Je me lasse pas de l'entendre merci Christian Olivier et les Têtes Raides pour cette interprétation magistrale
@tonerdebresse4 жыл бұрын
Que ce texte est magistral, une brute poésie organique pourtant toute empreinte de cette luminosité que seuls ceux qui vont mourir peuvent voir. L'interprétation est tout aussi subtile, poignante, vibrante et vivante dans la voix de Chrisitian Olivier, dans chaque instrument qui semble pleurer, s’essouffler, être suspendu au dernier soupir à chaque seconde.
@user-je2uw2gq5w7 ай бұрын
Incroyable poème de Jeunet est quelle MAGISTRALE interprétation des Têtes Raides juste HALLUCINANT
@julienfarbosАй бұрын
Jean Genet STP.
@andrefornier32796 жыл бұрын
pour qui aime la poésie de Jean GENET, cette version du condamné à mort est émouvant et spendide. Vraiment "magnifiant" comme il disait... Merci, les Têtes Raides!
@nicoben8456 Жыл бұрын
La chanson qui traverse un monde ténébreux C'est le cri d'un marlou porté par ta musique. C'est le chant d'un pendu raidi comme une trique. C'est l'appel enchanté d'un voleur amoureux. Un dormeur de seize ans appelle des bouées Que nul marin ne lance au dormeur affolé. Un enfant reste droit contre le mur collé. Un autre dort bouclé dans ses jambes noués. J'ai tué pour les yeux bleus d'un bel indifférent Qui jamais ne comprit mon amour contenue, Dans sa gondole noire une amante inconnue, Belle comme un navire et morte en m'adorant.
@leonemicouleau4948 Жыл бұрын
Je viens de découvrir cette splendeur, ce texte puissant dans lequel on s'enfonce et d'où l'on ne ressort pas indemne.Il faut remonter à la surface.... Interprétation magistrale.Je découvre...... Merci
@DABELINE3 жыл бұрын
Merci à Têtes Raides de nous faire partager la poésie de Jean GENET....avec son interprétation subtile, et pudique....
@gadzarts5 ай бұрын
Magnifique musique pour accompagner ce long et grave poème ( que je découvre à 68 ans !) , lu d'une voix de maître . Bravo Que ce poème est beau
@Tigerchaton8 ай бұрын
ces textes tellement beaux, merci auteurs créateurs de mots
@TheLamanonegra8 жыл бұрын
Magnifique interprétation d'un des plus beaux poèmes de Genet !
@maxhollinger16692 жыл бұрын
Les Têtes Raides chantant Jean Genêt... Magnifique,j'ignorais qu'ils l'avaient fait🤩😘🤗
@zouzousable6 жыл бұрын
Un coup de Genet en pleine face, merci l'artiste!
@tonerdebresse4 жыл бұрын
Quel texte, quelle interprétation, quelle mise en musique profondément somptueux.
@sansrancune21826 жыл бұрын
peut-être là le texte le plus sublime mis en musique. Toujours un bonheur à écouter, encore et encore.
@herveconteurdhistoires67152 жыл бұрын
J'ai écouté ce magnifique texte, (que je considère comme l'un des plus beaux textes d'amour que l'on ait écrit), chanté par Mouloudji, ( qui était un grand poète), et par les têtes raides. Y a pas photo, cette version est.... Magnifique ! Mais je ne trouve pas les mots qu'il faut.
@plasticien007 Жыл бұрын
Mouloudji le parle, c'est autre chose...la 1ere version est chantée par ogeret
@agnesolivier66666 ай бұрын
Ogeret dans les années 70 sur une musique d'Hélène Martin qui l'a chantée aussi ainsi que Francesca Solleville en 62...
@denisemarsetti89073 ай бұрын
C'est très beau. Merci !
@vinzelrato8 жыл бұрын
la meilleur de l'album, et selon moi le meilleur album des Têtes raides...sacré Genet, sacré Maurice Pilorge...j'ai lu Notre-Dame-des-Fleurs quand j'avais 20 ans...jamais oublié depuis...
