tkt l'ivg aussi est pratiqué.

Et alors ?

Pour toi pas pour les autre

A échelle individuelle c'est toi qui vois au pire fait vous vasectomisez et/ou devenez eunuque... à plus grand échelle c'est comme même indispensable pour perpétué l'espèce et l'héritage. Non parce que les chute démographique et de natalité c'est quand même nettement plus inquiétant.

Pour toi peut être ! Mais pas pour tout le monde

Vers 12SA, on propose à toutes les femmes enceinte un test de dépistage de la T21. Dans l'immense majorité des cas où une T21 est avérée, la femme / le couple décidé de ne pas poursuivre la grossesse. Chacun peut avoir son opinion personnelle (sans jugement) mais la loi actuelle autorise cela. Sélectionner un embryon non porteur de T21 dans le cadre d'une PMA peut permettre d'éviter une IMG quelques semaines plus tard.

Je te conseille d'ouvrir un dictionnaire la prochaine fois fr.wikipedia.org/wiki/Eug%C3%A9nisme

Je te souhaite de ne pas être concerné par l'infertilité, et j'imagine que ce n'est pas le cas sinon tu verrais surement ca d'un autre oeil.

N'importe quoi, encore quelqu'un qui ne connait pas et n'est pas concerné on se passera de ton avis ....

Oh ! 20 ans trop jeune après 30 ans trop tard ? Laissez les gens tranquilles ça va pas ou quoi. Il faut réussir sa vie pro aussi avoir une vie stable avant de faire un enfant. Réfléchissez un peu .

Ce n'est pas parce que le risque de trisomie augmente avec l'âge qu'une femme jeune ne peut pas être confrontée à cette situation. Qui sommes-nous pour décider l'âge auquel il est "convenable" d'avoir un enfant ? Certaines veulent une situation pro et financière bien stable, d'autres ne se sentent pas prête avant 35 ans, d'autres encore veulent vivre la parentalité avec un(e) conjoint(e) et rencontrent "la bonne personne" sur le tard... Chaque situation est différente et porter un jugement sur cela n'apporte rien de positif ni pour ces femmes ni pour nous-même.

@@cha3444 Qui êtes vous pour décider qu'un trisomique n'a pas le droit de vivre ?

@@jullanana59 Retrouvez-moi le seul mot de mon commentaire qui insinue que j'ai dis cela. Je vous expliquais de façon simple que l'âge n'était pas le seul facteur favorisant d'une potentielle T21 pour un futur enfant et que ni vous ni moi ni personne ne peut dire à une femme le meilleur âge pour devenir mère car nous sommes toutes et tous différents et que le jugement dans ce genre de situation n'apporte rien de positif.

@@fleurdesiles2319 vous n'avez rien écouté du reportage espèce de bique. Ce dernier couple dont la femme a 40 ans a essayé plusieurs tentatives de PMA en France pendant 7 ans sans succès d'où leur essai à Prague. De plus, pas de trisomie car justement dans cette clinique comme en Espagne ou Belgique ils n'implantent que des embryons viables donc pas de trisomie contrairement à la France où les tests de viabilité sont interdits.

🤮🖕🏼pas d’utérus pas de jugement idiot !

Quel rapport avec les avortement.. je suis moi même en PMA et j'ai jamais avorté

Dans nos pays dits développés, les IVG sont dans la quasi totalité des cas sans risques si elles sont pratiquées selon les méthodes préconisées par l'OMS. En dehors de très rares exceptions, une IVG antérieure n'a pas d'impact sur la future fertilité d'une femme. Aucune femme ni aucun homme ne mérite de souffrir. Aucune femme ni aucun homme ne mérite la suspicion et le jugement d'une personnes extérieure à une situation.

@@cha3444 La stérilité de la femme peut être causée par différents facteurs, notamment l'endométriose ou encore des interventions comme un avortement. Aucune intervention médicale n'est sans risque total. Les risques de complications suite à une interruption volontaire de grossesse existent donc : Dans le cas d'IVG non médicamenteuses (51 %), c'est-à-dire effectuées par curetage, les complications les plus graves sont : les risques de perforation de l'utérus,et les risques d'implantation anormale du placenta lors d'une grossesse ultérieure. D'autres complications sont possibles : infections, hémorragies et perturbation du cycle menstruel. Il existe des effets tardifs de l'avortement, principalement dus aux infections : inflammation pelvienne chronique,adhérences péritonéales,grossesse ectopique (extra-utérine) et stérilité secondaire. Après une interruption volontaire de grossesse, les femmes connaissent des troubles transitoires des règles (dysménorrhée). Des synéchies (adhérences des parois utérines) peuvent parfois provoquer une aménorrhée (absence de règles) risquant de persister si elle n'est pas traitée. Certaines études parlent aussi d'autres risques accrus : grossesse extra-utérine, placenta mal positionné, décollement prématuré du placenta (qui entraîne la fausse couche). Certaines études effectuées en Hongrie ainsi qu'au Japon montrent que les naissances prématurées sont plus nombreuses parmi les femmes qui ont subi des avortements provoqués. Par pitié cessez de banaliser cette mutilation du corps féminin, si pour vs c'est rien c'est votre problème mais ne répandez pas de contrevérités, les jeunes filles ont le droit de savoir en tout état de cause ..

@@kkecui Je suis sage-femme, je ne suis ni pour ni contre cette pratique, mon rôle est d'accompagner les patientes le nécessitant dans cette démarche. Je connais donc les complications pouvant être engendrées par les IVG médicamenteuse ou chirurgicales. Comme le dit l'OMS, le risque de complication est amoindri dans nos pays car les IVG sont pratiqués selon les conditions fixées par l'OMS. Aucun acte médical, aucune substance chimique médicamenteuse n'est sans risque. Cependant, si il faut informer nos patient(e)s des complications possibles, ils serait mensonger de leur faire croire qu'une IVG est une intervention très risquée si elle est pratiquée dans nos pays dits "développés", dans les conditions fixées par l'OMS et en respectant un délais admis d'environ 12SA en fonctions des divers chiffres donnés par différents organismes. Pour les risques liés aux IVG, ils sont classés en deux catégories: mineurs (exemple: besoin d'une re-aspiration) et majeurs (exemple: hémorragie nécessitant une transfusion). Il y a également les complications immédiates ou lointaines. Si on prend l'exemple de l'hémorragie majeure (nécessitant un transfusion), on voit que les chiffres sont de 0 à moins de 0,1% des cas dans le cadre d'une IVG par aspiration. Pour une complication majeure telle que la perforation utérine, la probabilité qu'une IVG induise une telle complication est de 0 à 0,2% pour une IVG par aspiration pratiquée dans des cabinets réalisant des actes chirurgicaux et de 0 à 2,3% pour une IVG par aspiration pratiquée dans une structure en chirurgie ambulatoire. (chiffres: Haute autorité de santé) Le but ici n'est pas de détaillé chaque complication possible, mais bien de montrer que même si le risque de complication post IVG est bien présent, ce dernier reste relativement voire même très faible.