I’ve been a fan since 1972 and their musicianship is still top notch. It appears MM is struggling vocally after all these years and changing cadence and structure isn’t helping, unfortunately. But, I’ll give him the benefit of doubt as maybe his voice is tired after almost nightly shows.

I was there amazing show they still got it!

Happy Fourth of July?

Did anyone else find out about this song because of Gex?

Fourth of July has a different meaning for some. It was a sad day for me

Horrible show, sound mix was way off. Muddy, weak, poorly mixed. Robert Cray on the other hand had great full rich sound. Very disappointed with the Doobie Brothers.

Awesome Concert. 🎶🎸🎵

Their voices are still absolutely unreal...

Man...they can still harmonize really well. 👍🏼

Rockin John Henry from Tulsa is responsible for my knowledge of our neighbor Jerry Lynn. Very sad to see these mostly unknown Okie icons gone.

My fav LB song!!

Sending me Angel's saw me through many dark days after my daughter's death. I played it on replay for hours. 😢

Dark Disco? Egal...Jedenfalls Musik für die Ewigkeit.

Jesus Christ about last night John Squire I knew you were right 😉

Noel Gallagher liked this CD

Liam sounding strong here. 😎

I must be missing something.......I'm glad,. Same old recycled boring crap saying noting at all, thanks for posting

First one a great performance outstanding in London tonight.

Pretty sure I heard this in a sopranos episode. But it was without the lyrics. Great song

I did this song with my band and always thought Delbert McClinton wrote it. A little more research as I am putting it back in the repertoire led me here and to knowing about Jerry Lynn Williams. Blown away.

What a writer outta control

He was so good

I listen to this song on every U.S. Independence Day without fail. It's great!

That was such an amazing show. I was hugging the stage over to the left after leaving my seat. Roger Powell was sitting a bit to my right, sidelined by arthritis. As AWATS wrapped up he sat there, gently conducting the end to himself, slightly waving his arms. Amazing and sad.

Wonder why this was so short. Did he run out of ideas or something?

Couldn’t find anything to watch on Prime. Got weirdly hooked on watching Veronica Mars. Had never heard of Veronica Mars or this song before watching the series. Loved both. Just shows, sometimes it’s worth taking a punt on something. As it might just pay off.