@sylvaintournier45914 жыл бұрын
_J'ai passé des nuits entières à jouer à ce jeu : faire naître des sanglots, les amener jusqu'aux yeux, et les laisser là, sans qu'ils crèvent, si bien qu'au matin j'ai les paupières malades, en pierre, dures, douloureuses comme après un coup de soleil. Aux yeux, le sanglot aurait pu s'écouler en larmes, mais il reste là, pesant sur mes paupières comme un condamné sur une porte de cachot._
@myriamm.48043 жыл бұрын
Superbe texte de Jean Gênet magnifié par la musique de la voix et de l'instrument...🤩❤👌
@brotinpatrice46818 жыл бұрын
voici une magnifique chanson portée par Christian Olivier qui met en valeur ce si beau texte
@estelft19066 жыл бұрын
Magnifique interprétation
@christophesingio98016 ай бұрын
C'est immense !
@isabelleclermont29923 жыл бұрын
Cette Voix, ces mots me touchent infiniment...( Le bagne de Cayenne a été fermé en ......1946, grâce au Colonel PEAN, de l'ARMEE du SALUT)... Honte à nos Chefs d'État...
@nielad2992 жыл бұрын
Pas seulement, pas mal d’anarchistes ont critiqué avec véhémence les bagnes outre-mer, comme Alexandre Marius Jacob. La grandeur du pouvoir est la petitesse de l’Homme.
@trezatrez67784 жыл бұрын
sublime texte, sobre et belle interprétation
@marcvieille-cessay72338 жыл бұрын
J'adore... tout simplement !
@mathieumathieu81133 жыл бұрын
du lourd mais pas a porter de toutes les oreilles !!!belle interprétation
@zizographie5 жыл бұрын
Que c'est beau.
@zizographie3 жыл бұрын
Je vais bientôt savoir le texte par coeur et pouvoir le dire en entier
@thibautmartin11028 жыл бұрын
évidemment sublime.... comme toujours. Merci pour la publication.
@cornelius868 Жыл бұрын
wow, very powerful Ruth, remembering the first time you sang...Love, C
@bidoutouminou17 жыл бұрын
Interprétation formidable du poème de Jean Genet; celle d'Etienne Daho et de Jeanne Moreau est très émouvante également. Quant au texte lui-même, quelle émotion au-delà des termes un peu...osés, quel bel hommage aux amours interdites, et déjà un coup de griffe contre la peine de mort.
@meyugi15 жыл бұрын
La peine de mort n'y a rien à voir, un coup de griffe sur un barreau d'acier!
@myriamm.48043 жыл бұрын
Et l'étonnante interprétation de Mouloudji en son temps!
@kucam12mischablue8 жыл бұрын
Le vent qui roule un cœur sur le pavé des cours, Un ange qui sanglote accroché dans un arbre, La colonne d’azur qu’entortille le marbre Font ouvrir dans ma nuit des portes de secours. Un pauvre oiseau qui meurt et le goût de la cendre, Le souvenir d’un œil endormi sur le mur, Et ce poing douloureux qui menace l’azur Font au creux de ma main ton visage descendre. Ce visage plus dur et plus léger qu’un masque Est plus lourd à ma main qu’aux doigts du receleur Le joyau qu’il empoche est noyé de pleurs. Il est sombre et féroce, un bouquet vert le casque. Ton visage est sévère : il est d’un pâtre grec. Il reste frémissant au creux de mes mains closes. Ta bouche est d’une morte où tes yeux sont des roses, Et ton nez d’un archange est peut-être le bec. Le gel étincelant d’une pudeur méchante Qui poudrait tes cheveux de clairs astres d’acier, Qui couronnait ton front d’épines du rosier Quel haut-mal l’a fondu si ton visage chante ? Dis-moi quel malheur fou fait éclater ton œil D’un désespoir si haut que la douleur farouche, Affolée, en personne, orne ta ronde bouche Malgré tes pleurs glacés, d’un sourire de deuil ? Ne chante pas ce soir les «Costauds de la Lune». Gamin d’or sois plutôt princesse d’une tour, Rêvant mélancolique à notre pauvre amour ; Ou sois le mousse blond qui veille à la grand’hune. Il descend vers le soir pour chanter sur le pont Parmi les matelots à genoux et nu-tête «L’Ave Maris stella». Chaque marin tient prête Sa verge qui bondit dans sa main de fripon. Et c’est pour t’emmancher, beau mousse d’aventure, Qu’ils bandent sous leur froc les matelots musclés. Mon amour, mon amour, voleras-tu les clés Qui