Пікірлер
@vincenth8371
@vincenth8371 7 күн бұрын
Particulièrement Stupide ?! Il faut simplement confrontés la réalité ; Les financiers, diamantaires très influents qui ont imposer le crédit d état, qui sont dans les hautes sphères de l état de l homo economicus" , vivre à crédit comme LE plus important sont t ils des Juifs ? Oui ce son les élites qui se trouvent êtres juifs . Et qui semblent , faire savoir à travers leurs medias , par exemple Fr 24 que se sont les éternelles victimes et Netanyahu est le défenseur de la paix... Sans parler de la propagande de l antisémite est partout... La Doxa fait l opinion ( la plus influente) majoritaire qui est de l ultra minorité...
@nicoledebacker4026
@nicoledebacker4026 13 күн бұрын
J'adore ✨🙃
@dominiquepaul6877
@dominiquepaul6877 21 күн бұрын
Aristote bien étudié inspire d'excellents physiciens d'aujourd'hui
@kamelt5436
@kamelt5436 Ай бұрын
Leçon si intéressante que j'en ai oublié mon rendez-vous pour un entretien d'embauche. Mais les priorités sont prioritaires. Merci beaucoup.
@figolu101
@figolu101 2 ай бұрын
Merci pour cette vulgarisation.
@arthurrimbaud1835
@arthurrimbaud1835 2 ай бұрын
Un réel extérieur à notre conscience ? ... l'instinct du singe de l'homme, singe de dieu [image de l'image (pensée de dieu) ... pensée de la pensée (image de dieu)] . De la jouissance de l'entendue ... l'étendue de sa connaissance [savoir_estre]. ... d'une poétique de la pensée etc. ... image métaphysique etc. Temps_Être [logos : un_ion (theos_muthos)] ... un_nu : principe_rapport (Loi ... unique_identique) même_autre (s) : 0 _ 2 du dieu _ un (dieu : voir_dire ... un : sens_soi) sens : non définition ... soi : non détermination. ... parole _ écoute (savoir _ estre) : d'une totalité ouverte (tautologie mythique) ... universalité négative (autonomie mimétique) ... objectité_subjectité ... êtreté de l'être, êtreté du temps néantité _ étantité ... du dieu un, dieu nu ... archéologie du savoir (temps) ... analogie de l'être (estre)
@fanschesco6669
@fanschesco6669 3 ай бұрын
@MichelAngelo69000
@MichelAngelo69000 4 ай бұрын
Merci
@paulinehhh
@paulinehhh 5 ай бұрын
à 24:50
@paulinehhh
@paulinehhh 5 ай бұрын
Je ne trouve pas le mot hypostasie dans le dictionnaire, je trouve le verbe hypostasier. Vous avez inventé ce mot?
4 ай бұрын
Bonjour, je réponds à la place d'Alice qui est un peu occupée... Le mot "hypostase" existe pour désigner un autre niveau de réalité qu'on considère comme réellement existant (par exemple dans la philosophie de Plotin). A partir de ce terme et du verbe "hypostasier", Alice a forgé le mot "hypostasie" pour désigner l'action d'ériger quelque chose en hypostase. On a souvent besoin en philosophie de créer des mots plus précis que ceux dont dispose déjà la langue. Qui sait, celui-là entrera-t-il peut-être au dictionnaire? Annick, de l'Université populaire.
@user-sd2zi3og5p
@user-sd2zi3og5p 5 ай бұрын
Nous avons intuition parce que nous savons connecter idées et c'est pour lá que nous pouvons construire images nouvelles: c'est toujours notre capacité de être en contact avec les images percevus
@noorlu5209
@noorlu5209 5 ай бұрын
Elle devrait lire l’œuvre de René Guenon, notamment “le règne de la quantité et les signes des temps”.
@user-sd2zi3og5p
@user-sd2zi3og5p 5 ай бұрын
La qualité du character est toujours plus forte que le environnment.
@dr.younes9950
@dr.younes9950 6 ай бұрын
Master pièce 🎭 🎉❤ on vous ai écouté On apprend bezaaf et bezaaf merci Pr
@nooharii
@nooharii 6 ай бұрын
Brillante
@magatst
@magatst 7 ай бұрын
Dommage le son est inaudible ... snifff
@jose1288
@jose1288 7 ай бұрын
@Mobicky
@Mobicky 7 ай бұрын
Il a été dit dans une précédente conférence que la perception des couleurs était incommunicable. Or si la conscience avait intégré la conscience d’autrui, on peut supposer que nous pourrions savoir comment autrui perçoit une couleur. N’y a-t-il pas contradiction ?
7 ай бұрын
Comme pour vos trois interventions précédentes, je vous dirai simplement: vous êtes passé à côté du raisonnement et je vous conseille de réécouter, d'aller lire les textes, et ce sans oeillères de préférence...
