LÉGISLATIVES : LES VRAIS PROBLÈMES DERRIÈRE LE CHAOS MÉDIATIQUE ! 5 SCÉNARIOS D'ANTICIPATION

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Projet d'Avenir

Projet d'Avenir

12 күн бұрын

Malgré la forte agitation politico-méditique autour des élections, aucun parti ne propose de solutions pour régler les véritables problèmes que connaît la société française.
Voici dans cette vidéo :
• Les véritables problèmes de la société française (1:42)
• Les raisons de la déconnexion du système politique, avec les réalités économiques (4:10)
• 5 scénarios d'anticipation des conséquences de l'élection (9:09)
• Les signaux faibles annonciateurs de la fin de vie potentielle de la 5ème République (18:02)
• Et les éléments qui fonde un ultime espoir (23:21)
Quelle que soit l'issue de l'élection, nous connaîtrons très probablement des changements historiques.
Si elle vous a plu, n'hésitez pas à la partager 😉
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Quelques chiffres sur les partis politiques en France :
- www.france-politique.fr/finan...
- www.vie-publique.fr/en-bref/2...
- www.vie-publique.fr/fiches/24...
Playlist sur la vie politique française :
• DEVENIR PRÉSIDENT DE L...

Пікірлер: 13
@SabinePoilbout-ow3qo
@SabinePoilbout-ow3qo 8 күн бұрын
Analyse très pertinente 😉👍
@projetdavenir8433
@projetdavenir8433 8 күн бұрын
Merci beaucoup 😄
@sampajam6256
@sampajam6256 8 күн бұрын
-sur les richesses, je suis pas d'accord, on produit beaucoup de richesses, mais elle est concentré dans les mains de ceux qui sont déjà riche, en réalité on va vers une crise de la surproduction si on a pas une politique de relance, d'investissement massif et de redistribution, ils faut augmenter le revenu disponible des gens -totalement d'accord sur l'analyse de notre système politique complètement au chou -dans l'économie il y a toujours de l'idéologie, même quand le FMI agit, ça existe pas un gouvernement technique en économie, mais je suis d'accord aussi que dans tous les cas on va se prendre des problème économique profond -je pense aussi qu'on se dirige vers une récession dans tous les cas, reste à savoir ce qu'il y aura après
@projetdavenir8433
@projetdavenir8433 7 күн бұрын
Tout à fait d'accord avec vous. • Le système économique s'inscrit dans une idéologie, le capitalisme caractérisé par le bien fondé de la propriété privé (notamment des biens de production), la libre entreprise et la libre concurrence. Il peut être à tendance libérale (c'est-à-dire partir du principe que c'est l'exercice des libertés individuelles qui contribuent le mieux à la prospérité sociétale, d'où la volonté des libéraux d'avoir des normes et une fiscalité minimale), ou plutôt socialiste (= souhaiter une intervention de l'État plus ou moins forte pour corriger les dysfonctionnements du marchés et les externalités négatives du système économique). Quand je parle d'une approche "technocrate", c'est dans l'idée de s'appuyer sur le modèle existant comme s'il était naturel, et de chercher à le faire fonctionner (notamment au plan comptable et financier) sans remettre en question ses fondements. • Concernant à ce qu'il y aura après la récession, c'est en effet un grand impensé car il y a beaucoup d'analyses sur le système actuel, sur l'effondrement potentiel de la société, mais c'est plus difficile de trouver une vision de ce à quoi pourrait ressembler la société après. Elle sera sans doute beaucoup plus souhaitable et enviable que les images post-apocalyptiques que l'on trouve dans les œuvres de fiction. D'ici fin 2024 ou début 2025, je proposerai des éléments de réponse sur ce sujet avec un projet que je garde encore secret pour le moment 😉 • Pour la richesse, c'est vrai qu'on reste un des pays les plus riches et développé au monde, avec un des meilleurs systèmes de redistribution et de protection social. Dans l'absolu, il y a des problèmes de partout et ce modèle se dégrade, mais comparativement, nous nous situons dans le haut du panier. Pourtant, la France reste paradoxalement un des pays les plus pessimistes et les moins heureux au monde. Je ne pense toutefois pas qu'il soit possible de faire une relance économique sur le modèle d'une relance keynésienne. Cette politique économique est possible lorsque le pays est globalement autosuffisant pour que l'argent injecté par les pouvoirs publics puissent pleinement jouer son rôle d'effet levier. Lorsque Mitterrand avait tenté de relancé l'économie au début de son premier mandat, cela a explosé la dette publique (qui n'a eu de cesse de s'aggraver depuis) et cela a relancé l'économie européenne. Déjà en effet, dans les années 1980, la France importait beaucoup de biens et services du reste de l'Europe. Aujourd'hui, si plan de relance il devait y avoir, ça devrait être au niveau européen du fait du marché unique, et seulement s'il y avait des garanties que suffisamment de biens de consommation courante soient produits dans l'UE. (c'est sans doute l'Allemagne qui s'en sortirait le mieux, car elle a capté l'essentiel de la croissance européenne ces dernières années). Sinon, cela va aggraver encore plus la balance commerciale française - déficitaire depuis plusieurs années, et accélérer la dégradation économique globale. Il y aurait toutefois moyen d'éviter ce biais en appuyant les fonds de la relance sur des dispositifs de monnaies locales ou systèmes d'échanges à minima régionaux. Ce serait une bonne garantie que l'argent circule en France et joue pleinement son rôle d'effet levier. J'ai fait une vidéo sur le sujet des monnaies locales il y a quelques temps. kzfaq.info/get/bejne/sM2fZ6SXnqyYdY0.html • Concernant les inégalités de richesses, j'ai fait une réponse détaillée à un autre