en 1971 j'ai vu ce spectacle magnifique et je connais encore presque toutes les chansons par coeur.
@LucPatry4 жыл бұрын
jamais nous oublirons
@moleshaman30403 жыл бұрын
Chanson très émouvante qui décrit bien ce que de nombreux Communards ont du ressentir. Vive la Commune ! Près de 150 ans après...🔴
@firmanl30853 жыл бұрын
L'une des raisons qui ont fait que Marcel Mouloudji est boycotté, même post-mortem !! La dernière fois que quelqu'un en a parlé à la télé française, c'était Charles Aznavour et l'animateur ne l'a même pas laisser dire. Il couvrait sa voix avec la sienne. C'était flagrant. C'est honteux !
@louisaadjouati7143 жыл бұрын
Merci pour cette anecdote révélatrice de la non-démocratie qui p eut régner sur les plateaux de tèlevision et de l'esprit de solidarité avec Mouloudji manifesté par Charles Aznavour.
@nikkythanh9 жыл бұрын
un esprit fort et engagé !!!
@aycoco39 жыл бұрын
Superbe, merci pour cette découverte
@wina200910 жыл бұрын
Marcel Mouloudji est le fils d'un Kabyle (region d'Algérie), Saïd Mouloudji né en 1896 dans le village de Leflaye (tribu d'At Waghlis, daïra de Sidi-Aïch), et d'Eugénie Roux, une Bretonne, née en 19011.
@williammarie24793 жыл бұрын
Et on lui doit d'avoir servi la culture français et populaire.
@loursbourbonnais40533 жыл бұрын
@@williammarie2479 👍❌1000🎯🇫🇷✋🐻
@jeandanieljolivald62564 жыл бұрын
le pouvoir au bout du fusil...ça ne finira donc jamais?
@filouchaton39433 жыл бұрын
❤️❤️
@nielad2993 жыл бұрын
Tellement d’actualité. Non...éternel
@BBTITUDEBRIGITTE6 жыл бұрын
[Décharné, de haillons vêtu Fou de fièvre, au coin d'une impasse, Jean Misère s'est abattu Douleur, dit-il, n'es-tu pas lasse ?] {Refrain:} Ah mais ! Ah mais ! Ça ne finira donc jamais ? Ah mais ! Ah mais ! Ça ne finira donc jamais ? Pas un astre et pas un ami ! La place est déserte et perdue. S'il faisait sec, j'aurais dormi, Il pleut de la neige fondue. {au Refrain} Est-ce la fin, mon vieux pavé ? Tu vois : ni gîte, ni pitance. Ah, la poche au fiel a crevé. Je voudrais vomir l'existence. {au Refrain} Je fus bon ouvrier tailleur, Vieux, que suis-je ? Une loque immonde. C'est l'histoire du travailleur, Depuis que notre monde est monde. {au Refrain} Maigre salaire et nul repos, Il faut qu'on s'y fasse ou qu'on crève. Bonnets carrés et chassepots Ne se mettent jamais en grève. {au Refrain} Malheur ! Ils nous font la leçon, Ils prêchent l'ordre et la famille : La guerre a tué mon garçon, Le luxe a débauché ma fille ! {au Refrain} De ces détrousseurs inhumains, L'Eglise bénit les sacoches Et leur bon Dieu nous tient les mains Pendant qu'on fouille dans nos poches. {au Refrain} Un jour, le ciel s'est éclairé, Le soleil a lui dans mon bouge. J'ai pris l'arme d'un fédéré, Et j'ai suivi le drapeau rouge. {au Refrain} Mais, par mille, on nous coucha bas : C'était sinistre au clair de lune. Quand on m'a retiré du tas, J'ai crié "Vive la Commune !" {au Refrain} Adieu, martyrs de Satory ! Adieu, nos châteaux en Espagne ! Ah ! Mourons... Ce monde est pourri. On en sort comme on sort d'un bagne. {au Refrain} [A la morgue on coucha son corps. Et tous les jours, dalles de pierre, Vous étalez de nouveaux morts, Les otages de la misère ! {au Refrain}]