@Mobicky
@Mobicky 7 ай бұрын
@A côté de la question de Leibnitz « Comment se fait-il qu’il y ait quelque-chose plutôt que rien ? » il y a la question « Comment se fait-il que je sois moi dans ce corps plutôt que dans un autre et dans cette ville, dans ce pays plutôt que dans d’autres ? ». Vous allez probablement me dire que je suis dualiste mais cette question est tout aussi insondable que celle de Leibnitz et les deux n’admettent aucune réponse. J’aimerais interpréter le Da Sein (j’essais de ne pas être péremptoire) dans ce sens : les choses sont là, elles sont ce qu’elles sont, point barre ; cela ne sert à rien d’épiloguer sur cette question : il me semble que ce serait le point de vue de Wittgenstein.
@Mobicky
@Mobicky 7 ай бұрын
Est-ce à dire que l'être est transcendantal ? Si c'est le cas, pourquoi se casser la tête dans des raisonnements spécieux alors qu'il y a une transcendance très pratique : elle s'appelle Dieu. De toutes façons, on voit bien que le discours de la conférencière sur le rapport entre l'être et l'étant, qu'elle nomme l'analytique du dasein repose sur une circularité. Pour briser cette circularité, il n'y a qu'une solution : poser une transcendance quel que soit le nom qu'on lui donne. Elle tiendra lieu de suspension du jugement au sens antique du terme.
7 ай бұрын
Bon, maintenant au moins on voit d'où vous parlez. Manifestement vous ignorez tout des concepts philosophiques (au point de confondre "transcendantal" et "transcendant") mais vous croyez pouvoir donner des leçons. Au lieu de répandre vos confusions, écoutez vraiment!
@Mobicky
@Mobicky 7 ай бұрын
@Je ne parle pas du tout depuis un point de vue religieux. Je pense qu’il y a plusieurs façons de clore la remontée dans la chaîne des causalités, c’est-à-dire d’exercer la suspension du jugement au sens antique de Pyrrhon et j’ai cité Dieu parce que c’est la plus banale. Au passage, quand Sartre, par exemple, dit que la conscience n’est pas une chose ; s’il éprouve le besoin de la considérer à part, n’est-ce pas justement une façon de clore la chaîne des causalités ? Mais il n’en tire pas les conséquences. Il préfère s’acharner à essayer de trouver une explication, une « intelligibilité ».
6 ай бұрын
@@Mobicky La suspension de jugement (sceptique ou pyrrhonienne) est tout à fait opposée à l'affirmation d'une cause première (qu'elle soit un dieu ou autre chose) puisqu'elle considère qu'on n'a aucun moyen de connaître les causes avec certitude. La philosophie n'existerait pas si elle s'était contentée de cette paresse de l'esprit. Par ailleurs, dire que la liberté (et non la conscience) est une causalité d'un type différent n'entraîne évidemment pas qu'elle est la cause ultime de tous les enchaînements.
@Mobicky
@Mobicky 6 ай бұрын
Je n’établissais pas un parallèle entre l’affirmation d’une cause première et la suspension pyrrhonienne du jugement sur le critère de la certitude mais sur le fait qu’elles clôturent toutes les deux la remontée dans la chaîne des antécédents explicatifs.
@Mobicky
@Mobicky 7 ай бұрын
Tout dépend de ce qu’on entend par liberté. Pour Heidegger et Sartre, la liberté est fondée sur l’indétermination. Mais on peut dire aussi que pour qu’il y ait liberté, il faut que la conscience ait une totale maîtrise d’elle-même. La liberté consiste à pouvoir choisir en toute connaissance de cause. Or là, on tombe sur une circularité puisque la conscience comporte obligatoirement une tache aveugle. Et si cette tache aveugle était elle-même une détermination ? N’est-elle pas la transcendance de l'être humain au sens transcendantal ?
7 ай бұрын
Pour acquérir les bases qui vous permettront de parler de la liberté au sens philosophique, je vous conseille de suivre le cycle "Liberté et déterminisme". En attendant, il vaudrait peut-être mieux ne pas asséner trop d'affirmations péremptoires.
@Mobicky
@Mobicky 7 ай бұрын
@Je parle de liberté au sens de la liberté ! Ce dont je parle par ailleurs, c’est d’une sorte de généralisation, d’extension du principe physique d’inertie. Un corps ne peut pas changer de position ou de trajectoire par lui-même sans une interaction tierce. Autrement dit, on ne peut pas être la cause de son mouvement, la cause de soi-même. Vouloir enfreindre ce principe, ce serait vouloir inventer le mouvement perpétuel. Ce principe est également valable pour la pensée et la conscience. Il est impossible à la conscience réflexive de se saisir d’elle-même en totalité : il y aura toujours une tache aveugle : un œil ne peut pas se voir lui-même. Ce qui est extraordinaire, c’est que Sartre reconnaît cet état de fait mais n’en tire pas les conséquences.
