Parfaite analyse (comme d hab). Oui les mots ont un sens.

Tellement bien analysé, les mots embarquer , trouver , c'est précis sans aucune ambiguité. Le type qui espionnait aux jumelles, tournait en voiture , faisait du repérage discret. C''était un homme qui appelait chez Autocoussin, un homme qui connaissait tout ...un homme qui avait du temps libre l'après-midi, un homme qui avait un chien, un homme jaloux du bonheur, un homme qui avait un problème de voix rauque, un homme qui avait accès à l'insuline peut-être ( pas encore de résultat ..à voir) . Le champs des possibles est très très réduit à deux où trois personnes complices surement et qui se partageaient les rôles.

J'ai beaucoup de difficulté à vous entendre , la musique couvre les mots , parfois ;en ce qui concerne l'appel , je ne savais pas qu'il avait dit ça , c'est tragique et horrible ..

Les menaces contre l'enfant étaient-elles aussi précises? Cet appel, reconstitué et dont la datation sera fluctuante, ne semble pas avoir fait l'objet d'une plainte à la gendarmerie de Bruyères, la brigade en charge du secteur du domicile familial. Aucune disposition ne semble avoir été prise: clôture, consignes aux voisins, à la nourrice, à l'école, à la famille(?). Si beaucoup savaient pour le harcèlement, l'enfant ne semblait pas bénéficier d'une protection particulière: fugue à la boulangerie chez sa grand-mère, visites régulières au veau chez Mr M. etc..... Dans son livre de 1985, CV n'évoque pas ces "menaces précises" contre son enfant. On peut comprendre qu'elle craignait un "procès en négligence" si elle relatait un avertissement aussi précis quelques mois avant. Alors ...., surinterprétation? Après coup?? C'est possible ..., aussi. La menace réelle, était-elle plus diffuse? Qu'au fond tout cela restait des paroles...., que jamais ..... Un truc qui me chiffonne: MiV craignait pour ses enfants et prendra des dispositions, MAL ne voulait pas dormir seule quand son mari était de nuit..... La forêt si oppressante...... , sans doute?

C’est quand même incroyable que si il fessait des rondes du côté du pavillon...il aurait dû être vu par un ou des témoins...qui aurait pu simplement déjà le décrire physiquement sur son buste au minimum...or personne ne dit rien sur lui...peut-être que certaines personnes ont eu des menaces et n’ont pas pu parler...

Merci Dame Les mots sont bruts en effet. Quasi une analyse "du bonhomme" à travers son vocabulaire. A travers cette phrase on sent sa colère. Prendre, embarquer, comme un paquet. "En bas" c'est la rivière. Ça f froid ds le dos. "Il" n'est pas bête, cette fois il en dit plus que d'habitude et appelle à Autocoussin pour ne pas être enregistré. C'est en 1983. Est-ce que tout de suite la gendarmerie est prévenue? Car l'enquête sur le corbeautage va être classée sans suite.

La musique de fond est un peu trop forte on entend mal votre voix

Ce sont les vraies paroles du corbeau ou les mots de JM?car ca serait très difficile de se rappeler précisément des paroles du corbeau!!

Bonsoir Dame, l'expression je l'embarque pour moi veut dire je le prends , je l'emporte .Merci.