The way he casually pushes the piano into the room just as if it was his instrument makes me smile every time!!

Pierre-Laurent Aimard is such an extraordinary and wonderful musician, he’s one of the best things that’s happened to France in the modern period and easily the best pianist for twentieth century music, Aimard and Boulez is a match made in heaven!

Merci pour cette vidéo.

Cette pièce est vraiment fascinante. PL Aimard a l'air de mieux connaître la partition que le compositeur sur cette vidéo.

10:12 magnifiques ces sonorités de cristal.

Cette musique pourrait aider une personne souffrant de priapisme à débander.

J'avais assisté en concert à une sonate de Boulez pour piano (la deuxième), et bien c'était une véritable claque. En live ça n'a absolument rien à voir par rapport à une vidéo ou un Mp3, voir un interprète se donner à fond dans une pièce aussi aride et difficile ça produit un son hyper intéressant (comme pour les pièces de Brian Ferneyhough) et très impressionnant en concert. Certes je n'en écouterais pas toute la journée et peux comprendre qu'on n'aime pas, mais c'est en revanche totalement pourvu d'intérêt. Du moment qu'on en a pas les mêmes attentes qu'en écoutant du Mozart bien entendu . . .

une vidéo intéressante sur la complémentarité des points de vue du compositeur et de l'interprète. Ce type d'oeuvre nécessite un tel niveau de concentration, de qualité d'execution et d'exigence formelle que ça fait effectivement pas trop rire dans les chaumières.

pour essayer de mieux comprendre : classic-intro.net/introductionalamusique/vingtieme2.html#_La_musique_al%C3%A9atoire_1

Thanks.

Does anyone know the year this film was made? I googled the maker - Emmanuelle Franc - but couldn't find that info.

De quand la vidéo est-elle ? Années 90 ?

This is the music I hear when my cat walks on my piano

La 2e partie est plus accessible d'ailleurs j'aime bien le final.

Le niveau de déchiffrage à vue de certains mecs est hallucinant.

La deuxième partie est captivante. J'aime beaucoup "Commentaire".

C'est vrai que c'est fascinant. Une telle dévotion et un tel talent de savoir-faire pianistique au service du presque rien. Boulez était d'évidence un immense chef, qui a fait évoluer la direction d'orchestre et la compréhension de la musique nouvelle, qu'il servait admirablement. Son savoir était probablement supérieur en tous points, et son sens analytique aiguisé comme un laser. Je ne l'ai jamais rencontré, seulement beaucoup lu sur lui et aussi des choses de lui. J'ai aussi lu le livre de Michel Schneider "La comédie de la culture". De ces divers canevas émerge un personnage que je ne trouve pas sympathique. Je pense également que Boulez a fait énormément de mal à la musique contemporaine en France, il a contribué à beaucoup la cloisonner, la diviser. L'Ircam , avec ses millions de francs engrangés e dépensés au service d'un nombre ridiculement restreint de personnes a aussi beaucoup à avoir avec cette tragédie. Sans doute que Boulez aurait aimé être un compositeur véritable, et que dans sa folie égocentrique il devait être convaincu par brefs instants que sa production constituait les sommets, par oppositions à beaucoup d'autres qu'il n'hésitait pas à critiquer quand ce n'était pas les mépriser. Son sens de l'histoire semblait ainsi fait ; les sommets et les précipices. En définitive qui peut écouter plus de deux minutes, sérieusement et avec un plaisir manifeste, ses sonates pour piano? Quel sens ce type de mathématiques sonores a t-il? Jusqu'à quel degré une telle intellectualisation peut elle avancer et laisse t-elle dans son sillage cette chose improbable, mais pourtant hautement vitale qu'est l'inspiration? Certes, avec des effectifs orchestraux importants, du matériel high tech , des instruments électroniques les plus avancés et bien sur des musiciens d'orchestre de très haut niveau il est toujours possible de faire quelque illusion. Mais le piano, c'est l'expression la plus dénudée de ce que l'on a à dire. Il est impossible de tricher avec. Si tu as quelque chose à dire cela s'entend et si au fond tu n'as rien à dire, hélas cela s'entend tout autant!

le pianiste est scrupuleux, zélé, obéissant, plein d'abnégation et de bonne volonté. Le compositeur a un projet, tout cela est très pro. Avec au bout, une musique faite d'une succession de tics qui peuvent surprendre au début mais deviennent très vite ennuyeux. Le pianiste (également créateur) n'a pas d'autres moyens que de théâtraliser son jeu pour maintenir une attention. Oui, on a là un prototype de ce que fut la création musicale officielle en France lorsque la cinquième république avait encore les moyens de promouvoir ces expérimentations. Les temps ont changé.