6 ай бұрын
​@@Mobicky Considérer qu'il n'existe qu'un seul type de causalité, la causalité physique, est un choix métaphysique car rien ne peut le démontrer. Au contraire, il va contre l'expérience de notre causalité propre et doit faire la lourde supposition que nous sommes constamment dans l'illusion (ce qui est comparable à l'hypothèse hyperbolique du Malin Génie chez Descartes). D'ailleurs, même selon la causalité physico-chimique il y a des automoteurs, c'est-à-dire des organismes qui ont leur principe de mouvement en eux-mêmes : c'est le cas des mouvements végétatifs de tous les vivants dès la première division cellulaire. En outre, chez une partie d'entre eux, en tout cas chez les humains, existe une causalité intentionnelle (en vue de quelque chose) qui ne peut s'expliquer par une poussée mécanique. Il ne faut pas mélanger tout cela avec la conscience, qui n'est ni un mouvement ni une cause de mouvement, mais seulement une condition indispensable de la causalité libre en tant qu'elle est temporelle et transcendante. ("Transcendant" en phénoménologie signifie "qui sort de soi" ou "qui dépasse ce qui est", à ne pas confondre avec "transcendantal" , terme kantien qui signifie la condition a priori de toute expérience empirique). Enfin, Sartre montre dans L'Être et le Néant que le pour-soi n'est pas fondement de son être (car il n'existe pas de causa sui) mais bien fondement de son néant en tant qu'il se néantise à partir de l'en-soi. C'est sa double néantisation (de soi-même et de l'en-soi) qui fait sa liberté ; mais c'est une démonstration beaucoup trop longue pour pouvoir l'exposer en quelques paragraphes; je vous renvoie à l'ouvrage ou à une explication plus complète. Cordialement, Annick
@Mobicky
@Mobicky 6 ай бұрын
@ Tout d’abord, je vous remercie vivement de prendre la peine de me répondre et de le faire de façon détaillée. Comme il est mieux de décliner son identité, j’habite à Montpellier et je m’appelle Jacques Galleyrand. Je ne suis pas du tout érudit en Philosophie mais je suis sensible au questionnement philosophique (je dis bien au questionnement !). J’ai utilisé le terme de causalité parce que je n’en avais pas d’autre. J’aurais dû plutôt employer l’expression d’ « antériorité explicative » (non nécessairement temporelle). Je ferai deux objections à votre réponse : 1. Les organismes automoteurs dont vous parlez ne sont pas réflexifs. C’est la réflexivité qui conduit à un paradoxe. 2. Vous dites que selon Sartre, la conscience est une condition transcendante. Si tel est le cas, Sartre évite certes la circularité mais il ne fait rien de plus que ceux qui posent un dieu ou tout autre transcendance comme principe originel. Je n’ai pas bien compris la question de la double néantisation et il faudra que je la creuse mais intuitivement, je suspecte Sartre d’avoir voulu revenir à la charge en contournant la question de la transcendance. Or compte-tenu de l’universalité du paradoxe autoréférentiel et du principe d’inertie, je reste persuadé que toute investigation de la conscience, que ce soit par le canal de l’introspection, le canal du langage et de la logique ou le canal de la biologie, mène forcément à une circularité quelque-part, sans que je sache exactement où. En revanche, s’il s’avère que Sartre est effectivement resté sur le principe de la transcendance de la conscience, il aurait dû s’en tenir là. Ce n’est pas de la paresse d’esprit, il s’agit simplement d’établir un constat. Maintenant, peut-être Sartre n’avait-il d’autre ambition que de bâtir une théorie de la liberté. Dans ce cas il aurait dû poser ses postulats et dire clairement qu’il s’agissait de postulats sans essayer de remonter aux fondements de la conscience. Je m’excuse de paraître parfois un peu péremptoire mais c’est la conséquence de la nécessité d’être très concis dans un espace d’écriture réduit.
@patriceh-tissier6425
@patriceh-tissier6425 7 ай бұрын
1 , 36 heure , les scientifiques sont comme les politiques responsable mais pas coupable etc les philosophers Dans une Societe d,abrutis qui se croivent intelligent grace a tictoc etc etc.... et bien ses dit philosophers n,ont plus leur utilitee , d,ou , la fin de la civilisation occidental 😂 bon travail madame Stevens 👍
@Mobicky
@Mobicky 7 ай бұрын
Toutes les réflexions de Husserl et Sartre aboutissent et tournent autour du paradoxe autoréférentiel (par exemple, le paradoxe du menteur). Il s’agit d’une structure circulaire. Husserl et Sartre devraient s’arrêter là car on n’en peut rien dire de plus. Or on a l’impression qu’ils s’échinent à vouloir casser cette structure circulaire pour en dégager une structure linéaire ou linéaire-arborescente, en tout cas ouverte. Il en résulte des considérations extrêmement confuses. C’est le champ où s’applique à merveille la phrase de Wittgenstein : « sur ce dont on ne peut parler, il vaut mieux se taire »
7 ай бұрын
Vous êtes manifestement passé à côté de la démarche et du raisonnement. Je vous conseille de réécouter et de lire les textes originaux pour mieux comprendre.
@Mobicky
@Mobicky 7 ай бұрын
@ Evidemment que je suis à côté de la démarche et du raisonnement puisque je les réfute ! Pourriez-vous m’indiquer si vous êtes la conférencière ou quelqu’un d’autre ?
@Mobicky
@Mobicky 6 ай бұрын
A 1h35’16’’, vous dites « On ne peut pas se retourner dessus pour la saisir (la liberté assimilable à la conscience), etc. ». C’est ce que je me suis efforcé de vous répéter dans mes quatre interventions successives ! Vous poursuivez en disant : « (…) ce n'est pas un sophisme : à partir du moment où on reconnait qu’il y a des choses qu’on ne peut pas saisir comme des objets, qui ne sont pas observables parce qu’elles sont les conditions même de l’observation, il faut les induire à partir de leurs manifestations, en l’occurrence l’angoisse ». Mais pour pouvoir faire le lien entre ces choses et leurs manifestations, encore faut-il avoir une idée de ce que sont ces choses sinon cette prétendue induction est un acte de foi, une pure construction intellectuelle. Vous voyez bien qu’on tourne en rond !
