C'est une impro, voyons.

Parce qu'il comporte les notes du ravalement et de l'ancien ton de Riepp. Les premières notes, c'est Sol-La-Do. Le pédalier termine au Fa. Les claviers (1 et 2) ont 58 notes Sol-La-Do jusqu'au Fa) Le récit (3) n'a que 56 notes de Do à Fa (les premières touches sont fixes). Les deux claviers du dessus sont des demi-claviers , toutes les touches basses ne sont que décoratives (38 et 36 notes actives de mémoire). Ces deux demi-claviers ne s'accouplent sur rien. L'orgue reste un trois claviers/pédalier 56/30.

@@FlorentPaoli Ok, merci pour ta réponse ! Je suis allé voir sa composition sur l'inventaire national, super intéressant. Je trouve ça malgré tout assez étrange de laisser des notes de décorations sur les récits et l'écho… ça fait une belle console bien homogène mais ça doit être contrintuitif à prendre en main au début^^

@@mr_burgour9276 C'est surtout le pédalier, car quand on a la vilaine habitude de jeter un oeil avant d'attaquer un DO, on se retrouve à côté. Le clavier est moins gênant puisque qu'on a le piano qui va encore plus loin. Pour le côté décoratif des touches de la console, c'est uniquement pour la vue et pour dire qu'il y a un "cinq claviers" à Dijon. Le prestige ne se ménage pas.

C'est une belle impro "alla Cochereau", il est bien évident que sur cet orgue ça ne donne rien de convaincant.