C'est un point de faiblesse ces barres surtout sur une longue navigation , sur un First 28 tombé en panne dans traversée Golfe de Gascogne , le temps assez chargé , donc heureusement nous étions deux pour barrer , réparation à la Corogne , mais est tombé en panne de nouveau avant de rejoindre notre destination de Fuegirola .

Il y a le mopelia ior en quille relevable qui marche très bien ....

Un voilier a quille relevable, très performant, le mopelia ior, 8.5 mètres 0, 85 cm a 1.70 de tirant d eau. La quille peut être mise a plusieurs profondeur : 1.10. 1.25 1.40 1.55 ....

Un jouet 27 acheté défraîchi, un jeu de voile usagées, un Rc 12d et basta.. En 3 ans : (pas d osmose déclarée).. Séché +de 6 mois, 12 couches de brai epoxy, peinture œuvres mortes, remplacé haubans, galhaubans, pataras , bas haubans installé faux étais. Guindeau elec. 2 batteries de demarrage+2 batteries décharge lente, panneau solaire 1300w sur portique AR. Large plage AR+ échelle. Pompe de cale +manuelle. Remotorisé à neuf Mitsubishi 16cv.helice 13x9, arbre de 25. .installation électrique refaite (tout aux normes) tableau à disjoncteurs. Chauffage gasoil Refleks, réservoir 100l. Vhf, girouette anemo. GPS portable. Britany 11kg, 35m chaîne 8mm, 30m cablot 14mm. 2e ancre CQR 10KG. GV installé 3 bandes de ris. Foc 2 bandes de ris. Hâle bas de bôme rigide. Drisses ramenées au cockpit, . Winch double vitesse (d occas). Rail d écoute de GV ramené à l AR sur un barreau inox ep 25mm pour dégager la descente.. TOUT FAIT self home made, débarquement moteur, réinstallé, realignement, modifs des supports... Vécu 25 ans à bord, du 17 nœuds au surf par force 5/6, rafale 7..Excellent comportement, facile à mener, vif, réactif.. Sauf sa lenteur dans le petit temps, lui fallait bien un defaut.....réglage statique et dynamique des haubans... J ai été le plus heureux.... Pour quelque un qui ne connaissait rien à la voile 😂😂😂😂.. Qui avait une trouille bleue de la mer, (transformée en sécurité) qui n a appris à nager que vers ses 16 ans.. 😂😂😂😂. Sauf que les antécédents étaient là tout de même, quand on a passé tte son enfance 3mois de vacances sur les plages sauvages d Afrique, allongé sur une couvrante à s endormir le regard dans les étoiles et le doux murmure du ressac sur la plage, ça vous marqué à vie...ce qui deboucha inévitablement par 16 mois d' embarquement sur un 40m, un rouleur à cracher les tripes.. Faut rajouter tout un tas de formations diplomantes en mécanique générale, électricité, électronique et radio... Tout ça non pas pour s envoyer des fleurs, mais pour dire qu' on n arrive pas la, la gueule enfarinee, faut être méthodique, observateur, apprendre à prendre son temps , à réfléchir, à se former avec patience, même en autodidacte... En Mongolie les enfants de 5 ans savent mieux monter à cheval et sans selle que les cadets de Saumur... Une autre philosophie... que celle des européens dont on constate par ailleurs ou cela nous mène, mais c est un autre débat.. 😅 Bon vent..

20:24 bonjour ! Le plan anti dérive n'a-t-il pas aussi un effet stabilisateur qui réduit un peu la force anti dérive (qui vient faire une sorte de croche pied) ? En considérant que le bateau ne dérive pas, si je pousse sur les voile, le bateau bascule et, en remontant, le plan anti dérive s'appuie sur l'eau ... Merci beaucoup !!

il fallait forcement que l acheteur soit parisien

Pour revenir à la QUILLE relevable, il ne faut pas perdre de vue 2 choses: la quille doit impérativement être bloquée en position par un système extrêmement robuste de façon qu'en cas de chavirage, elle ne rentre en aucun cas, ce qui serait catastrophique (elle défoncerait le bateau et si ce dernier résiste, il ne se redressera plus...), l'autre c'est qu'il ne faut JAMAIS naviguer quille relevée même partiellement, excepté par exemple pour rentrer au moteur ou sur faible voilure et par temps calme dans un mouillage ou un lagon car quille rentrée, la stabilité est faible voir très faible sur les bateaux de performance a voile profond et lest torpille...