6 ай бұрын
@Mobicky Il faut distinguer la méthode phénoménologique, qui vise à établir une connaissance certaine à partir des actes de conscience et de leurs corrélats, et la méthode de dévoilement de la liberté, celle-ci étant une caractéristique de l'existence humaine et non de la conscience en général. La méthode phénoménologique implique la suspension des connaissances phénoménales, toujours douteuses, et se fonde sur la saisie des actes (cogito) qui sont certains. A partir de ceux-ci, elle établit systématiquement et rigoureusement des distinctions entre les cognitions (perception, imagination, pensée, etc.), et entre leurs corrélats, puis établit la dépendance éventuelle de ceux-ci à un corps propre, ainsi que la nécessité éventuelle d'autres consciences (existence d'autrui). Tout cela est initialement développé par Husserl, et sensiblement modifié par Sartre. Il n'y a pas de circularité car rien n'est présumé de ce qu'on trouvera. La conscience n'a pas besoin de se démontrer elle-même en tant que connaissante (donc en tant que sujet ou plutôt en tant qu'acte) car elle est une évidence première, une donnée indubitable. Elle peut se saisir elle-même en tant qu'objet, rétrospectivement, par un acte réflexif, parce qu'elle est un flux temporel continu - et tant la temporalité que la réflexivité sont également des expériences immédiates et évidentes. La mise en évidence de la liberté par l'angoisse n'atteint pas du tout le même degré de certitude: c'est un indice. Sa véritable démonstration, chez Sartre, est purement ontologique, fondée sur un type bien précis de négativité qui caractérise le pour-soi humain, à savoir le dépassement du donné (présent) par la position-visée de multiples possibles qui ne sont pas encore (l'avenir) (voir la 6e séance de ce cycle). Cela dit, il s'agit d'un cycle d'introduction à la pensée de Sartre, qui ne peut entrer dans tous les détails de sa démonstration ontologique (L'Être et le Néant fait 800 pages bien serrées). Je viens de publier un livre d'explication beaucoup plus complet ("Conscience et liberté. Une explication de L'Être et le Néant de Sartre", éd. Latinoir, disponible à partir du 26 janvier). Cordialement à vous, Annick Stevens
@Mobicky
@Mobicky 6 ай бұрын
@ Vous dites dans votre réponse : « la conscience est une évidence première, une donnée indubitable », OK. Elle peut se saisir en tant qu’objet, OK ; mais j’ajouterais : pas simultanément ; rétrospectivement comme vous le dites vous-même, c’est-à-dire qu’elle ne peut pas se saisir en train d’opérer mais rétrospectivement par l’intermédiaire d’un media qui est une durée dans le temps (j’ai toujours du mal à dire « un médium » !). En revanche, je n’ai pas compris quand vous dites que la temporalité et la réflexivité sont des expériences immédiates. Voulez-vous dire qu’elles sont immédiatement compréhensibles ? Et alors ?
@patriceh-tissier6425
@patriceh-tissier6425 7 ай бұрын
Le son et la camera ruinent le travail d,annick stevens , c,est terrible , tres certaiement le si peu d,ecoute et ce a tous les episodes de Nietzsche un desastre , elle ne merite pas ca , desole !....
@user-sd2zi3og5p
@user-sd2zi3og5p 8 ай бұрын
Le destin d´homme est être lui-même. Merci.
@user-sd2zi3og5p
@user-sd2zi3og5p 8 ай бұрын
Die Gestalt des Geistes ( Phänomenologie ) ist unser Verstand der Wirklichkeit in der Zeit unseres Daseins.
@alamirachid780
@alamirachid780 8 ай бұрын
Bonjour Je viens de decouvrir cette merveilleuse et exceptionnelle page, et depuis je ne peux me passer d'y revenir chaque jour, j'ai beaucoup appris,dessus, sur des sujets que je considérais, avant, difficiles et ambigus. Notamment en philosophie. J'ai beaucoup admiré les cours de cette exceptionnelle philosophe et j'ai beaucoup admiré tous leurs contenus, cela dit, je trouve que c'est vraiment dommage que précisément cette video,tant commentée et aimée par beaucoup de personnes n'a pas de son.!!!!!!!?? et je n'arrive pas à l'écouter.
8 ай бұрын
Bonjour, et merci beaucoup pour votre commentaire. Je ne comprends pas votre problème de son. Il ne vient pas du site ni de la vidéo car moi je l'entends parfaitement. Quelqu'un a peut-être un conseil technique à apporter?
@donathos7742
@donathos7742 8 ай бұрын
Si j’avais eu une prof de physique aussi claire,je serais devenu scientifique.Dubitatif au début,à cause des temps de réflexion,je me suis retrouvé dans le labo de mon lycée,plein d’attention et surtout de comprehension.Meme Etienne Klein que j’adore m’avait autant éclairé.Un grand merci Alice.Vous irez loin.( je pourrais être votre grand père,71 ans.).amities.Dom.