m’ouvriront le ciel où tremble la mâture D’où tu sèmes, royal, les blancs enchantements, Ces neiges sur mon page, en ma prison muette : L’épouvante, les morts dans les fleurs de violette, La mort avec ses coqs ! Ses fantômes d’amants ! Sur ses pieds de velours passe un garde qui rôde. Repose en mes yeux creux le souvenir de toi. Il se peut qu’on s’évade en passant par le toit. On dit que la Guyane est une terre chaude. Ô la douceur du bagne impossible et lointain! Ô le ciel de la Belle, ô la mer et les palmes, Les matins transparents, les soirs fous, les nuits calmes, Ô les cheveux tondus et les Peaux-de-Satin. Rêvons ensemble, Amour, à quelque dur amant, Grand comme l’Univers mais le corps taché d’ombres. Il nous bouclera nu dans ces auberges sombres, Entre ses cuisses d’or, sur son ventre fumant, Un mac éblouissant taillé dans un archange Bandant sur les bouquets d’oeillets et de jasmins Que porteront tremblants tes lumineuses mains Sur son auguste flanc que ton baiser dérange. Tristesse dans ma bouche ! Amertume gonflant, Gonflant mon pauvre cœur ! Mes amours parfumées Adieu vont s’en aller ! Adieu couilles aimées ! Ô sur ma voix coupée adieu chibre insolent ! Gamin, ne chantez pas, posez votre air d’apache ! Soyez la jeune fille au pur cou radieux, Ou si tu n’as de peur l’enfant mélodieux Mort en moi bien avant que me tranche la hache. Enfant d’honneur si beau couronné de lilas ! Penche-toi sur mon lit, laisse ma queue qui monte Frapper ta joue dorée. Écoute, il te raconte, Ton amant l’assassin, sa geste en mille éclats. Il chante qu’il avait ton corps et ton visage, Ton cœur que n’ouvriront jamais les éperons D’un cavalier massif. Avoir tes genoux ronds ! Ton cou frais, ta main douce, ô môme d’avoir ton âge ! Voler, voler ton ciel éclaboussé de sang Et faire un seul chef d’œuvre avec les morts cueillis Ça et là dans les prés, les haies, morts éblouies De préparer sa mort, son ciel adolescent... Les matins solennels, le rhum, la cigarette... Les ombres du tabac, du bagne et des marins Visitent ma cellule où me roule et m’étreint Le spectre d’un tueur à la lourde braguette.
@kucam12mischablue8 жыл бұрын
La chanson qui traverse un monde ténébreux C’est le cri d’un marlou porté par ta musique, C’est le chant d’un pendu raidi comme une trique. C’est l’appel enchanté d’un voleur amoureux. Un dormeur de seize ans appelle des bouées Que nul marin ne lance au dormeur affolé. Un enfant reste droit, contre le mur collé. Un autre dort bouclé dans ses jambes nouées. J’ai tué pour les yeux bleus d’un bel indifférent Qui jamais ne comprit mon amour contenue, Dans sa gondole noire une amante inconnue, Belle comme un navire et morte en m’adorant. Toi quand tu seras prêt, en arme pour le crime, Masqué de cruauté, casqué de cheveux blonds, Sur la cadence folle et brève des violons Égorge une rentière en amour pour ta frime. Apparaîtra sur terre un chevalier de fer Impassible et cruel, visible malgré l’heure Dans le geste imprécis d’une vieille qui pleure. Ne tremble pas surtout devant son regard clair. Cette apparition vient du ciel redoutable Des crimes de l’amour. Enfant des profondeurs Il naîtra de son corps d’étonnantes splendeurs, Du foutre parfumé de sa queue adorable. Rocher de granit noir sur le tapis de laine, Une main sur sa hanche, écoute-le marcher. Marche vers le soleil de son corps sans péché. Et t’allonge tranquille au bord de sa fontaine. Chaque fête du sang délègue un beau garçon Pour soutenir l’enfant dans sa première épreuve. Apaise ta frayeur et ton angoisse neuve. Suce mon membre dur comme on suce un glaçon. Mordille tendrement le paf qui bat ta joue, Baise ma queue enflée, enfonce dans ton cou Le paquet de ma bite avalé d’un seul coup. Étrangle-toi d’amour, dégorge, et fais ta moue ! Adore à deux genoux, comme un poteau sacré, Mon torse tatoué, adore jusqu’aux larmes Mon sexe qui se rompt, te frappe mieux qu’une