Je viens de commencer à regarder vos vidéos. Celle sur la longueur était très claire et parfaitement "neutre". Ne changez rien 😊

Bonjour, merci pour ces explications. Peut-être que les bateaux à dérives relevables sont avantageux pour les plaisanciers qui passent 3 mois par années aux Bahamas, là où la navigation doit se faire à vue à cause des hauts fonds presque partout. Surtout quand on navigue seul et qu'on a pas de vigie a la proue .... A part cela, pas beaucoup d'avantages on dirait bien, en plus que ça encombre le carré ?

Le choix d'un bateau de voyage dépend de son programme, de ses préférences et surtout ...de son budget: Yann Quenet a prouvé qu'on peut le faire avec un 4m avec un budget ultra serré! mais en prenant son temps et en évitant les mers trop dures, Bardiaux a prouvé qu'il pouvait aller partout et dans les pires conditions avec un 9m et dans "le mauvais sens" en passant les caps du grand Sud...perso, je pense que la taille minimale "raisonnablement confortable" pour un solitaire ou à 2 c'est un 7m avec une coque Scow (ce serait mon choix, de préférence en cat boat à mat autoporteur ou un 9m Sloop classique qui sera plus efficace au près, le volume utile étant similaire dans les 2 cas, après, il y a un autre paramètre, qui influe tant sur le confort que sur les performances, c'est le déplacement: un Scow marchera mieux s'il est à déplacement plutôt léger donc en aluminium semi épais, ou en contre plaqué ou en lamellé collé ou en sandwich/epoxy protégé extérieur du poinçonnement avec de la fibre de verre...Pour une coque classique on peut opter pour un déplacement plus lourd...Plus grand est plus confortable, c'est indéniable, MAIS TOUT est beaucoup plus cher et beaucoup plus dur à manoeuvrer seul ou en équipage "léger", et en cas d'incident, on arrive plus aisément à se sortir d'affaire tout seul avec un déplacement léger maniable, qu'avec un bateau de plus de 10 tonnes...

Très bon exposé. Important la différence sur l'effet "croche pied" au portant dans la houle. Sur un dériveur, le pilote auto dans ce contexte là gère aussi mieux sur un dériveur. Navigant en Manche, j'ai fait le chemin inverse (quillard 1,80m tirant d'eau => dériveur "intégral" 1m dérive relevée), et ça change beaucoup de possibilités dans ce contexte particulier. C'est un dériveur intégral un peu particulier (Neptune 99), le leste étant dans un bulbe formé sous la coque dans la longueur, et la dérive étant de type sabre et un peu lestée, en résine/fibre de verre en forme hydrodynamique (pas un simple bout de tôle). Bref c'est très acceptable au près, mais au prix d'un encombrement important dans l'habitacle, et un comportement général de type "quille longue" (grand rayon de giration). Je rajouterais qu'un des défauts de pas mal de croiseurs dériveurs est leur faible maniabilité à basse vitesse, liée à une vitesse de décrochage du plan anti dérive assez élevée à cause de sa plus faible efficacité et surface que sur un quillard (en général). Bref, un programme, un bateau ^^, Bon vent !

Super intéressant, très utile, merci. Info : 2:22 : Pause not pose 😇

ca fait très longtemps que l'engouement pour les bateaux à quille relevable ou les dériveurs (intégral, lesté…) a disparu. L'exemple de Damien II que vous citez date de 1975 environ (c'est à dire près d'un demi-siècle !…), les nombreuses autres unités construites ont généralement été amateurs, sauf les chantiers Meta, Alubat, et la série des OVNIs ont connu quelque succès. C'était l'époque des "bateaux de voyage" où le voyage était encore un engagement sérieux et pour longtemps. Les temps ont totalement changé : les bateaux abordables sont en plastique, le "voyage" est un moment dans la vie qui prend deux ou trois années sabbatiques avant de repartir vers des activités professionnelles, l'accueil des bateaux de plaisance s'est généralisé par la multiplication des port de plaisance (et la diminution des zones sauvages…), l'électronique à permis d'oser à ceux qui n'osaient pas (ce qui nous donne des vidéos You Tubes parfois hilarantes, le plus souvent totalement déprimantes d'inconscience…), les bateaux disponibles sont très nombreux tant il y a une sous-utilisation des unités à flot qu'elles se vendent souvent pour pas très cher, etc… etc… Très franchement dans les années 70-80 je me posais la question dériveur / pas deriveur ou quille relevable / quillard … mais quand j'ai acheté mon bateau en 1989 la question ne se posait plus. Un tirant d'eau d'un mètre quarante est parfaitement gérable même en Manche et en Mer du Nord et Atlantique Nord, et une navigation un peu prudente et affutée avec une bonne dose de chance j'imagine a permis qu'on n'aie jamais tapé sérieusement dans ces eaux. Pour moi, mais je suis en fin de "carrière de plaisance", si j'ose dire, la question ne se pose plus depuis longtemps. Merci de votre exposé. PS Je crois avoir entendu dire que le Pacifique Nord, Canada, Alaska et Japon est aussi affecté de fortes marées, ou de forts courants de marée. Pour dire.