@donathos7742
@donathos7742 8 ай бұрын
Un vrai régal ces 6 conférences.merci à ce professeur et à l’université,j’ai largement consolidé mes connaissances même si cela remonte à 2019.J’en redemande pour actualiser.
@pourquoipas971
@pourquoipas971 9 ай бұрын
C est vraiment une position philosophique dogmatique.. Et sans nuances.. du moins c est ce que je ressens.
@donathos7742
@donathos7742 9 ай бұрын
Un vrai délice ce cours d’introduction à Nietzsche.Merci beaucoup.
@corinnezilpa5627
@corinnezilpa5627 9 ай бұрын
Tant que vous ne prendrez pas conscience que tous ces philosophes se basaient sur l'enseignement le plus ancien, toujours le même, vous errerez. Voyez ceci : kzfaq.info/get/bejne/oahzd7iQtdTFpoU.html
@Crux_
@Crux_ 9 ай бұрын
Bouffonnerie athée. Le siècle des ténèbres qui nous ont sorti malheureusement des Lumières Catholiques. L'évolutionnisme n'a QUE des chaînons manquants. Parler en bourgeoise universitaire ne fait pas de vous une intelligente. Si vous saviez la réalité de l'enfer vous apprendriez l'humilité plutôt que la rethorique de femme savante. La plus haute et belle civilisation on la doit au christianisme. Pas à la crasse de Nietzsche, la lèpre de voltaire, le vomis maconnique, la stupidité d'Onfray, et les lâches menteurs universitaires. C'est tellement facile de détruire l'évolutionnisme. Mais il n'y a pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Surtout quand il est pris dans des liens démoniaques. Le malheur des cerveaux européens c'est d'avoir croisé la route des ordures des "Lumières". Toute cette crasse n'arrive pas même à la cheville du travail de monseigneur Gaume. Dans son traité du Saint-Esprit il démontre parfaitement et sans appel à quel point cette antiquité fantasmée n'était qu'un ramassis de pratiques démoniaques sous l'emprise satanique dont Rome en tête.
@elisabernardlavier-servadi9565
@elisabernardlavier-servadi9565 9 ай бұрын
G 1:00:33
@julianasoares7583
@julianasoares7583 10 ай бұрын
C´est magnifique, à chaque fois que je le vois.
@TheDjjb18
@TheDjjb18 11 ай бұрын
Merci
@elbachirjabri8169
@elbachirjabri8169 11 ай бұрын
Apparemment, c'est Heidegger qui a bien pu comprendre Parmenide... Parce qu'il a bien compris "l'Etre". Heidegger fait bien la distinction entreÊtre et étant, ici malgré la citation du la célèbre phrase de Leibniz "pourquoi y t il les étants et pas plutôt rien" , L'Etre de Parmenide est non compris... Je vois que tous les commentateurs qui n'ont pas pu comprendre c'est à cause d'un obstacle épistémologique qui est difficile à leur enlever... et qu'ils ne sauront jamais. Hélas...
11 ай бұрын
La distinction entre l'être et l'étant est faite par les bons interprètes de Parménide et il est certain qu'elle était connue dans l'Antiquité. Le problème de l'interprétation heideggerienne est qu'elle donne une signification à "l'être" qui n'est pas du tout attestée dans l'Antiquité (ni dans l'histoire de la philosophie jusqu'à lui) et que rien dans le texte parménidien ne permet de déceler. Malgré tout l'intérêt de cette pensée (notamment du "il y a"), ce ne peut être qu'une surinterprétation anachronique. D'ailleurs Heidegger, lorsqu'il lui est arrivé de s'expliquer sur son rapport aux anciens, a affirmé ne pas chercher à retrouver la pensée exacte des auteurs anciens mais s'inspirer d'eux pour penser. Bien cordialement à vous, Annick.
@elbachirjabri8169
@elbachirjabri8169 11 ай бұрын
@ Tout d'abord, je tiens à vous exprimer mes excuses d'avoir fait immiscion dans votre plate-forme. Puis je vous remercie pour vos leçons si intéressantes. Je vous remercie également pour l'intérêt que vous avez porté à mon commentaire ci-dessus. Quand au poème de Parmenide, du fait de la rareté des sources qui en parlent, il est effectivement difficile de l'aborder. Quoique, la question que je me pose est la suivante : pourquoi la question de l'être ne serait-ce pas pour lui la question fondamentale de la philosophie :"pourquoi alors y a-t-il l'étant et pas plutôt rien ? ", qui est la question sur le "secret " de l'être. C'est une question banale quand même, que nous nous sommes posés depuis notre enfance, et qu'on a tendance à oublier à cause de la prédominance de notre intérêt pour les étants. Cordialement. Merci.
@paulinehhh
@paulinehhh 11 ай бұрын
J'en suis à la séance 4 de vos cours et j'apprends beaucoup de choses passionnantes . Merci pour vos explications claires et pour votre rigueur. Il y a une erreur il me semble dans le passage écrit à 29:17 environ: 3ème ligne c'est écrit "méthyle" c'est plutôt "acétyle" ?
