Dame est fatigué ... ;)

Je dirais que l'enregistrement dans lequel l'appelant finit par raccrocher disant "au revoir" en forme de "excusez-moi", me fait exclure que Liliane ou son père aient été une cible. Il me semble que ceux-ci ne soient que des victimes indirectes même si peu de gens, à mon sens, ont été au courant ou témoin de l'appel passé la nuit par JMV à RJ pour le tester.

Dans mon souvenir, après cet appel, le corbeau a rappelé Liliane. Quand JM a appelé RJ dans la nuit, il s'est passé 8 jours entre l'appel de JM et l'appel d'Autocoussin. Je pense que RJ a dû en parler à Liliane et Jacky.

Les faits sont simples...

@@damereflexions3175 oui sans aucun doute

Rien ne s'oppose à ce qu'une personne déterminée s'empare d'un enfant sans défense, le neutralise et le mette à l'eau 6 km plus loin seulement en 20 minutes.

@@damereflexions3175 Personnelement ça me parait techniquement impossible: ligoter un enfant en plein jour, à l'extérieur, sans discretion me parait impossible et en si peu de temps: on ne ficelle pas un enfant si en plus on le tue, au bord d'une route ou sur un parking. De plus les enquêteurs penchent pour une mise à l'eau tardive à cause de l'état du corps au moment de sa découverte ( peu d'eau dans les poumons, aucune égratignure sur le corps ou habits, etc..)

Le Corbeau se trouve forcément, le plus souvent, en haut du bas qu'est la Vologne ! Qui est le Corbeau ?

@@pierre-im7hc Non, c'est une femme qui travestit sa voix quand elle craint d'être reconnue. Dans son livre, "Laissez-moi vous dire " CV semble connaître le sujet puisqu'elle écrit : " Il ou elle, disons le Corbeau ".

@@mariebezzina3111 éclairez nous

Mme Guyot n'a effectivement pas été interrogée par le Juge Simon en personne. Mais, le 14 juin 1989, deux gendarmes de Dijon travaillant sur l'affaire à l'époque l'ont auditionnée, sous l'instruction du Juge Simon, à la Brigade de son lieu de résidence et lui ont présenté le scellé contenant l'anorak de Grégory. Cela reste tout de même un peu tardif à mon goût et sept mois plus tard, le Juge Simon ayant subi un accident cardiaque, a totalement interrompu son instruction.

@@VLoli Merci pour votre réponse. Vous avez raison, cette audition de Mme Guyot en juin 89 reste tardive, pour ce qui reste un des rare témoignage de cette étrange affaire.

@@virginie6686 Professionnellement, ils doivent interroger Mme Guyot, sans a priori de culpabilité de qui que ce soit. J'apprend à l'instant par VLoli que cela a été réalisé en juin 89 (mieux vaut tard que jamais). Dont acte.

@@virginie6686 L'hypothèse "d'une complicité et d'un assassinat en 2 tps" ne repose sur strictement aucun témoignage. Dans l'émission ONPC de décembre 2019, Etienne Sesmat parle de l'importance du témoignage de Mme Guyot, qu'il ne faudrait pas jeter à la poubelle trop rapidement.