arme, Adore mon bâton qui va te pénétrer. Il bondit sur tes yeux ; il enfile ton âme, Penche un peu la tête et le vois se dresser. L’apercevant si noble et si propre au baiser Tu t’inclines très bas en lui disant: «Madame!» Madame écoutez-moi ! Madame on meurt ici ! Le manoir est hanté ! La prison vole et tremble ! Au secours, nous bougeons ! Emportez-nous ensemble, Dans votre chambre au ciel, Dame de la merci ! Appelez le soleil, qu’il vienne et me console. Étranglez tous ces coqs ! Endormez le bourreau ! Le jour sourit mauvais derrière mon carreau. La prison pour mourir est une fade école. … Sur mon cou sans armure et sans haine, mon cou Que ma main plus légère et grave qu’une veuve Effleure sous mon col, sans que ton cœur s’émeuve, Laisse tes dents poser leur sourire de loup. Ô viens mon beau soleil, ô viens ma nuit d’Espagne, Arrive dans mes yeux qui seront morts demain. Arrive, ouvre ma porte, apporte-moi ta main, Mène-moi loin d’ici battre notre campagne. Le ciel peut s’éveiller, les étoiles fleurir, Ni les fleurs soupirer, et des prés l’herbe noire Accueillir la rosée où le matin va boire, Le clocher peut sonner : moi seul je vais mourir. Ô viens mon ciel de rose, ô ma corbeille blonde ! Visite dans sa nuit ton condamné à mort. Arrache-toi la chair, tue, escalade, mords, Mais viens ! Pose ta joue contre ma tête ronde. Nous n’avions pas fini de nous parler d’amour. Nous n’avions pas fini de fumer nos gitanes. On peut se demander pourquoi les Cours condamnent Un assassin si beau qu’il fait pâlir le jour. Amour viens sur ma bouche ! Amour ouvre tes portes ! Traverse les couloirs, descends, marche léger, Vole dans l’escalier plus souple qu’un berger, Plus soutenu par l’air qu’un vol de feuilles mortes. Ô traverse les murs ; s’il le faut marche au bord Des toits, des océans ; couvre-toi de lumière, Use de la menace, use de la prière, Mais viens, ô ma frégate, une heure avant ma mort. Les Assassins du mur s’enveloppent d’aurore Dans ma cellule ouverte au chant des hauts sapins, Qui la berce, accrochée à des cordages fins Noués par des marins que le clair matin dore. Qui grava dans le plâtre une Rose des Vents ? Qui songe à ma maison, du fond de sa Hongrie ? Quel enfant s’est roulé sur ma paille pourrie À l’instant du réveil d’amis se souvenant ? Divague ma Folie, enfante pour ma joie Un consolant enfer peuplé de beaux soldats, Nus jusqu’à la ceinture, et des frocs résédas Tire ces lourdes fleurs dont l’odeur me foudroie. Arrache on ne sait d’où les gestes les plus fous. Dérobe des enfants, invente des tortures, Mutile la Beauté, travaille les figures, Et donne la Guyane aux gars pour rendez-vous. Ô mon vieux Maroni, ô Cayenne la douce ! Je vois les corps penchés de quinze à vingt fagots Autour du mino blond qui fume les mégots Crachés par les gardiens dans les fleurs et la mousse. Un clop mouillé suffit à nous désoler tous. Dressé seul au-dessus des rigides fougères Le plus jeune est posé sur ses hanches légères Immobile, attendant d’être sacré l’époux. Et les vieux assassins se pressant pour le rite Accroupis dans le soir tirent d’un bâton sec Un peu de feu que vole, actif, le petit mec Plus émouvant et pur qu’une émouvante bite. Le bandit le plus dur, dans ses muscles polis Se courbe de respect devant ce gamin frêle. Monte la lune au ciel. S’apaise une querelle. Bougent du drapeau noir les mystérieux plis. T’enveloppent si fin, tes gestes de dentelle ! Une épaule appuyée au palmier rougissant Tu fumes. La fumée en ta gorge descend Tandis que les bagnards, en danse solennelle, Graves, silencieux, à tour de rôle, enfant, Vont prendre sur ta bouche une goutte embaumée, Une goutte, pas deux, de la ronde fumée Que leur coule ta langue. Ô frangin triomphant, Divinité terrible, invisible et méchante, Tu restes impassible, aigu, de clair métal, Attentif à toi seul, distributeur fatal Enlevé sur le fil de ton hamac qui chante.
