Un livre brillant et intelligent. Que devraient lire tous ceux qui se destinent à des activités de coaching. Un changement de paradygme salutaire... apparemment difficile à accepter par certain. Mais un discours intelligent et inco tourna le pour tous ceux qui s'intéressent à l'évolution de notre société

كم نحن فخورين بك .

Mais la beauté de cette biologiste est une réalité.

Que les enfants de personnes modestes qui ont du courage et veulent développer leur talent (oui j'ai bien dit leur talent) qui n'est pas héréditaire, soient rassurés. S'ils travaillent, ils réussissent.

Pour ne pas passer ou brûler d'étapes, donc être laxiste, il n'y aurait pas de plaisir à bouger, ce que nous aurions pu penser pour nous-mêmes tout en ne pouvant peser grand-chose dans la balance (ladite légèreté). Premièrement, dans le ventre de notre mère, notre cerveau aurait réagi chimiquement à des stimuli extérieurs qui auraient créé une émotion ou non, pouvant trouver sa résolution dans l'action réflexe appropriée (pas n'importe laquelle). À partir du réflexe, nous aurions pu passer à l'automatisme qui serait un peu plus élaboré que le réflexe, et pouvant donc faire référence à une mémoire (structure). Étant donné qu'une action réflexe spécifique ne devrait pas se mêler avec d'autres, la mémoire serait ce qui pourrait permettre ce genre de chose. Mais étant donné qu'un réflexe comme un automatisme serait quelque chose d'inconscient, pourrions-nous affirmer que le bébé aimerait agir pour agir (sophisme et au risque du marathon)? Ne risquerait-il pas de penser, de toute façon, qu'il serait libre de prendre telle ou telle chose, en l'explorant pourtant pour savoir si ça ne pourrait pas correspondre à quelque chose qu'il connaîtrait déjà (toujours sans marathon)? Nous pourrions imaginer le petit de l'homme manipulant un objet, cherchant la régularité (comme les physiciens ou scientifiques). Nous pourrions le voir taper avec d'autre objets comme l'homme préhistorique dans 2001 odyssée de l'espace, son but déterminé étant d'obtenir un certain résultat (casser, catapulter, etc.), agissant toujours aussi par besoin et intérêt. Bref, son comportement n'étant pas hasardeux, le hasard plutôt que la contingence n'existant pas vraiment comme la liberté, pourrions-nous vraiment affirmer qu'il agirait par plaisir que pour le but pouvant en procurer? De surcroît, nous saurions que l'action brûlerait de l'énergie tout en n'étant pas économe pour notre corps (le cerveau en consommant beaucoup)? Serait-ce que, par conséquent, il ne s'agirait pas plutôt de niveau d'énergie, donc de seuil comme de structure, un vecteur ayant sa propre structure? Pour l'art qui se nourrirait d'incertitude, ce serait justement un autre de ces laxismes qu'il faudrait éviter, et ce, sans préjugé ou jugement de valeur sous-entendu et dangereux. Samah pouvant entretenir quelque contradiction (incohérence), n'aurait-elle pas pu préciser que toutes métaphores ou analogies seraient dangereuses?

. *elle a raison, je trouve - lire aussi PETIT ÉLOGE DE LA MÉDIOCRITÉ, de Meurice - ces deux-là ont tout compris - cessez d'admirer bêtement !* ☮

Un remake de ce qu'elle a pioché, dans le travail des autres ,qu elle ne peut pas ni l expliquer, ni le prouver ,de simples hypothèses pleines de mots et belles phrases

Sans son père pas de Mozart…

Samira redécouvre l'Amérique!😂

cette femme énonce juste des évidences et son titre volontairement putaclic est, lui, une absurdité que les débiles vont, j'en suis sûr, commencer à répéter à tout va parce qu'ils ne comprennent pas grand chose... la dichotomie, talent/travail est vieille comme le monde et, oui, le travail l'emporte sur la durée sur le talent. cela ne nie en rien le talent ni le fait que les gens talenteux puissent-être eux aussi travailleurs... atteignant ainsi des sommets que les travailleurs sans talent n'atteindront jamais...