2e écoute et je commence à apprécier... 🤔

13:20 Aimard à genoux, Boulez trône.

C'est peut-être l'alphabet pour un langage commun avec les extra-terrestres de la planète trouvée il y a peu dans l'Attracteur Universel.

Aimard c'est magnifique.

Pour écouter cette extraordinaire sonate - de façon accomplie - j ai choisi LE pianiste que le compositeur a choisi ( lui- même Carnegie Hall NY ) et membre de intercontemporain DIMITRI VASSILAKIS ...

Stravinsky stole the affect of this for his Movements.

Wish there were English subtitles ☹️

Me parece que, por la cara que pone Boulez, ni a él le resulta satisfactoria esta obra.

Bien que la Musique en général soit porteuse d'un message universel, ici je dois bien l'admettre, je suis assez dérouté. Je ne pense hélas pas être le public cible, je réceptionne mal le message...

J'essaye vraiment de trouver un côté beau à cela, ou au moins de me forcer à y trouver un sens, mais j'échoue à chaque fois.

Le début est aride, sans liant ou ambiance, j'ai un faible pour Structures et les petites pièces pour piano. On s'y fait tout de même à la longue. Je ne trouve pas les adjectifs qui conviennent, il faudrait peut-être les inventer dans la langue française pour décrire cette musique encore nouvelle. Je trouve que mystérieux ne conviendrait pas à cause de la clarté. Imprévisible non plus car il y a une manière qui se répète à l'évidence tout au long de la pièce. Plaisant serait beaucoup dire à cause des agressions pures, attrayant serait un peu plus proche de ce que je ressens. Il y a un peu d'humour et beaucoup d'humeurs. Incongru serait un peu facile mais il faut bien commencer par quelque chose. En fait, j'aime beaucoup bien que je m'ennuie par longs moments en attendant la suite et en pensant à autre chose. J'apprécie le déploiement des nuances utilisées avec compartimentation, sans cresc ni decresc je crois.

A work that's far more interesting to hear the gifted composer discuss than actually listen to. The score itself, of course, is a marvel to look at, but sadly this doesn't translate into a genuinely musical experience. IMHO of course! This music, full of fabulously intricate notation and pretty sonorities, is musically beyond dated. Boulez will be seen as a marvellous, mannerist, decorator.

How does one listen to this?

😱 grosse fausse note au début de la 3e mesure !

L'abnégation de l'interprète...

intrigant serait peut être l adjectif qui pourrait convenir? ..

C’est pour une sortie de mariage

When you let your sim sit at the piano for the first time

Se han escrito obras anti...algo. Anti tonalidad. Anti estructura. Antitradición. Ahora me temo que también estamos escribiendo anti Boulez.

Ppff au secours !

オーソドックス。カトリック。プロテスタント。//セクト。カルト。//アテ。カルトがオーソドックスに格上げされることはないが、カルトとして継続するかが問題。継続しないに賭けよう。

Je comprends l'intérêt sur la complexité et l'idée de bosuculer les codes établis. Mais musicalement, c'est quand même pas terrible.

Le pianiste est un très bon solfègiste ...mais est il nécessaire d avoir une tenue aussi négligée ?

Cascade chromatique de billes métalliques à travers un argentier.

Is that music?

je suis pianiste ....et je t'en crée tous les jours 3 dizaines de ces sonates ...sans probléme ...

C'est horrible ! A qui voulez-vous faire croire que ceci est de la musique !??

Eso lo compuso un gato?

"Le do n'a aucune raison d'être là" (ou "d'être la"?)

Un univers intéressant et novateur, quoique sans génie...

Boulez ne rigole pas. Il ne rigole JAMAIS. Et il n'aime pas trop qu'on se foute de sa gueule.

C'est de la merde pas besoin d'argumenter.

L'air concentré et plein de révérence soumise du pianiste pour produire cette musique d'insectes épileptiques...marrant! ou pathétique, selon le point de vue.