Bonjour Tao, tout d abord, c est sympa de partager ton experience. Et bravo d etre descendu dans les latitudes sud sur un moins de 10m. Je souhaiterais, humblement, partager une info supplèmentaire sur ce sujet. La longueur est quand meme un parametre de sécurité, en fonction du type et de la qualitè de carène, il a été dèmontré en bassin laboratoire, qu un bateau peut résister à une dèferlante haute de 40% à 60% de la longueur du voilier. Je suis, moi-meme, descendu en solitaire en terre de feux ( beagle, malouines, puerto william, magellan) et dans magellan, j avais 55 noeuds derriere, le courant de maree dans le nez ( 5 á 6 noeuds), cá levait une mer dantesque...j ètais heureux d etre dans un grand bateau. Merci et bonne continuation

Le plus sur ...... les biquilles ......

Merci pour tes retours 👍

Je voulais aussi rajouter une chose u niveau du bout de manœuvre ; si il se rompt c’est la catastrophe car la m’anime de fixation est inaccessible au fond du puit. Je vais rajouter un bout de sécurité qui répartira 18:56 également la charge de la dérive en position basse

Encore beaucoup d'imprécisions. Je navigue au près quille haute ou basse jusqu'à 15 NDS, ou à mi hauteur lorsque j'ai juste besoin d'un peu de manœuvrabilité au moteur. Des centaines de voiliers ont été construits sur ce principe avec un démontage au bout de quelques décennies. Certains de ces dériveurs ont un meilleur couple de redressement que la plupart des voiliers quillards dont prétendus de régate.

Je baigne dans ce sujet depuis plusieurs mois. Donc ça me fait plaisir que tu en parles . J’ai un Deriveur lesté avec une dérive plombé 250kg qui n’est pas d’origine et qui remplace une dérive en fonte. Pas de blocage en position basse et ça me souci beaucoup. Le système d’origine a été rebouché. Je veux voyager et la sécurisation du puits de dérive (pivotante) est essentielle parce inaccessible. Peut-être bloqué une cale en bois à l’intérieur mais beaucoup de risques de la coincée au mauvais endroit… Plusieurs échouage volontaires et involontaires mon beaucoup refroidi. Ça fait très mal de sentir son bateau talonné à l’atterrissage et au décollage surtout la nuit.

Merci beaucoup !!

Salut Laurent, j adhère à 100 p 100 ton opinion sur l échouage des DL sur Béquilles. C est quelque chose que je fais rarement car je déteste cela. si tu as du vent de travers au moment se l échouage et que tes bouts ne sont pas assez tendus. Le bateau se met de travers et en cas de forte pente,tu te retrouves avec une béquille plus haute que l autre. C est très désagréable. J essaye de rester à bord dans ce cas mais ce n est pas toujours possible

Nouvel abonné sur ta chaîne voiliertao, j'ai dévoré toutes tes vidéos dites "techniques" qui m'ont appris beaucoup de choses et je t'en remercie. J'ai deux petites questions : 1° Que penses-tu des voiliers biquilles en général, et ceux plus récents à bulbes comme le "Nouveau Monde" du chantier Olbia, plans de PJ Brouns ? 2° Penses-tu faire une vidéo "tour du propriétaire" de Tao pour voir sa fiche technique, ses équipements intérieur, extérieur, son plan de pont, etc. Merci et bonne nvigation.

merci capitaine ⚓ toujours Passionnant 💕 la quilla l' âme du voilier 🌊🌊⛵

J’ai eu un SOUTHERLY95, qui est parti een destruction il y a 2 ans, suite a une quille bloquée. On a tout essayé, mais l’ancien propriétaire, contrairement au mode d’emploi, a mis du sika sur le plan de joint, rendant la partie systeme inséparable de la coque. Le bateau etant resté trois ans sous hangar, la’corrosion a bloqué le tout, il fallait donc demonter. Toute piece en mouvement sous la flottaison est source d’ennuis. La partie mobile faisait 800 kg, la totalité du système 2000. Relevage palan 4 brins tiré par hydraulique.

interessant …..

👍🏻👌🏻

Merci pour ces vidéos très intéressantes.

Incroyable Le Tas de conneries qu'il faut entendre.....

Merci pour ce dossier. // A 14 min : qu'en est il des particularités de comportement avec un dériveur DL et Di avec la dérive relevée ? Merci encore.