C'est complètement faux (et comme par hasard dans l'air du temps qui donne le pouvoir aux gens médiocres...) La vie est injuste et il faut l'accepter. La pensée qui voudrait que tous les humains naissent égaux et se distinguent ensuite par leur mérite est cruelle et génératrice de névroses épouvantables.

c'est bien Madame Samah Karaki. Bravo pour votre talent... oups… de déconstructionniste ; vous collez parfaitement à notre époque. Car vous le savez bien cher samah : tout ne n'est que construction sociale : la grande supercherie gauchiste. D'abord, comme toujours avec les progressistes, on nous présente la personnalité comme sérieuse, sachant de quoi elle parle. Rendez-vous compte, elle est diplômée notre essayiste, elle ne vient pas de nulle part : biologiste et docteur en neuroscience, fondatrice du social Brain Institute. Ça en jette... non...! On nous a fait le même coup avec Maboula Soumahoro qui s'honore sur chaque plateau avant d'avoir déversé sa crasse bêtise et surtout sa haine, d'avoir une maîtrise et d'être une "CHERCHEUSE " sauf qu'ici, à écouter Samah Karaki, tout ça ne vaudrait pas triplette ; puisque le mérite, le talent, c'est du flan, nous dit-elle, en substance et que tout à chacun peu en faire autant. Bon, j'arrête là ma mauvaise foi et mon esprit chagrin. Admettons que notre "chercheuse essayiste" sait de quoi elle parle. Il nous faut donc tout déconstruire et essentiellement toutes assertions venant de l'horrible ancien monde. Cet ancien monde complétement sous l'emprise du "MAL BLANC OCCIDENTAL et son HORRIBLE PATRIARCAT". Tout tient dans cette petite phrase en réalité. C'est là le malin, le mal absolue d'où tout découle et d'où proviennent tous nos péchés. Soit ! En conséquence, après avoir déconstruit la religion chrétienne - pas touche à l'islam, religion de paix et d'amour comme chacun sait ; - l'homme blanc occidental, son identité, sa culture, ses traditions - pas celles des autres, qui, par, je ne sais quel mystère, ne rentre plus dans leur logiciel idéologique, n'est plus de la science ni une vérité absolue, mais mystérieusement et sans bien en comprendre le mécanisme, devient de la discrimination nous dit-on... ? Donc pas touche à ceux qu'ils appellent les minorités. Bref... on s'attaque à présent à toutes ses bonnes vieilles valeurs de "l'ancien monde", telles que le courage, le goût de l'effort, de la performance, de la méritocratie, etc. Il ne restait plus que de s'attaquer au talent. Sarah Karaki en a rêvé, elle l'a réalisé. Certes, s'il ne s'agissait que de démystifier ce que le plus souvent cette même gauche encense et parle de talent, d'Art avec un grand A, alors que le plus souvent nous sommes face à de la crasse médiocrité ; j'aurais pu applaudir des deux mains. Mais il n'en est rien, car ici, même ce pauvre Amadeus ne peut être racheté à la sagacité de dame Samah, qui ne voit en notre jeune prodige de l'époque, qu'un pauvre enfants persécuté par un papa autoritaire abusant de son rôle patriarcal (décidément, on n'en sort pas) et qui à force de persuasion, de travail acharné en a fait non pas un artiste majeur et unique, mais rien d'autre qu'un martyr un perroquet de la musique classique. Par conséquent, à en croire Sarah Karaki, son "talent" il ne le devrait qu'à ce père abusif, sa propre persévérance. À l'en croire, s'il s'était trouvé mille papas autoritaires désirant de faire de leur progéniture un génie du piano, nous aurions eu à applaudir mille Mozart : CQFD. C'est-y pas merveilleux le déconstructivisme.

En piochant un peu partout ,en voulant dire autrement pour expliquer, ça donne ce qu on ne peux expliquer, avec des preuves mais seulement,qui plus est en théorie non Exact comme pleins d autres personnes, on revient a zéro sans rien avoir fait avancé

détection et entrainement des talents en entreprise Edition ISTE Yves Richez. permet de comprendre l'impasse actuelle et d'adopter une approche ressourçante