Cette musique fait chier le monde.

la pianiste est appliqué et besogneux.......Beaucoup de courage MAIS quel ENNUI . On attend un Véritable interprète qui a quelque chose à DONNER et à DIRE !

Ce qui n'a jamais été créé est-il forcément intéressant ? Certaines choses ne devraient-elles pas rester dans le néant de leur non-intérêt ? Exemple : « Tiens, je vais me faire une camomille, une bouillotte et me mettre le CD de la 3me sonate de Boulez » est une phrase que je ne dirai jamais. Pourtant je ne vais pas en faire un roman. Ceci dit, j’ai bien tort, je pourrais énoncer la non-écoute de cette non-œuvre et ainsi créer moi-même une non-œuvre qui mettrait en scène l’éducation artistique d’un non-être. Il serait ensuite édité et disséqué comme nombre d’autres. Un film en serait tiré et je cesserais ainsi d’être un non-célèbre pour devenir un nom célèbre. Pour moi, ce n'est pas de la musique mais de l'expérimentation sonore. Mais bon, pas mal d'imbéciles ont hué le Sacre du printemps en 1913. D’ailleurs…petite arithmétique musicale : Sonate n°3 Boulez (1957) - Sacre Stravinsky (1913) = 44 ans entre les deux compositions. J'ai aimé le Sacre à la première écoute en 1967. 1967 + 44 = 2011. Je devrais aimer cette sonate depuis 2011. Ou au moins l'apprécier ? Voire la comprendre. Un peu ? Ben non. Rapide point de comparaison aux autres arts : • Rodin -> Giacometti -> César •• Rembrandt -> Modigliani -> Boltanski ••• Beethoven -> Stravinsky -> Boulez •,Point commun des premiers : purs génies novateurs, on peut dire « il y a avant et après ». Il y en a quoi ? Dix par siècle tous arts confondus ? •• Point commun des seconds : ont réussi a innover malgré le poids des classiques les ayant précédé. Mais ils ont créé des œuvres qui ont été comprises et souvent aimées par le commun des mortels, voire fini par être comprises. ••• Point commun des troisièmes : ce sont de beaux parleurs et malgré ça, je ne comprends toujours pas leurs œuvres après plusieurs décennies et j’ai peur de ne pas être le seul. Pour moi, de l’art qui a besoin d’explications n’en est plus. « Là, j’ai voulu dire que » ah bah dommage que j’ai besoin de sous-titres, non ? Ils ont davantage créé des concepts que des œuvres. Souvent, ils diluent leur unique idée (mais « concept » est plus vendeur) sur des années, en gros jusqu’à épuisement du carnet d'adresse et des subventions. Livres, thèses, documentaires, les exégètes sont pourtant légion. J’ai même cru que P-L Aimard souffrait parfois en jouant. Ce sont des « intellartuels ». Et intouchables en plus. - Qui es-tu petit homme qui toise mon génie du bas de mon piédestal ? Je t’entends à peine tant j’évolue dans de hautes sphères. Quelles sont tes compétences pour tenter m’atteindre ? - Ben aucune. C’est juste que les sons que tu as choisis sont rapidement fatigants. Ils ne m’apportent ni plaisir ni apaisement ni élévation pas même de l’intérêt. Tu aurais dû suivre davantage ton maître quand il allait noter les chants d’oiseaux… Qu’a bien pu te faire la musique que tu veuilles te venger d’elle à ce point ? - En fait, tu m’envies et tu aurais aimé être à ma place, petit homme. - Oui, touché ! Enfin, pour les subventions, hein ;-) Un point positif, ça a tout de même donné du travail à la petite chaîne des fourmis (éditeurs, critiques, accordeurs de piano, maison de disque, techniciens et réalisateurs chez Mezzo, m. Aimard, et même moi si j'étais payé ici !), une façon de récupérer une gouttelette des subventions allouées à l'IRCAM. Au passage, qu'est-ce que c'est que ce pianiste qui a besoin de la partition, une honte !

Boulez est sûrement le troisième B, avec Bach et Beethoven, deux compositeurs très complexes également.

So in short this is called contemporary music but in reality let's be honest this is from an horror movie ost

Was für eine Verschwendung von Zeit und Energie.