@kucam12mischablue8 жыл бұрын
J’ai dédié ce poème à la mémoire de mon ami Maurice Pilorge Dont le corps et le visage radieux hantent mes nuits sans sommeil. En esprit je revis avec lui les quarante derniers jours qu’il passa, Les chaînes aux pieds et parfois aux poignets, Dans la cellule des condamnés à mort de la prison de Saint-Brieuc. Les journaux manquent d’à-propos. Ils conçurent d’imbéciles articles pour illustrer sa mort qui coïncidait avec l’entrée en fonction du bourreau Desfourneaux. Commentant l’attitude de Maurice devant la mort, Le journal l’Œuvre dit : «Que cet enfant eût été digne d’un autre destin». Bref on le ravala. Pour moi, qui l’ai connu et qui l’ai aimé, je veux ici, Le plus doucement possible, tendrement, Affirmer qu’il fut digne, par la double et unique splendeur de son âme et de son corps, D’avoir le bénéfice d’une belle mort. Chaque matin, quand j’allais, grâce à la complicité D’un gardien ensorcelé par sa beauté, Sa jeunesse et son agonie d’Apollon, De ma cellule à la sienne, Pour lui porter quelques cigarettes, Levé tôt il fredonnait et me saluait ainsi, en souriant : «Salut, Jeannot-du-Matin!» Originaire du Puy-de-Dôme, Il avait un peu l’accent d’Auvergne. Les jurés, offensés par tant de grâce, Stupides mais pourtant prestigieux dans leur rôle de Parques, Le condamnèrent à vingt ans de travaux forcés pour cambriolage de villas sur la côte Et le lendemain, parce qu’il avait tué son amant Escudero pour lui voler moins de mille francs, Cette même cour d’assises condamnait mon ami Maurice Pilorge à avoir la tête tranchée. Il fut exécuté le 17 mars 1939 à Saint-Brieuc.
@Zambanawak7 жыл бұрын
merci :)
@nicolaselie72837 жыл бұрын
Merci !!!
@cestbim-bim34903 жыл бұрын
@@kucam12mischablue merci 👍
@jean-pierrechoquet29098 ай бұрын
Magnifique !!!!!
@monsieurpelureetdemilune7 ай бұрын
Merci Monsieur
@tamaranicot19023 жыл бұрын
tres tres beau
@cornturkey1 Жыл бұрын
Magnifique...
@antoinejacquet5236 жыл бұрын
merci la relève , superbe !
@Henri-tj8pt2 ай бұрын
T’étais là pour tout l’monde et qu’tout l’monde étais là. Votre enfer ne me consolera pas.
@manudavid18257 жыл бұрын
C'est somptueux
@olivierblain53546 жыл бұрын
;;;;;
@michegou.47542 жыл бұрын
Grand ! grand !!!! merci !
@kuulh5737 жыл бұрын
Monstrueux
@lionelmeuret14383 жыл бұрын
monstrueusement beau
@matthiouskaar2 жыл бұрын
merci
@estelletaillade80232 жыл бұрын
Une voix telle que Brel...
@ferpuello84769 жыл бұрын
Hermoso escuchar los poemas de Genet
@thierrybora84955 жыл бұрын
magnifique !!
@tamaranicot19023 жыл бұрын
très beau
@freddillon93726 жыл бұрын
bien les tête raide sont uniques ils sont leurs propres arts
@didierroger18433 жыл бұрын
magnifique interprétation
@plasticien007 Жыл бұрын
Genet est un auteur étonnant, très bel arrangement
J'adore Têtes Raides ! j'adore la poésie de ce texte, je regrette néanmoins le sexisme et masculinisme ! Nous les femmes avons aussi des besoins hors guillotine, des comparaisons, emphases et mieux des métaphores qui n'ont pas besoin de brandir une trique pour exister ou se battre ! Ma grand-mère condamnée injustemement en 1945, n'aurait pas aimée la métaphore de la corde, ni celle de la trique ! Rasée, elle a même perdu votre seule virilité ! Le POIL ! à réflechir !
@cornelius868 Жыл бұрын
My preferred interpretation still is by Marc Ogeret.
@laurentballandras32216 жыл бұрын
cela me parle
@yvanlasquellec17933 жыл бұрын
Brel et Brassens serai là il il tape le dirai avec 👏👏👏👏👏🤫✊🏴☠️🏴
@jeanphilipperameau73504 жыл бұрын
somptueux
@bioaral69755 жыл бұрын
un diamant qui ment pas
@PapaPootOs6 жыл бұрын
Bonjour monsieur brûlant ses Alexis Cochet 😂😂😂
@djplushusprojectАй бұрын
Quel mot(s) pour décrire la vraie poésie ?
