Une chose est certaine dans ce dossier c'est qu'il y a une coupable que l'on peut vraiment montrer du doigt, la JUSTICE.
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C'est elle qui est responsable du fait que l'on a toujours aucun coupable depuis 35 ans. Que d'erreurs, que d'actes manqués au sens propre comme au sens figuré, je ne rappellerai que la scandaleuse inculpation de Christine Villemin dont on connait les raisons peu reluisantes. Oui, elle a reconnu certaines erreurs, oui elle a rendu des non-lieu, oui elle a dédommagé des victimes, mais c'était bien le moins qu'elle puisse faire.
Mais comme cela ne suffisait pas, en 2017, cela a recommencé avec des mises en examen qui ont eu lieu avec contrôles judiciaires et puis "patatra" tout cela fut encore annulé pour vice de procédure, bravo la crédibilité. Et enfin last but not least, l'annulation de la garde à vue de Murielle Bolle. Mais tout n'est pas perdu, tentent 'il de nous expliquer.
Soulignons, et cela n'est pas non plus à son crédit, le travail de sape extraordinaire et continu des avocats, tous confondus, qui ont vraiment contribué à faire mettre un genoux à terre à cette triste justice. Puisse t'elle se remettre enfin debout dans cette affaire qui n'est pas moins que l'assassinat d'un enfant de quatre ans.
Mais n'est'il pas trop tard, bien qu'elle s'en défende dans les articles de journaux en nous criant de nouveau un air de déjà entendu "nouvelle théorie des gendarmes, un meurtre collectif ... ". Ben tiens, ouais .... On en reparlera, nous sommes ici pour cela n'est-ce pas ?
Pour illustrer un temps soit peu mes propos, je vous livre une interview d'un chroniqueur judiciaire du figaro qui revient sur les dernières annulations de mise en examen de la chambre d'instruction de Dijon ayant été obligée d'annuler ses propres actes. Publié le 16 mai 2018.
À suivre
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Jean-Louis Paris
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