@stephanesigouin2049
@stephanesigouin2049 11 ай бұрын
Il faut retrouver l'alternative d'abandonner le principe de non contradiction ou bien la physique quantique.
11 ай бұрын
Ce n'est pas si sûr. La physique quantique ne dit pas qu'une particule est et n'est pas à telle position au même moment et sous les mêmes rapports (ce qui serait la seule dérogation possible au principe de non-contradiction). L'indétermination de la position est plutôt exprimée en termes de distribution de probabilité et de modification par l'observation (voir notre cycle kzfaq.info/sun/PLE4wBQ5ZJXgzST_69oG4hUPS8um4J4_ru), or tout cela ne contredit pas le principe. Bien cordialement à vous, Annick
@marchin321
@marchin321 11 ай бұрын
La liberté n'existe que lorsqu'elle s'affronte à ce qui n'est elle " Les Français n'ont jamais été aussi libres que sous l'Occupation" Sartre je crois...La liberté est une force et en tant que force n'existe que dans un rapport agonistique avec une force d'une autre nature. Seul peut-être est-ce seulement dans l'amour bien compris ou bien ressenti que ce rapport de force s'anéantit tout en laissant libres les termes d'une relation hétérogène. Peut-être est-ce seulement dans l'amour que la liberté est capable de s'éprendre d'elle-même par la médiation caressante d'un autre...
11 ай бұрын
Bonjour, welcome back :-) Oui, Sartre a pensé que la liberté était maximale sous le maximum de contrainte, car alors toute parole, tout geste engage toute notre responsabilité, au contraire des époques tranquilles où l'on peut se laisser aller à des paroles et des actes sans grande conséquence. Quant à l'amour... comme vous le savez, dans L'Etre et le néant il ne l'envisage que comme une privation mutuelle de liberté. Les principes mêmes de la phénoménologie font difficilement place à une reconnaissance d'autrui comme liberté, puisqu'on ne peut avoir conscience d'un autre que du dehors, même si l'on en est le plus proche possible. Reste la solution sartrienne plus tardive, d'une union des libertés transparentes entre elles dans un projet commun. Mais peut-être que ce que vous décrivez dans l'amour n'est pas la liberté (du moins au sens strict philosophique) mais est quelque chose d'encore plus précieux...
@marchin321
@marchin321 11 ай бұрын
@ D’abord l’amour ensuite la liberté. Bon vous m’excuserez de m’amuser un peu. Je suis d’accord avec la critique de Sartre, mais, pour moi, il s’agit d’une critique portée sur une relation finalement très contractuelle. Or, il ne peut y avoir de contrat là-dedans puisque ce dernier engage réciproquement des « parties » à s’accorder sur des privations mutuelles de liberté sous menace de sanctions affectives ou/et juridiques. Il s’agit peut-être ici de la contractualisation d’un rapport de force. Ce que je dénie à l’amour. Il y a parfois plus dans la rencontre d’une nuit que dans une relation en noces d’or ...qui a conduit à des poussées de fièvre concomitantes à cette catégorie de résolutions : d’abord...joies des commencements et mystères des débuts, sentiments aventureux, caresses au son des foreuses, embrassades passionnées à la scie sauteuse, convictions démesurées, ardeurs empressées, familiarités exagérées envers les corps de métier, surexcitations notoires,...et puis...agitations manifestes, alarmes vaines, doutes subits, bouillonnements secrets, va-et-vient épuisants, contestations contestables, litiges bruyants et différends inattendus, ...en cause...tracasseries procédurières, proposition de contrat, contrats, controverses juridiques et conflits de validité, décrets municipaux, communaux, nationaux, prescription et réquisit de 1812, débats et polémiques au pied du mur, certifications administratives, conformités subrégionales, largeurs légales, hauteurs autorisées, longueurs maximales, couleurs des murs extérieurs, enquête publique, retard de livraison, assurance multirisque d’habitation,...et également...indemnités de remboursement, assurances d’assurances, cahier de charge, prix convenu et forfaitaire sous réserve de révision, conditions de révision des prix,...sans compter... conditions suspensives, garanties de remboursement, échelonnement des paiements, délais non respectés,... D’où fourvoiements de tous genres, bévues et impairs, partenaire honnis, errements pitoyables mâtinés de soliloques réciproques, radotages continus, véhémences des protestations, objections oubliées, monologues bougons, mâchonnements grognons, murmures étouffés, enragements silencieux et colères rentrées, fulminations volcaniques ... Non pas d’amour ici. Forces et contraintes Pour la liberté, si je me souviens bien, j’avais lu (il y a des siècles) chez Castoriadis une critique du marxisme intéressante ( !) : il se demande (lui ou je ne sais qui) comment d’une théorie sociale et économique strictement déterministe (elle-même déterminée, j’ajoute) on pouvait découvrir soudain le paradis enchanteur de la liberté au terme d’une course quasi théologique vers une fin de l’histoire messianique. Comment de ce qui est extrêmement lié pouvait naitre du délié ? Puis si tout est déterminé comment penser une liberté elle-même déterminée ? Et là je me suis rappelé un truc que j’ai lu (il y a des siècles) au sujet de la philosophie de Spinoza, chez Alexandre Matheron ou Pierre Macherey : l’idée selon laquelle il n’y aurait pas d’irréductibilité entre liberté et déterminisme. En fait, nous serions surdéterminés et rejoindre sa détermination, ce serait en quelque sorte retrouver notre liberté...Pas loin, peut-être de la volonté nietzschéenne et son « Deviens ce que tu veux ». Autre question : puis-je librement me priver de liberté ? Oui évidemment. Mais ici, je pense à mes enfants par exemple où manifestement il y a eu privation de liberté (au sens large), Cependant, après avoir reçu de leur part une certaine éducation, j’y ai progressivement puis totalement trouvé de la joie. L’amour ne va pas très bien avec l’idée de sacrifice . Mais si j’ai accepté cette privation, et que j’en ai éprouvé du plaisir, suis-je encore libre ou complètement aliéné à un point tel que je me rends compte de rien. Bon là ça suffit pour aujourd’hui. Je renonce à vous parler de mon amour immodéré du chocolat.
