantin à prouver chez une certaine catégorie de personnes. Sans qu’il soit besoin d’y mêler la symbolique, tant c’est à lecture directe. On a un souvenir de rêve lorsqu’il y a tension, majoritairement de notre fait. Bon, ensuite ça se complique techniquement et du fait de ” sournoises et symptomatiques réticences ”. Ceci vaut pour une première approche, qui mènera à se rendre compte que le rêve est un etc. Quelques outils www.youtube.com/@amarlakhdar4012

Même un rêve lucide court, une "erreur de réveil", en dit plus long sur la nature du rêve que des questionnaires sur de vagues souvenirs.

Simple témoignage sur un moyen d'éradiquer les cauchemars durant l'enfance et perdurant. Petit (entre 3 t 9 ans) j'avais de nombreux rêves et cauchemars émotionnellement intenses. Un nombre notable d'entre eux étaient récurrents et cette récurrence n'avait pas d'influence notable sur leur intensité émotionnelle. Si nombre de ces rêves répondaient à des peurs ou espoirs que je pouvais avoir à l'état de veille, empruntaient des éléments de décors de la réalité, cependant aucun d'eux ne m'est jamais apparu clairement comme le rejeu d'un vécu réel de l'état de veille. Comme je préférais nettement les beaux rêves aux cauchemars, chaque soir j'espérais le rejeu d'un de ces beaux rêves. Et je n'ai jamais eu le moindre rejeu de rêve de cette manière. Les beaux rêves ne se rejouaient que quand je n'y avais pas du tout pensé et donc pas espéré les rejouer, avant de m'endormir. J'en ai déduit, intuitivement, que ce à quoi on pensait volontairement avant de s'endormir ne se propagerait pas aux rêves ou cauchemars du sommeil qui suivait. Et chaque soir donc, je passais en revue la liste de mes cauchemars récurrents. L'effet a été immédiat (du moins très rapide). À partir de ce jour-là, non seulement je n'ai plus fait le moindre de ces cauchemars récurrents, je n'ai plus fait du tout le moindre cauchemar. Les beaux rêves ont continué, à l'exception des récurrents. Pour être précis, à partir de ce jour, c'est la force émotionnelle des rêves ou cauchemars qui est devenue négligeable. Du coup, moins de très beaux rêves. Mais également, un détachement à l'égard de tout rêve qui autrefois aurait été vécu comme un cauchemar. Et cette prise de recul intervient au sein même du rêve. Une sorte de rêve éveillé en mode "mineur". Je ne sais pas que je rêve, mais je sais que ce n'est pas vrai ou du moins important. Précision : de toute ma vie, je n'ai fait qu'un seul rêve lucide, je devais avoir une vingtaine d'années. La question que je vous pose : avez vu eu un vécu similaire à l'égard des rêves et notamment de l'apprivoisement de vos cauchemars ?

Les rêves (semi-)lucides ça m'arrive et c'est rarement agréable. En général je me sens paralysé dans mon lit alors qu'un danger imprécis approche et je m'efforce de me réveiller en criant mais mon corps et ma voix n'obéissent pas. Au bout d'un long moment d'angoisse j'arrive enfin à me réveiller. Parfois mes rêves sont un enchaînement de références à des anecdotes de la veille (discussions, détails anodins sur un trajet...) mais le plus souvent il n'y a aucun rapport évident.

Salut ca m arrive des paralysies du sommeil, dure a bouger même éveiller,il faut forcer pour bouger

je me demande si il peut y avoir un lien avec des gens tdah et les souvenirs de reves

Du coup... du coup... du coup ! 😏

Merci

Je suis un gros rêveur ... Je rêve presque tout les jours et si j'en parles c'est que je m'en souviens au matin mais mon souvenir ne survie pas à la journée. Mes rêves sont souvent des escapes games que je résous péniblement avec un peu de fatigue au réveil ... pourquoi je me torture le cerveau comme ça ?

Bonjour. J'ose espérer avant tout, que Madame Perrine Ruby, visitera cette page, ce message s'adresse à elle. 2023, peut-être maintenant, sont-ils prompts, à recevoir mon témoignage ? Madame, je ferai simple : Je ne sais comment cela est possible (diverses voies étudiées) mais les rêves peuvent bel et bien être, prémonitoires, offrir des visions claires, détaillées, de circonstances lointaines, au temps du rêve, parfaitement inimaginables. Ne vous privez pas de mon témoignage, il est probant. Il ne saurait qu'étendre le champ de prospections de vos recherches.

Je fais aussi des rêves lucides .. je peux manger des mets succulents, je peux voler dans le ciel, je peux avoir des expériences sexuelles ... tout en sachant que je suis en train de rêver