Convaincu, comme moi, de l'innocence de Christine Villemin, le juge Simon s'est employé à démontrer l'impossibilité d'un dépôt rapide du corps de Grégory à Docelles. En effet, la théorie du SRPJ, qui privilégiait un enlèvement et un dépôt en une seule fois, laissait entrevoir une possibilité, aussi ténue soit-elle, pour Christine d'avoir commis le crime, étant donné le timing serré. Un dépôt tardif, en revanche, la disculperait totalement. Pour étayer cette hypothèse d'un dépôt tardif, le juge Simon s'est appuyé sur plusieurs éléments : L'expertise du Dr. Marin et les reconstitutions avec chronométrage des trajets. Il a aussi été fortement marqué par le témoignage d'Albert Villemin, le grand-père de Grégory, qui a affirmé avoir senti le corps de l'enfant encore chaud après sa sortie de l'eau : > "Vendredi 25 septembre 1987. L'après-midi, audition des parents VILLEMIN, Albert et Monique, partie civile, dans la procédure suivie en l'état contre Christine VILLEMIN. Coup de théâtre. Albert VILLEMIN prétend, contre toute attente que des cordelettes saisies chez Jean-Marie VILLEMIN, huit mois après les faits et dans des conditions plus que suspectes par le commissaire CORAZZI au domicile de Jean Marie, pourtant vidé de tout et abandonné à la suite du drame, ne proviennent pas de Jean-Marie. Qui mieux est, il révèle qu'ayant pris l'enfant après qu'on l'eut sorti de l'eau, il a, passant sa main, sous l'anorak de l'enfant que la chaleur du corps était douce et non glacée alors que, selon la version jusque-là adoptée, le corps aurait séjourné quatre heures dans une eau torrentueuse. Je n'ose pas réagir ni regarder Edith GAUDIN. Elle m'avouera après n'avoir pas osé me regarder non plus. C'est un retournement de la part des parties civiles. Tout se met à coïncider avec ce que je constate et abonde dans le sens de l'innocence de Christine VILLEMIN.(Carnets Simon) " Cette affirmation conforte le juge Simon dans l'idée d'un dépôt tardif du corps, compatible avec l'innocence de Christine. Cependant, en concentrant toute son énergie à démontrer un dépôt tardif du corps pour disculper Christine, le juge Simon a paradoxalement fermé la porte à d'autres pistes, y compris pour d'autres suspects. Deux éléments auraient pu l'alerter sur cette impasse: les constatations du Docteur Petit lors de l'examen du corps, le rapport d'autopsie et le témoignage de Madame Guyot, suggérant tous trois un dépôt rapide, très tôt dans la soirée. Or, le juge Simon, n'a accordé qu'une importance relative à ces informations. Il a même délégué l'audition de Madame Guyot à ses gendarmes, un choix inhabituel pour lui. On peut se demander si cette décision n'est pas le signe d'une volonté, même inconsciente, d'écarter un témoignage qui contredisait sa théorie. En définitive, le juge Simon, en cherchant à innocenter Christine Villemin, a peut-être limité le champ des possibles et négligé des pistes qui auraient pu mener à la vérité, quel que soit le coupable.

Même consanguins, les gens faisaient beaucoup moins de fautes d’orthographe qu’aujourd’hui. Je ne vois pas de bagage culturel dans cette écriture. Seulement quelqu’un qui est allé jusqu’au collège.

Vraiment ? Si elle en avait de sérieux, pensez-vous ne serait-ce qu'une seconde qu'elle ne les aurait pas mis en examen régulièrement ? Ne répétez pas les âneries dispensées ici ou là ... En réalité, il n'y a strictement rien de plus qu'il y a 39 ans ... Quant au document professionnel se rapportant à la réunion dont on connait l'existence depuis 1985 (sans rapport avec eux à l'époque), il n'existe pas la moindre preuve qu'ils aient été ailleurs que dans l'enceinte de l'entreprise. Rien ne dit que si la juridiction qui n'a même pas eu besoin d'examiner les indices pour annuler les mises en examen (dans la mesure où la forme est toujours examinée avant), n'aurait pas pris la même décision en constatant l'absence d'éléments sérieux. N'oubliez pas que la décision d'annulation des mises en examen a été prise par les trois magistrats composant la chambre de l'instruction de DIJON présidée par son Président ACTUEL .... Arrêtez d'écouter et de croire n'importe quoi et n'importe qui ...

Aucune expertise judiciaire n'a été pour le moment sollicitée afin d'aller dans cette direction. Votre théorie aurait pour résultat de jeter le soupçon sur in fine tout le monde.

Non. J'y passe régulièrement ...

@@damereflexions3175 d’accord moi j’habite à 25 kms d Épinal tout près de Charmes 😉

Bonjour le discord n’existe plus? tu aurais le lien car celui que j’ai ne marche plus j’ai eu un bug discord

les chargés d'instruction de l'affaire savent parfaitement si il a une possibilité de pouvoir faire correspondre un individu avec le melange de 3 ADN , c'est le secret de polichinelle du dossier et ils ne veulent pas avouer la probabilité , inexistante à mon avis, de faire matcher quelqu'un. A quoi repond la communication des dernieres années sur l'ADN de parentelle ,le profil ADN et l'expertise des courriers ? pour moi c'est du Bluff et de la propagande pour montrer qu'ils sont actifs avec l'espoir que quelqu"un pourrait faire un faux pas .... Pas de communication sur la proportion de ce melange de 3 ADN , je pense pas que ca soit comme de l'huile et de l'eau dans un recipient

Tu as raison

Il peut y avoir les traces ADN de personnes qui ont manipulé la bobine de corde bien avant le 16 octobre (ouvrier textile, marchand / droguiste, personnes ayant acheté la bobine si elles sont différentes de l'assassin etc) d'où de nombreuses traces possibles ... Par ailleurs, le fait que l'intérieur du nœud ait été ciblé pour les analyses reflète peut être davantage les chances que de l'ADN ait été préservé là (protégé de l'eau courante de la rivière) plutôt que l'idée de viser la personne ayant "fait" le nœud (même si ce n'est pas exclusif...). Avec cette affaire où les scellés ont été délavés et/ou contaminés à outrance, il est important d'être prudent avec les ADN présents ; et quant aux ADN absents, il faut être encore plus prudent : absence de preuve ne vaut pas preuve d'absence ...

