Vous êtes hors sujet, ici il n'est pas question (dans l'esprit du juge Lambert) de la seule implication de MiV comme complice de BL mais bien d'une "triplette": CV-BL-MiV. * Vous nous parlez du juge Simon qui reprendra le dossier plus de deux ans après, l'interview de CV, ci-dessus, est du 24 novembre 1984 soit trois semaines après l'inculpation de BL. On le devine le juge Lambert "explore" de nouvelles pistes à l'aune des éléments qui sont arrivés sur son bureau depuis l'arrestation de BL, par exemple le témoignage des filles de la poste en possession des gendarmes depuis un mois mais retardé par leur entêtement à coincer leur suspect (les moulages de talon et pneu disparaîtront, eux, pour 18 mois, les cordelettes de tonton J. trouvées dès le 17 octobre seront-elles versée au dossier?). On comprend bien que dès fin novembre il était impossible que juge et gendarmes travaillent ensemble, il y avait une rupture totale de confiance? (Le refus de la perquisition du domicile des parents est-il de cette période?). Pourquoi a-t-il attendu encore deux mois pour confier l'enquête au SRPG comme l'avait réclamé Me Garaud dès son arrivée? Mystère, en tout cas on comprend mieux son désintéressement pour son inculpé/emprisonné. * Dans l'hypothèse """d'un couple diabolique""" lui adjoindre une personne reconnue peu fiable par tout le monde ne parait, avec le recul ( que n'avait pas le juge), pas très judicieux, au contraire d'en faire "l'idiot utile" de service.

Le juge Simon avait aussi de grand doute à ce sujet