" Imaginez que votre interlocuteur soit connecté à toute la connaissance humaine " ça s'appel Chat GPT juste qu'il n'a pas de corps pour l'instant et qu'il faudrait le brancher à une interface vocale.

Vous avez raison mais ça va encore beaucoup plus loin. Connection, surveillance, sécurité j'ai penser à cela de nombreuses fois comme beaucoup d'autre avec cette différence que je suis du milieu de l'industrie, chantier, atelier et que donc ma vision d'un robot serait plus celle d'un mini char d'assaut genre Wall-e 😅 Car tous les "robonouné" 🤖 que j'ai vue à domicile sont juste des farces qui ressemble à des jouets 🤭 Pour être sincère j'avais inscrit cela dans une pensée de robot porte outil en chantier 😜 A y être.... 6,7,8 étage sans ascenseur avec des sauts d'outils, des rallonges, des escabeau plein les bras ce robot ferai du bien à son homme !!

@@Quiwi707 c’est chou la référence à Wall-E. Je partage en grande partie votre positon. Ce qui me gêne dans les grandes lignes, dans les propos entendus / déjà échangés sur le sujet (pas avec vous en l’occurrence), c’est une persistance à lire et projeter les événements de manière sombre. Bien qu’usant moi-même du stratagème de dresser des « Black sceneries » (afin d’imaginer des possibilités, pour réfléchir, retourner une question dans tout les sens, voire se préparer aux maximums de probabilités), je pense qu’il s’agit premièrement de mettre en avant les débouchés civils, constructifs de liens sociaux et d’aide aux personnes. Ensuite, comme garde-fou, il est bien évidemment nécessaire et crucial de reprendre l’angle des protections contre des abus, les risques que toute découverte/technologie porte par ce qu’elle est et ouvre comme pans de nouvelles réalités. Le fait de pouvoir en discuter publiquement est à ce titre essentiel et protecteur. Non seulement, il s’agit de permettre à tout un chacun de comprendre les enjeux, mais aussi de pouvoir s’emparer du sujet et prendre position. Mes propos ne sont pas que théoriques. L’idée étant toujours qu’il vaut mieux discuter le plus ouvertement possible de thématiques sensibles, afin aussi de couper court aux spéculations en tout genre. Nous avons encore pu expérimenter les envolées émotionnelles avec le COVid il y a peu. Ce fut intéressant avec le recul - dans le sens que cet événement a surligné combien nous étions tous plus ou moins facilement embarqué dans et par des vagues émotionnelles singulières et collectives. C’est du capital expérience et un bel exemple de réfléchir à comment nous réfléchissons. Nous avons ces 20 dernières années pu apprendre beaucoup des Nouvelles technologies de l’information, des développements des technologies: sur elles, sur notre rapport a elles et sur nous .... :-) Nous ne pouvions pas prévoir tous les bouleversements qu’elles ont amenés et vont encore produire. Néanmoins, nous avons surtout beaucoup projeté de fantasmes, ce qui a aussi nourri ceux des scénaristes de SF, et nous avons pu aussi nous familiariser avec ces nouvelles réalités. En raison de ces quelques éléments, qui demanderaient à davantage être creusés et développés, je suis en faveur d’un développement technologique bénéficiant à l’humain et à son bien-être. Je pense que c’est possible. Dans tous les cas, ne nous empêchons pas d’y réfléchir. Ce ne sont pas les découvertes et la technologie le problème: c’est toujours ce que nous en faisons qui peut ou ne pas poser problème. Voire, et c’est ce qui est souhaitable, apporter des solutions et ainsi résoudre lesdits problèmes. On peut aussi réfléchir à comment acquérir des compétences d’utilisation et comment développer des fonctionnalités par l’utilisation (au sens de la praxis)., etc., et à partir de la pratique réfléchir au cadre juridique à poser ... c’est très ouvert en fait.

C est exactement l inverse : les pays les plus avancés en matière de robotique / automatisation sont aussi ceux où le taux de chômage est le,plus faible : Corée , Japon, Allemagne et USA.