L'eau s'infiltre partout. Même dans les noeuds. Il y est resté un moment dans l'eau. Cette histoire d'ADN , n'arrive pas à me convaincre. ​@@angrybird4528

​@@angrybird4528 Si l'on élimine l'éventuelle ou les éventuelles personnes qui ont touché le noeud après les faits, la dernière trace qui restait sur les trois était peut-être celle de l'auteur ... Il faut évidemment tout essayer. Peut-être serait-il urgent d'attendre que nos techniques évoluent ... L'une des questions posées par ces recherches ADN est l'altération du support.

C'est ce que nous savons du rapport.

@@damereflexions3175 Le rapport est un peu léger !

@@Maat-- Je ne pense pas. Nous étions en 2009...

Très léger, il fallait aller dans le sens du vent ! Ce n'est pas parce que on ne trouve pas l'ADN d'une personne qu'elle n'est pas impliquée, de même, ce n'est parce quel 'ADN de quelqu'un est décelé, qu'il est en cause !!!!!! C'est le B-A BA de ces expertises, mais il faut un peu connaître l'expertise .... @@Maat--

D'après ce que je comprends, le laboratoire Biomnis n'a retrouvé aucune correspondance génétique auprès des "protagonistes" de l'affaire. Peut-être que depuis le début, ils ne sont pas sur la bonne piste tout simplement.

C'était la conclusion. Je m'y tiens.

A LUIS RIOS ! Quelque 150 personnes proches de l'affaire ont subi l'expertise, et RIEN !

@@mariebezzina3111 Salut Marie , RIEN en 2009 , certainement depuis il y eu de nouveaux prelevements , j'ai lu qu'il y a environ 350 ADN aujourd'hui,, j'imagine le nombre de personnes qui ont pu touchés les noeuds au seins des forces de l'ordre, Pompiers etc , quand on commence a soustraire toutes ces personnes et ca certainement vous devez avoir une vista plus precice ? le nombre de 350 parait assez faible au regard d'autres affaires comme l'affaire Dickinson. ou c'etait la peche au pellagique. je reste dubitatif sur la possibilité de pouvoir etablir une correspondance partielle entre les ADN receuillis et le melange d'ADN , parfois je me dis que les chargés d'instruction actuels sont au courant de cela et ne veulent pas avouer qu'il n'y aucune possibilité de faire correspondre ce melange de 3 ADN., ca doit etre le secret de polichinelle des chargés d'enquete aujourd'hui. Desolé pour les fautes et les accents , l'important c'est le contenu Agur

@@mariebezzina3111 attendons les expertises de Bordeaux ; le spécialiste a dit qu'il attend (si financement) une technologie qui permettra de séparer les 3 ADN mélangés (actuellement les méthodologies peuvent séparer seulement 2 ADN mélangés) ; résultats possibles cette année

Personne n'est témoin assisté à ce jour.

Article 80-1 du code de procédure pénale : A peine de nullité, le juge d'instruction ne peut mettre en examen que les personnes à l'encontre desquelles il existe des indices graves ou concordants rendant vraisemblable qu'elles aient pu participer, comme auteur ou comme complice, à la commission des infractions dont il est saisi. Il ne peut procéder à cette mise en examen qu'après avoir préalablement entendu les observations de la personne ou l'avoir mise en mesure de les faire, en étant assistée par son avocat, soit dans les conditions prévues par l'article 116 relatif à l'interrogatoire de première comparution, soit en tant que témoin assisté conformément aux dispositions des articles 113-1 à 113-8. Le juge d'instruction ne peut procéder à la mise en examen de la personne que s'il estime ne pas pouvoir recourir à la procédure de témoin assisté.

Non, c'est "OU" et c'est logique ... soit c'est grave, soit moins grave mais les indices sont concordants ... soit souvent les deux ...