@antoinejacquet17154 жыл бұрын
à part quelques uns vous avez des pseudos (je ne vous en veut pas). Mais mettre son vrai nom est une façon de se révolter. ne changez rien, tout cela est normal mais un jour découvrez-vous ! C'est comme ça que nous gagnerons.
@Atractosteutis4 жыл бұрын
Alors là on n'a pas du tout le même point de vue ! Tu crois que t'es rebelle parce que tu mets ton vrai nom mais tu livres a Google et aux multinationales toutes tes datas gratuitement, données qu'elles pourront rentabiliser et revendre sans ton autorisation a des milliers d'intervenants... Tu te laisses surveiller en masse. Les vrais rebelles sont ceux qui réussissent a ne pas se faire surveiller en ligne et qui refusent de laisser leurs données a ces charognards. S'engager au grand jour avec son nom propre dans la vie réelle c'est une autre chose et là je te rejoins. Bien a toi
@myriamm.48043 жыл бұрын
Qui nous?
@lucmartin2384 Жыл бұрын
Je pense qu'un pseudo n'est malheureusement pas beaucoup plus protecteur
@ninobourdaret9551 Жыл бұрын
St Brieuc, là où je suis né.
@rougesilence23048 жыл бұрын
Peau de vie.
@tonerdebresse4 жыл бұрын
Poe, de l'air?
@monsieurpelureetdemilune7 ай бұрын
Õ revoir
@17lio4 жыл бұрын
Bah l'apologie du chibre oigneur , turgescent à souhait, ça vaut bien mieux que les niaiseries de Ronsard qui ne pensait qu'à une chose en entraînant la mignonne voir la rose. Fallait pas qu'elle se penche trop la drôlesse connaissait pas le coup de la savonnette.
@pourquoipas39414 жыл бұрын
😂
@myriamm.48043 жыл бұрын
Il u avait aussi du temps de Ronsard des poèmes érotiques et crûs mais il faut chercher...
@Tigerchaton8 ай бұрын
putain j'ai foiré l'algorithme !
@lakorias38222 жыл бұрын
Merci j'avais ma façon de t'aimer ma couille
@Henri-tj8pt2 ай бұрын
---\ ---\ ---\ Passé Présent. Avenir Cot cot Mais j’allais dire déjà !
@Charlikke5 жыл бұрын
Quel autre texte si ténébreusement poétique écrit au 20e siècle ? Genet est le fils de Baudelaire.
@nielad2992 жыл бұрын
Un des sommets de la poésie, assurément.
@borischristophe92383 жыл бұрын
Il est parfois que l'homme me réconcilie avec mes alters égo, égaux' égaux... go, gogos répond l'écho, et naturellement moi-même, difficile ... Il est, nul doute, des misères actuelles, pourquoi faudrait il imposer à ses semblables...
@monsieurpelureetdemilune7 ай бұрын
J'accède à tes jardins .... Ne soit pas rigoureux laisse chanter mâtine pardonner moi mon dieu puisque j'ai péché et j'espère des nuits sans sommeil ..
@user-je2uw2gq5w7 ай бұрын
Incroyable... quel texte de jeunet et qu'elle interprétation des Têtes raides HALLUCINANT
@Henri-tj8pt2 ай бұрын
La musique toujours comme une clope, allez ce n’est pas la famine
@monsieurpelureetdemilune7 ай бұрын
Comme les SS
@trashfkd51823 жыл бұрын
on enntend rien
@nicoben8456 Жыл бұрын
Le vent qui roule un cœur sur le pavé des cours, Un ange qui sanglote accroché dans un arbre, La colonne d'azur qu'entortille le marbre Font ouvrir dans ma nuit des portes de secours. Un pauvre oiseau qui meurt et le goût de la cendre, Le souvenir d'un œil endormi sur le mur, Et ce poing douloureux qui menace l'azur Font au creux de ma main ton visage descendre. Ce visage plus dur et plus léger qu'un masque, Et plus lourd à ma main qu'aux doigts du recéleur Le joyau qu'il empoche; il est noyé de pleurs. Il est sombre et féroce, un bouquet vert le casque. Ton visage est sévère: il est d'un pâtre grec. Il reste frémissant au creux de mes mains closes. Ta bouche est d'une morte où tes yeux sont des roses, Et ton nez d'un archange est peut-être le bec.