@nour100ish
@nour100ish 11 ай бұрын
Vous cours sont superbe madame, espérons que vous allez les poursuivre
11 ай бұрын
C'est prévu, oui, mais je prends le temps :-) Merci beaucoup pour votre appréciation.
@michelearcangelo7041
@michelearcangelo7041 11 ай бұрын
Le déterminisme est tout à fait compatible avec la responsabilité morale. Imaginez qu'on propose à une personne Une tablette de chocolat, produit quelle aime sans à la base avoir choisi de l'aimer vu que c'est détermine. Et que à côté du Chocolat on propose aussi à la personne un tas d'autres produits qui ressamble à du Chocolat mais que ça n'a rien a voir Avec le gout du Chocolat et que sa pourrais être aussi bon ou vraiment degeulasse. On fait par à la personne que une fois chois Elle doit manger jusqu'au bout que ce soit bon ou mauvais. La personne choisi le chocolat car c'est ce qu'elle veut. Les autre choix possible Sont des potentialités mortes car le determinisme fait que la personne choisira le chocolat pour un tas de raisons (elle en connais le goût, elle n'en mange plus depuis un certain temps, pas envie de prendre le risque de manger qq chose de degeulasse eccetera).mais parallèlement à ça elle veut le chocolat donc elle est responsable bien qu'elle n'aurait pu faire autrement .
@michelearcangelo7041
@michelearcangelo7041 11 ай бұрын
Bonjour, l'argument de chrisyppe ne peut en aucun cas être démenti. Il n'y a nullement besoin d'avoir pu faire autre chose pour être responsable moralement D'un acte. Le fait de le vouloir et éventuellement de savoir le mal que cet acte provoque, Suffit largement. Face à la justice on ne condamne pas parceque une personne parceque elle n'est pas resté Chez elle ou ailleur au lieu de commetre ce qu'on lui reproche. C'est l'acte en soit qui fait de l'auteur un coupable Et donc un responsable.
11 ай бұрын
Le problème est celui du déterminisme, selon lequel nous croyons choisir mais en fait nous n'avons pas le choix (parce que tout est déjà fixé et nécessaire, parce qu'il n'y a pas d'autres possibles). Si c'est un enchaînement de nécessités qui nous a rendus tels que nous voulons agir mal, nous ne pouvons pas en être tenus pour responsables. C'est pourquoi aucune institution judiciaire ne croit au déterminisme absolu. Et aucune morale non plus: elle suppose toujours que nous avons le choix de vouloir le bien ou le mal. Mais le déterminisme suppose que nous n'avons même pas le choix de ce que nous voulons.
@adissounegus-nagast2640
@adissounegus-nagast2640 11 ай бұрын
0:50 sur l'existence ou non du vide - madame je suis désolé, mais le débat, depuis certains résultats de la physique quantique (vide quantique), s'est réactualisé.
11 ай бұрын
Merci pour votre remarque mais le "vide quantique" n'est pas un véritable vide, c'est-à-dire du rien ou néant, c'est seulement un vide de matière mais plein de particules quantiques ou d'énergie. Aucun nouvel élément n'a donc été ajouté au débat, car pour la physique quantique non plus il n'y a pas de commencement absolu à partir de rien.
@adissounegus-nagast2640
@adissounegus-nagast2640 11 ай бұрын
@ Attends, lorsque Pascal démontra par une certaine expérience que le vide existait , toute la communauté scientifique de l’époque pensait du coup qu’il avait tranché le débat scolastique sur l’existence ou pas du vide. Ensuite le débat pouvait encore être théorique à cause du formalisme de la thermodynamique qui implique l’hypothèse que le vide spatial soit en réalité rempli d’un « éther » complètement rigide quand la lumière ne s’y déplace pas; et après cette hypothèse sur le vide fut encore rejetée par le formalisme de la relativité restreinte dont les coordonnées de la lumière ne peuvent être relatives a un référentiel absolu; mais le débat ressurgit encore avec l’expérience du vide quantique. Donc pourquoi supposez vous que ma remarque n’est pas pertinente ? - puisque je dis précisément que le débat sur le vide n’a cessé d’agiter la communauté scientifique , contrairement à ce que soulignait maladroitement cette dame.