The Lone Ranger. Jerry Lynn Williams est un nom familier dans la communauté professionnelle de l'industrie du rock ; il l'est beaucoup moins dans l'esprit du public en général. Les fidèles d'Eric Clapton n'ignorent pas cependant que le texan de Dallas a contribué, à sa manière, à relancer la carrière, alors en déclin au début des 80's, du guitariste anglais. Passé de Polydor (Universal) à Warner Bros, Clapton signe un décevant Money And Cigarettes (février 1983), alors qu'il sort d'une première cure de désintoxication à l'alcool et que sa relation avec Patti Boyd a du plomb dans l'aile. Pour la première fois en six ans, un album d'Eric n'intègre pas le top 10 des charts et ne se couvre pas d'or. Le nouveau label réagit aussitôt à cet échec commercial en confiant la production de l'opus à venir, Behind The Sun, à Phil Collins (sous la direction de Lenny Waronker et Ted Templeman), en exigeant de mettre l'accent sur de nouvelles chansons et en impliquant d'autres musiciens, des pointures de session californiennes, en l’occurrence. Steve Lukather, Donald Dunn, Lindsey Buckingham, James Newton Howard, Jeff Porcaro ou encore Lenny Castro, pour n'en reprendre que quelques-uns, pointent aux sessions d'enregistrement de Behind The Sun. Le guitar-hero se soumet à l'analyse critique de la situation, accepte le deal et se tourne vers un auteur-compositeur texan dont on dit le plus grand bien et dont on lui a soufflé le nom à l'oreille, Jerry Lynn Williams. Le talentueux songwriter texan alimente Behing The Sun de trois titres, à savoir Forever Man (Top 40), Something's Happening et See What Love Can Do. Clapton et Williams amorcent une collaboration qui sera reconduite en 1989 avec Pretending, Anything For Your Love, Breaking Point, No Alibis et Running On Faith (album Journeyman). La force de l'écriture de Williams contribue à la réussite de ce disque certifié or et platine, N°2 des classements d'albums britanniques, à la porte du top 15 chez l'Oncle Sam. Running On Faith est également repris dans une version acoustique sur le live Unplugged, multi grammy awards (album et chanteur de l'année 92, chanson Tears In Heaven). Le respect du milieu. Impliqué avec la même efficacité auprès de Bonnie Raitt (Real Man et I Will Not Be Denied - album Nick Of Time/1989), pour moitié des titres de King Of The Blues (1989) de B.B. King, Jerry Lynn Williams, auteur-compositeur inconnu le plus titré du rock et du R&B, pointe également au catalogue des, ou est repris, par les Nicky Hopkins (Dolly, Speed On, Banana Anna, Shout It Out), Robert Plant (Walking Towards Paradise), Vaughan Brothers (Tick Tock). Ronnie Wood (Worry No More), Chris Farlowe (Sending Me Angels, Givin' It Up For Your Love), Bobby Womack (I Wanna Make Love To You), Doobie Brothers (Is Love Enough, Our Love, Excited), John Mayall (Nothing To Do With Love), Dave Mason (Searchin' For A Feeling, All Gotta Go Sometime, So Good To Be Home, No Doubt About It), Joe Bonamassa (Pretending) ont également fait appel à ses compétences. On pourrait également citer Delbert McClinton et Cint Black. Si son parcours dans l'écriture lui vaut le respect de la profession, Jerry Lynn Williams n'a jamais fait les gros titres pour ce qui concerne l'autre facette de sa carrière, l'interprétation. Une carrière personnelle sacrifiée ? Malgré quatre albums blues-rock de grande qualité (Jerry Williams, Gone, The Peacemaker et Down Home Boy) par lequel il dévoile de belles dispositions de guitariste et des compétences indéniables au chant, son travail solo n'est pas couronné du succès auquel il aurait dû prétendre, son talent pour l'écriture éclipsant même ses propres enregistrements. En privilégiant obsessionnellement les autres et en n'étant pas spécialement en phase avec le système régissant le milieu du disque, il fait le choix de rester dans l'ombre jusqu'à la fin de sa vie. Celle-ci s'achève deux ans après s'être retiré dans les Antilles (Saint-Martin) en 2003. En mauvaise santé depuis quelques années, il y décède à 57 ans d'une insuffisance rénale et hépatique (25 novembre 2005)... Venu au monde le 30 octobre 1948 dans la banlieue de Dallas (Grand Prairie), Jerry Lynn passe son enfance dans la cité voisine de Fort Worth où il y apprend la pratique du piano. Il a alors pour précepteur la femme du pasteur de l'église locale. Les Epics pour se faire la main. Peu après ses 10 ans, l'enfant Jerry reçoit une guitare en cadeau ; son rapport avec l'instrument et la passion qu'il voue à Jimmy Reed (il lui apprend quelques accords) renforcent un peu plus son attrait pour la musique mais, dans le même temps, l'éloignent définitivement de l'école qu'il quitte à 14 ans. L'unique motivation de l'ado Jerry Lynn est de fonder un premier groupe, signe que sa détermination à faire de cette voie musicale son avenir est définitivement tranché. Les Epics (un single, Tell Me What You See sur le label Brownfield Records/1964) tournent dans les clubs et bars de la région et Jerry n'hésite pas à mentir sur son âge pour ne pas s'attirer des ennuis. Au milieu des années 60, il enfume Little Richard qui le pense plus âgé au moment de le recruter au sein des Upsetters comme second guitariste et emberlificote le guitariste principal de la formation chargé de lui apprendre les chansons du répertoire, un certain Jimmy James. Jimi Hendrix est, à cette époque, un intermittent du groupe. Quand, au bout de neuf mois, le pianiste américain s'aperçoit du subterfuge, Jerry est remis aux mains des autorités et renvoyé manu militari dans le Texas. Sans tarder, il réunit un groupe de musiciens (Top Beats) et, marié et père de famille, part sur la route déterminé à s'imposer pour nourrir son foyer. Un premier LP déjà convaincant. A la fin des 60's, le mouvement hippie le pousse à déménager en Californie où il crée un groupe de blues psychédélique qui prend des identités différentes, à savoir High Mountain, abandonné pour des raisons juridiques, The Jerry Williams Group (pour la réédition de Canyon appelée Down Home Boy), High Mountain Hoedown (2 albums : Canyon/1970 et un éponyme/1971). Quand l'expérience collective s'achève, il décroche un contrat avec le label Spindizzy Records (1971/1973), co-fondé par David Briggs (producteur de Neil Young et Crazy Horse) et distribué par CBS. Un premier album est publié en 1972 qui tient toutes ses promesses et suscite beaucoup d'émotions. Éponyme, celui-ci ne touche pas sa cible et l'artiste, bien que novice dans le métier, n'est pas homme à se laisser marcher sur les pieds. Il sent bien qu'on l'exploite et tourne le dos à ce milieu, préférant retourner dans son Texas natal traire les vaches pour payer ses factures. Comme il n'y a pas de suite immédiate et qu'il disparaît pour se contenter d'allers-et-retours entre Dallas et Los Angeles, son travail reste sans effets. Et pourtant, quel album ! Gone : même combat. Williams s'engage alors avec Warner Bros. pour préparer un deuxième LP, Gone. Alors qu'il en déjà bien entamé, une brouille l'oppose au label qui reporte la sortie du projet à plus tard. Seules des copies promotionnelles sont envoyées à la presse. La relation avec le label n'est pas loin de se terminer en drame... Pour Gone, c'est encore raté. Et pourtant, l'album (sa deuxième version publiée en 1979) porte en lui les germes d'un grand disque... Grand disque, grande écriture, Jerry Lynn Williams n'a, fort heureusement, pas mis tous ses œufs dans le même panier. Auteur prolifique, son songwriting généreux sensibilise ses pairs qui font leur marché dans le catalogue du texan, qui pour relancer une carrière, qui pour boucler un projet, qui par conviction de détenir un titre puissant ou un potentiel succès. Malgré les échecs personnels, celui que l'on appelait Song Doctor remet sans rechigner l'ouvrage sur le métier, mais sur son propre label, Urge. Il signe, en 1996 (soit 16 ans après Gone), un sublime The Peacemaker, porté par un non moins remarquable Sending Me Angels. La distribution par ses propres soins compliquant un peu plus les choses, le disque passe carrément sus les radars. Et pourtant... Quand Clapton fait de Forever Man (1985/Behind The Sun) son meilleur travail depuis des années, un N°1 du Billboard Top Rock Tracks et l'écoule à plus de 500.000 exemplaires, son auteur Jerry Lynn Williams - retenez bien ce nom ! - est enfin payé en retour. Et ce n'est que justice... Depuis sa disparition, le rock pleure un grand musicien, un auteur-compositeur exceptionnel, un chanteur phénoménal, son entourage professionnel et familial un être unique, adorable mais parfois si entêté et complexe. Sa musique venait du Paradis, se plaisait-il à dire. Au regard de l'héritage qu'il a laissé, on le croit on pourrait en effet le supposer (RAZOR©08/2023) A découvrir sur facebook.com/rockenvrac

