Tous mes compliments et respects à tous ces mineurs qui ont redressé la France après 1945 . Merci infiniment.

de 1964 a 1969 j'ai travaillé au puits 5 ouest de sallaumines pas de calais c'est a dire de 14 a 20 ans . si je reconnais une similitude dans les grands axes , ce puits semble trés moderne et le travail beaucoup moins pénible a l'age de 20 ans j'ai terminé au raval du pouis 5 a moins 800. . avec le départ a l'armée je ne suis plus retourné dans ce métier de mort précose .!! mais toute ma vie je resterais un mneur ch'ti et avec les valeurs de la mine

magnifique reportage !!!! SACRE BON HOMME!!!!je guettais la siréne qui annoncait la fin d'un poste de travail !!!!hommage a tous

Excellent reportage Merci

Et dire su il ne reste rien de la houve. Même pas le bâtiment d entrée. Un pur scandale à la française, comme d habitude. Respect et reconnaissance à ces hommes.

Beau reportage une pensée. Pour mon père Qui etait mineurs de fond et chapeau a tous ces mineurs courageux .

Merci beaucoup .J habitais en face de la houve ,mon père y a pris sa retraite dans les années 80 après 30 ans de boulot .Que de souvenirs autour du Schlamm et sur le terril 👍

Reportage très intéressant, pour moi jeune passionnée des mines de charbons, qui, s'est toujours demandée, à quoi ressemblait les anciennes villes minières, comme cagnac les mines. Merci à vous mineurs pour tout ce travail acharné, et merci aussi aux tristement méconnus mineurs de fer, qui eux, travaillais dans bien des tristes conditions.

Incroyable émotion ! Petit, dans les années 55, j'ai habité dans la cité à côté du puit. Mon père bossait à La Houve. Plus grand je suis devenu représentant. Les HBL étaient des clients et j'ai reconnu à la machine d'extraction, la cabine qui abrite le moulineur et son pupitre, que j'avais vendue vers 1979 ou 1980.

Superbe vidéo !!que des braves hommes courageux c'est vraiment incroyable 💕 merci a vous tous

Très beau reportage sur la mine de charbon de la Houve où j'ai fait un stage en 1951.Je voudrais rappeler qu'en Lorraine il y à eu qlq 60 mines de fer dont on parle peu. Le manque de considération et le traitement social désastreux dont les braves mineurs de fer furent l'objet est une tache noire dans l'Histoire minière de notre Pays sous tous les régimes depuis Henri iv. C'est sur ce sujet l'omerta la plus totale.? Beaupuits Michel mineur de fer depuis 1948, chef porion.

Respect !!!

Mon grand père y a travaillé toute sa vie

Suis natif de Forbach en 58, mon père dans son village de Kirviller"57430" fils de paysan Mosellan en 1924, la mine en 1947 ou 46 je sais plus ... Bonne idée ou pas ? Respect pour pour tous ces mineurs qui ont fait que la France d' après guerre a pu se sortir bien que mal de la misère de la guerre " Glûck auf"

Imaginez l'opération du perçage des trous dans la roche en vue de la faire exploser à l'aide de cartouches de dynamite, opération appelée '' la foration ! '' Quand en 1946 il n'y a pas d'eau et que c'est l'air comprimé introduite au bout du fleuret (la mèche!) qui chasse la poussière du fond du trou en cours de perçage vers l'extérieur, en vue de favoriser la pénétration de ce fleuret dans cette roche ! Cette poussière épaisse et nocive qui pénètre directement dans les poumons des mineurs . Et ce lourd marteau perforateur d'au moins 20 à 25 kilogrammes que l'ouvrier porte sur son épaule presque toute la durée de la foration, le détruisant physiquement qui le le rend sourd ? L' eau et la béquille télescopique pneumatique qui, sur cette vidéo, supporte et appuie sur cet outil, n'existaient pas encore ? Situation inhumaine tuant prématurément les mineurs qui travaillent en bowette, galerie creusée dans la roche pour avoir accès au couches de charbon. Ces mineurs n'atteignent jamais 50 ans l'âge de la retraite , tués prématurément par la silicose, détérioration totale des poumons. Monsieur Alexis DESTRUYS ,Directeur et Secrétaire Général des HBNPC nous dit en page 22 dans l'un de ses Mémoires du 1er janvier 1945 au 1r janvier 1948, 2àme paragraphe : Une thèse d 'André HOUCHART de 1951 montre que la durée de survie d'un silicosé de moins de trente ans va de deux ans à cinq ans... ce que je constate effectivement et douloureusement . Il ajoute, d'autre part, combien d'ouvriers, retirés apparemment à temps des chantiers dangereux ou du fond et dont l'évolution de la silicose semble stoppée, voient celle-ci reprendre brutalement sans raison , quelques années plus tard et en mourir ...

Très beau reportage mais pauvre planète elle dérouille

Grisou = Méthane

Ca s est bien modernise mais ça reste un travail dangereux et je croyais que c etait interdit de nos jours

A quoi sert le charbon de nos jours je comprends pas trop !

A mon époque en 1880, il fallait piocher à la main pour extraire le charbon aujourd'hui le métier est devenu facile avec les machines les jeunes ne savent pas la chance qu'ils ont, et se mettent en gréve pour un rien !