11 ай бұрын
@@adissounegus-nagast2640 Désolée si je vous ai mal compris. Il me semblait que vous vouliez dire que l'hypothèse du vide quantique a renouvelé le débat sur le vide. Si vous voulez dire que les scientifiques ont toujours cherché à répondre à cette question et continuent de le faire, alors nous sommes d'accord. Par contre il me semble que l'existence ou non d'un référentiel absolu est encore une autre question, car un tel référentiel est compatible aussi bien avec le vide (par exemple l'espace absolu de Newton) qu'avec l'absence de vide.
@adissounegus-nagast2640
@adissounegus-nagast2640 11 ай бұрын
@ Dans le formalisme de la thermodynamie tel que les physiciens le comprenaient au 19iem siècle, l’hypothèse de l’éther - qui était le support des ondes électromagnétiques - comptait comme référentiel absolu.
@gerardschmutz7782
@gerardschmutz7782 11 ай бұрын
C'est vraiment d'excellentes conférences
11 ай бұрын
Merci!
@gerardschmutz7782
@gerardschmutz7782 11 ай бұрын
C'est toujours un grand plaisir pour moi depuis 3 ans d'écouter en différé ces conférences. Félicitations
@lamarmottedefrance7819
@lamarmottedefrance7819 Жыл бұрын
Merci, merci et encore merci Vos vidéos m'ont changé et m'ont donné l'envie de lire Sartre !! Vous m'avez donné les premiers outils pour pouvoir affronter ce monstre qu'est L'être et le Neant ! Merci bcp !! Ce sont vos vidéos et vos conférences que l'on devrait passer tous les soirs à la télé, tant elles sont pédagogiques et intéressantes !!! Merci encore !!!!
11 ай бұрын
Un tout grand merci pour votre témoignage enthousiaste. Pour info, début 2024 va paraître un ouvrage d'explication beaucoup plus détaillé couvrant tout L'Être et le néant. La référence complète est: A. Stevens, Conscience et liberté. Une explication de L'Être et le néant de Sartre. Editions L'Atinoir, collection Université Populaire. Il sera disponible en librairie et sur le site latinoir.fr. Encore bonne écoute! Bien cordialement à vous.
@bouhschnou
@bouhschnou Жыл бұрын
8min d'introduction sans schéma... c'est long!
@ElBonhommeRouge
@ElBonhommeRouge Жыл бұрын
L'individualisme doit etre chassé de nos universités. C'est bon on a pu constater les résultats. C'est un echec . Lui et sa renfrognée psychotique de femme, Foucault, derida, deleuze A proscrire Il faut remettre Nietzsche, Shopenhauer spinoza au centre . Et les cyniques stoiciens . Tout ce qui peut renforcer les convictions patriotiques de nos enfants je parle des Français .
@Akililedjeli
@Akililedjeli Жыл бұрын
A partir de la 14 eme minute je note de l eurocentrisme ds votre facon de parler. Ex: l astronomie etait pratique en egypte juste pour des rites or le calendrier le plus scientifique que l humanite est connu sort de l egypte.
11 ай бұрын
Merci pour votre remarque. Je n'ai peut-être pas assez insisté sur le but de ces propos. Il ne s'agit aucunement de mettre en doute la qualité et l'exactitude des connaissances acquises par des cultures antérieures à celle de la Grèce. Il s'agit de faire la différence entre une entreprise proprement philosophique au sens où l'entendaient les Grecs et une connaissance ayant un autre but. Avant que la philosophie se donne pour but la connaissance pour la connaissance, les savoirs avaient un but pratique d'amélioration de la vie: l'astronomie pour la navigation et les récoltes, la géométrie pour l'arpentage, les plantes pour la médecine, etc. Certains s'inscrivaient en outre dans un cadre religieux (calendrier des rituels, assimilation des éléments naturels à des dieux, etc.). Tout cela se retrouve d'ailleurs aussi dans la civilisation grecque. C'est plutôt l'attitude philosophique (au sens large incluant la science fondamentale) qui est une exception, et c'est pourquoi on s'interroge pour comprendre comment elle a bien pu naître. Cela dit, je ne dirais jamais que le berceau de la philosophie est l'Europe. A l'époque la Grèce était totalement distincte de l'Europe: elle était tournée vers le bassin méditerranéen et considérait tout le reste du continent européen comme beaucoup moins avancé (ce qui était strictement vrai). Bien cordialement à vous.
@Akililedjeli
@Akililedjeli 11 ай бұрын
@ quelle definition donneriez vous a la phylosophie? Et quels en sont les domaines explores par les grecs?
11 ай бұрын
@@Akililedjeli Eh bien... c'est le contenu de tous ces cours... difficile à résumer en quelques lignes... Si vous voulez rapidement une vision d'ensemble, vous trouverez le sommaire à la fin de ce document: www.université-populaire-de-marseille.net/grece_2014/notes/premieres_philosophies_seance01_notes.pdf
@Akililedjeli
@Akililedjeli 11 ай бұрын
@ Okay Merci
@lamarmottedefrance7819
@lamarmottedefrance7819 Жыл бұрын
Incroyablee !! Merci bcp !!