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Comment répondre efficacement aux comportements intrusifs et dégradants ?
Ça vous est sans doute déjà arrivé de vous retrouver face à des personnes dépourvu d'empathie, qui ne se sentent absolument pas concernées par la manière dont leurs actions affectent les autres, des personnes sans gêne, des forceurs qui se sentent autorisés à utiliser les autres, à forcer pour parvenir à leurs fins.
Eléanore Roosevelt a écrit "Personne ne peut vous rabaisser sans votre consentement".
Et Face à ces gens Il est particulièrement important de développer la compétence de savoir tranquillement poser des limites fermes.
Voici sept approches efficaces pour reprendre votre pouvoir personnel.
La règle de base, c’est de ne jamais se justifier et de ne jamais se défendre jamais , n'expliquez jamais et ne vous défendez jamais les forceurs utilisent le questionnement, le « pourquoi » ou l'intimidation pour amener les autres à se remettre en question, à se mettre sur la défensive. Cela leur donne un sentiment de toute-puissance et de contrôle sur les autres, cela leur donne le sentiment d’avoir la main.
Le droit de décider ce que vous partagez avec les autres fait partie de la définition de vos propres limites. Moins vous partagez d'informations, en particulier d'informations personnelles, moins le forceur peut s'en servir contre vous.
Vous n'avez absolument pas besoin de justifier ni vos pensées, ni vos sentiments ni vos actions auprès d'un esprit chagrin intrusif.
1er contexte pour poser des limites, c’est lorsqu’un forceur vous critique, vous pouvez simplement répondre quelque chose comme : "J'entends votre opinion et je vais peut-être y réfléchir."
S'il remet en question vos actions, répondez : "J'ai une totale confiance dans mon choix".
S'il exige une explication, répondez : "C'est personnel" ou "Nous devrons simplement nous mettre d’accord sur le fait de ne pas être d'accord."
2e contexte pour poser des limites, c’est lorsque vous sentez que la conversation est toxique, inintéressante et que vous en train de perdre votre temps, ça vous est déjà arrivé ?
Votre temps est très précieux et
Vous n'avez jamais besoin de la permission de qui que ce soit pour quitter une conversation toxique. C'est vous-même , et non les autres, qui déterminez ce qui est sain pour vous.
Il suffit simplement de le regarder droit dans les yeux en souriant et de dire : « Je dois vous quitter et je vais vous souhaiter une bonne journée » et vous partez.
Si c’est plus facile pour vous, car vous avez peur ou que vous êtes dans un contexte hiérarchique au travail.
Vous pouvez regarder votre montre ou votre mobile et dire : " Regardez l'heure : Je suis en retard." Puis partir.
En retard pour quoi ?
Cela n'a pas d'importance, vous n’avez pas à justifier.
Gardez présent a l’esprit que chaque moment où vous restez en présence d'un comportement contrôlant ou abusif vous met en retard pour prendre soin de vous et faire avancer vos propres projets.
Dans un contexte hiérarchique, au travail, il peut parfois être nécessaire de manipuler pour vous préserver votre intégrité psychique, par exemple si votre patron est une personnalité toxique. Alors dans ce type de contexte, votre téléphone portable peut être un accessoire utile. Personne ne peut savoir avec certitude si vous avez reçu un appel. Dites simplement : "Je prends cet appel". Puis partez.
Vous pouvez également décider à l'avance du nombre de minutes que vous voulez accorder à un cette personne, puis réglez l'alarme de votre téléphone ou de votre montre pour qu'elle se déclenche à ce moment-là. Lorsque l'alarme retentit, éclipsez -vous.
Mais ce que je préfère et ce que je recommande, c’est de confronter directement le traitement malsain en disant quelque chose comme : "Je vais arrêter cette conversation. Nous pourrons parler une autre fois, lorsque vous serez prêt à avoir une conversation constructive" ou "Cette conversation n'est pas saine. Je ne participe pas à ce genre de dialogue, nous allons nous arrêter là."
3. Décidez en votre âme et conscience de ce que vous tolérerez et de ce que vous ne tolérerez pas, ça fait un bien fou.
Un élément clé pour poser des limites saines est de savoir quand dire non, et de le faire.
Demandez-vous simplement ce que vous êtes prêt à accepter des autres et ce que vous n'êtes pas prêt à accepter.
Par exemple, vous pouvez choisir d’accepter les plaisanteries de bon aloi, mais pas les sarcasmes.
Vous pouvez choisir d’accepter l'expression d'opinions passionnées, mais pas les injures ou les brimades.