Tu as oublié de mentionner la moindre manoeuvrabilité au moteur du D.I

Bonjour Suite à une bonne remarque sur facebook je me rends compte que j'ai fait une erreur . J'ai oublié de préciser le cas du quillard relevable (un dériveur mais dont la dérive est une quille qui se relève). Pour moi ce n'est pas un dériveur leste (ou intégral) , mais un voilier a quille relevable (comme damien 2 et 3 ...) Et dans ce cas la quille-dérive sert de lest C'est différent du sujet de la vidéo car on navigue pas avec ce type de voilier comme on navigue avec un DL ou DI car on ne monte ou descends pas cette quille lestée en fonction de la force du vent et de l'allure (on ne peut monter ou descendre une dérive quille de 2 tonnes ou plus en navigation. Sur damien le système était je crois hydraulique ) ). Mais j'aurai du en toucher deux mots , pour à minima l’écarter de cette vidéo (erreur de ma part, je voulais juste traiter DI, DL , vs quillard ) . J'en parlerai dans une autre , je ferais un bis ce qui me permettra de répondre a des questions et de rectifier cette erreur et de préciser d'autres choses .

C'est dingue hier j'ai regardé sur Google quelle était la différence entre ces navir merci à vous

n'importe quoi. Il existe des dériveurs intégraux avec une partie du lest dans la dérive. Je vous défie de remonter ma dérive avec un bout ou un palan......

Analyse concrète et objective! Le quillard (à tirant d'eau raisonable) est efficace, fiable et pas si handicapant pour les zones de mouillage etc.. Le biquille, il y en a de très bons et de très moins bons... Mais quand ils sont bons, c'est un avantage dans les zones à echouage et dans les baies peu profondes. Citons par exemple RM et django. Certains biloups récents aussi, pas des coureurs, mais costauds!

Je précise que personnellement en + de 30 ans de voile , en école , en charter, en convoyage ou perso, je n'ai jamais vu un plaisancier balancer ces poubelles La pollution maritime a majoritairement une provenance terrestre. Sauf les militaires (au moins avant ils le faisaient) les cargo (vérifié de visu ) puis les pécheurs qui lâchent casiers , filets, bouées en bidons ....

non mais sa va plus la Paulette 🫡 il y a une vidéo on remarque un yacht en Floride déversait de grosses poubelles dans l' océan après une teuf 😱

🤣😂

Mince alors j'avais pas prévu de faire le tour du monde, mais peut-être il faut que je change de Bateau !?

Tout à fait d’accord avec toi sur l’analyse Un biquille genre django paraît être le bon compromis…

Bonjour et merci pour cette nouvelle vidéo ! Qu'en est-il de l'échouage ? Risque d'abîmer la coque du DI ? Risque d'instabilité pour le DL (Besoin de béquilles ?) ? Dans le cas d'une coque aluminium, toutes vos remarques rester valides ? Merci encore pour toutes les vidéos de la chaîne !

Merci 👍 Je suis curieux et impatient d’avoir votre retour sur les bi quilles…

Salut Laurent suis d’accord avec ton point de vue. En ce qui me concerne, je croyait naïvement qu avec l Mon DL j aurait été peinard dans les mouillages aux Antilles, je n avais pas intégré qu un bateau sur deux est un cata… Sinon un inconvénient du quillard c est qu en cas de talonnage le bras de levier est beaucoup plus important d où normalement plus de dégâts qu un DL à choc équivalent. Sinon, si je dois repartir pour un grand voyage je choisirai un quillard, bien à toi

merci capitaine 🐬⛵🌊🌊

Salut, le sharky d amel semble un bon choix alors...

Merci

Merci pour la video. Pourriez-vous traiter entre quille longue ou courte Bonne journée rudy

Salut Laurent, chouette vidéo bien complète. Une fois de plus tu me confirme dans mes choix. Je te suggère une vidéo sur les ancres flottante 😉 Bon vent, Michael

Bonjour , bonne video, plus c'est simple , moins il y à de problème, çà se vérfie dans tous les domaines, voiture , maison, etc...., tout élement en mouvement subit de l'usure et demande de l'entretient donc des coûts, quand on voit les multiples commentaires, le Amel Maramu est en tête de tous les avis que ce soit technique, sécurité, j'ai eu l'ocasion d'en vister un et je devrais faire une sortie cette été avec un ami, c'est fou ce que Mr Amel était un génie surtout qu'il était quaisiment aveugle quand il naviguait

Merci pour tes vidéos. J'ai vu que t'es allé en Patagonie, tu penses quoi d'y aller avec un voilier en plastique ? Merci pour ta réponse.

...gréé en goelette