I knew Jerry when he was working on his Peacemaker album...remember sitting around the campfire next to his waterfall in Oklahoma and he pulled out a tape of Sending Me Angels that he just finished recording...loved it from the first time I heard it!

I saw them at King’s College London during a semester abroad and always remembered this song. I’m playing random songs that I always liked but never best for 23-year old daughter.

Cigrette - Lyrics - Smoked my last cigarette, sat in bed for a while. - Thought of your face, and that brought me a smile. - Wanted another one. - Fell back asleep, instead. - Woke and found you sitting there on the bed. - Cigarette, cigarette, - Burning up time. - Cigarette, cigarette, - Watch the smoke climb. - Cigarette, cigarette, - Wasting away. - Just like this cigarette, our time is running down. - Only one hour til you're leaving this town. - Went to the corner store, bought us another pack. - Held my arm around you as we headed back. - I tried to change your mind. - Didn't want you to go. - I want you more, it seems, than you could ever know. - Cigarette, cigarette, - Burning up time. - Cigarette, cigarette, - Watch the smoke climb. - Cigarette, cigarette, - Wasting away. - Just like this cigarette, our time is running down. - Only one hour til you're leaving this town. - Smoked my last cigarette, sat in bed for a while. - Thought of your face, and that brought me a smile. - - - - Songwriters: Pat Dinizio - Cigrette lyrics © Concord - Music Publishing LLC, Universal - Music Publishing Group

BLASTERS ! Thank you X .

Happy Independence Day, great song for the 4th of July.

I like the way Pat is musically directing throughout the entire song 🎵

I'm playing bass on this song.

Light out of darkness. Sometimes that's all you can do. Something called life, I heard once. 🌹🌹🌹❤

fell to sleep . . . inside of #37 . . . and was dreaming . . . of being ihigh in the saddle, a cowboy, riding high looking over a running bunch . . .

VM era <3

Just awesome

Pat's voice is a good fit for this one. Sounds cool

great tempo IMO

This will always be ma jammeram.🙃🤭😹

"Especially For You" was such an uncool album title. But what a great album!

💥✨🌙🦠🌠

Vito Spatafore the antiques dealer

Is there a public domain. .music or lyrics or image For deceased ?

they were 30 years ahead of their time

Love this so much

It's a direct steal from You've got to hide your love away. I love it, but it's so obvious.

i’m front row.. Sausilito art festival

I don't know if The Left Banke ever heard this but I heard that Tom Sholtz said walk away Renee was an inspiration when he wrote more than a feeling, don't know for sure if that's true but I heard that a while ago