Félicitations, et bons copeaux.

@@CrayBirkenwald Merci et dire que mon grand père possédait une petite scierie, j'y était tout le temps pendant ma jeunesse. Que de bons souvenirs, certainement l'origine de mon amour du bois. En avançant dans l'age, j'ai de plus en plus envie de le travailler malgré mon handicap.

le 'j'ai beau être matinal' pour le risque de rejet est excellent !! 😂😂😂😂

Des tracteurs? Je vois pas le rapport...

On sent l'expérience ! Merci

....et l'élaboration de la fiche de débit.... Mais c'est peut-être un projet inédit et donc secret !!!

Oui, c'est prévu sur les prochaine. N'oublie pas de regarder celle de cette semaine et de la semaine dernière on y parle de conception et on prépare la fabrication, tu auras tout en détail jusqu'à la finition.

La grume est un terme général pour tous les morceaux de bois qui ont été abattus et ébranchés, cela inclut donc le billon, le billot et la bille de bois (même si cela désigne plus souvent le tronc). La bille correspond à une partie du tronc coupé à l'aide d'une tronçonneuse ou d'une scie à main. Et souvent les menuisiers parlent de boule, car les termes précédents sont plutôt utilisés par les bucherons.

Dans ce cas il faut bannir le terme sécher de notre vocabulaire ! Car sécher sous-entend sans ambiguïté que la matière - quelle qu'elle soit - a une hygrométrie initiale supérieure à celle du milieu et que son hygrométrie ne sera évidemment jamais inférieure à celle dudit milieu. Mais équivalente.

Pas si simple car dans un premier temps, le bois doit perdre l'eau qui était présent dans l'arbre qui a été coupé, il doit donc bien "sécher". Bon par contre, c'est le boulot du scieur ça normalement.

On ne peut pas directement comparer l'humidité relative de l'air avec celle du bois. L'humidité de l'air correspond à la quantité de vapeur par rapport à la quantité de vapeur maximale qu'un volume d'air peut contenir. Pour le bois, l'humidité correspond à la masse d'eau par rapport à la masse sèche (vraiment sèche: étuvage à 103°C pendant 48h). A 20°C et à 60-70% d'humidité de l'air, le bois se stabilisera à 11-12%, si on augmente l'humidité de 10% le bois se stabilisera vers 15% (humidité du bois stabilisé dans les tropiques). En effet, il y a bien un séchage qui suit l'abattage, l'humidité du bois diminue drastiquement jusqu'à un niveau (le point de saturation des fibres) à partir duquel le bois commence à perdre en volume également, pour finalement stabiliser son volume et sa masse à un niveau qui dépend de la température et de l'humidité de l'air. Si les conditions changent le bois peut regonfler ou encore rétrécir (c'est le bois qui travaille). Pour ce qui est du vieux chêne, c'est à la fois vrai et faux. Un bois travaillera toujours, mais dans le cas des vieux bois, la structure de la paroi des fibres s'altère avec le temps ce qui a tendance à rendre le bois moins sensible aux variations de température et d'humidité (mais ca ne veut pas dire qu'il travaillera pas du tout !).

@@romainlehnebach5070 Voilà qui paraît clair, convaincant et même intuitif.

Bonsoir, avec une défonceuse quand on usine à la volée une pièce de faible largeur on en met deux l'une à côté de l'autre pour avoir un appuis plus stable. Donc en mettant deux planches de faible largeur l'une à côté de l'autre.