commentaire. C'est vrai que la paupérisation de la société (voire, des sociétés dans le monde) sera nuisible au tissu économique. Ce ne seront sans doute pas les grandes fortunes qui seront pénalisées à court et moyen termes, car : - Elles ont suffisamment d'actifs et de patrimoine pour tenir en cas de coup dur - Elles ont les réseaux et les savoir-faire pour faire des affaires et développer/pérenniser un empire financier - Du fait de leur taille, elles sont capables de trouver des opportunités à l'étranger et quitteront la France si le contexte ou la fiscalité/réglementation ne leur était pas assez favorables. - Les grandes entreprises sont les seules à réaliser des rendements et des économies d'échelle suffisants pour fournir des biens à prix bas (biens et services privilégiés par les consommateurs lorsque le pouvoir d'achat se contracte). Aussi, ce sont tous leurs concurrents plus petits qui disparaitront les premiers, absorbés par les grands. C'est ce qu'on observe par exemple dans la distribution : les petits commerces (notamment en centre ville) disparaissent au profit des grandes surfaces, qui elles-mêmes sont mises en péril par Amazon. On ne peut pas non plus fermer les yeux sur la précarité. Une hausse de la fiscalité impactera surtout les classes moyennes et le tissu de TPE-PME, groupes qui sont de plus en plus faibles (trop de pression fiscale) en comparaison des publics qui ont besoins de soutien (précarité en hausse). Si l'on prend la mesure du NFP d'augmenter le SMIC de 200 € (supposons nets), avec les cotisations salariales et patronales cela reviendrait à 400 €/mois à l'employeur. Rapporté à l'année, cela fera 400 € x 12 mois = 4 800 € de charges en plus pour un SMIC. Pour peu qu'il y en ait 2 et l'entrepreneur devrait générer 10 000 € de chiffre d'affaire supplémentaire à l'année... Un certain nombre de TPE et PME ne pourraient pas et pourraient licencier ou préférer ne pas embaucher... Je serai plutôt partisan de mesure d'éducation populaire rigoureuse et généralisée pour apprendre quelques grandes domaines de compétences essentiels : - la gestion financière (chacun étant libre de définir le niveau de richesse à atteindre) - l'entrepreneuriat (pour donner le choix, sachant qu'il y a plein de situation hybrides possibles entre salariat et entrepreneuriat) - le marketing et la communication, car d'une manière ou d'une autre, l'ensemble de l'économie vise à répondre à des besoins : (même si parfois ce que veulent les gens n'est pas forcément ce qui sert le mieux l'intérêt général...) Ces compétences seraient utiles autant pour la vie professionnel, que la gestion du ménage, ou encore que la sphère non marchande (associations, etc. confrontées elles-aussi à ces problématiques). Là encore, le projet de fin 2024 visera à apporter des éléments sur ce sujet 😊 Mais c'est là que l'on voit que toutes les problématiques sont liées et qu'il n'est pas évident d'apporter des réponses sur un aspect sans s'occuper des autres aussi.
@sampajam6256
@sampajam6256 6 күн бұрын
Merci pour cette réponse intéressante 😊
@orvaltudor3759
@orvaltudor3759 7 күн бұрын
Sauf que les richesses sont produites et vont dans les poches de quelques une, sinon comment expliquer que bernard arnault à DOUBLER sa fortune aussi facilement
@projetdavenir8433
@projetdavenir8433 7 күн бұрын
Pour l'instant oui, en effet des richesses sont produites, et ce qui est intéressant c'est de voir comment. Dans une logique d'entreprise, il peut y avoir des opportunités à prendre à l'étranger. Les logiques "territoriales" propres aux états ne s'appliquent donc pas vraiment (ce qui permet à de grandes entreprises multinationales d'ailleurs de jouer avec les législations pour faire de l'optimisation fiscale ou pour partir si le contexte ne leur convient pas). La logique des grandes fortunes est la suivante : développer des actifs économiques (des entreprises notamment) et réinvestir les revenus générés pour acquérir d'autres actifs, etc. dans une logique de croissance auto-entretenue qui leur permet d'accroître leur fortune sur plusieurs générations. Cela demande d'être accompagné par des spécialistes (gestionnaire de patrimoine par exemple) pour faire des montages intéressants et légaux, pour payer le moins d'impôts possibles et optimiser les gains. Mais le moteur de l'enrichissement reste surtout l'entrepreneuriat et l'investissement. Si cela leur semble "facile", c'est parce que ces personnes se sont spécialisées et ont gagné en expertise (parfois sur plusieurs générations) sur la manière d'accroître et faire fructifier un capital. Cette logique de développement d'actifs est bien expliqué par Robert KIYOSAKI dans ses livres, dont on trouve de très bons résumés sur KZfaq (notamment le plus connu "père riche, père pauvre"). Par exemple : kzfaq.info/get/bejne/jbhmgsmCkqqwlX0.html Le problème, à mon humble avis, ce n'est pas tant que des entrepreneurs et des grandes fortunes s'enrichissent. Le problème c'est qu'il n'y a pas de formation à la gestion financière et/ou à l'entrepreneuriat pour que tout le monde puisse s'enrichir un minimum (la richesse étant subjective : je la définirais ici comme avoir assez pour répondre à ses besoins personnels). Le but ce ne serait pas que tout le monde devienne entrepreneur ou milliardaire, car ce n'est pas fait pour tout le monde (c'est d'autres types de problèmes et de contraintes), mais de donner le choix pour que chacun puisse trouver le mode de vie qui lui convient le mieux. Cela supposerait de modifier le système éducatif dans son ensemble. Mais dans tous les cas, ce qui permet aujourd'hui aux grandes fortunes de s'enrichir se dégradera progressivement dans les prochaines années. Et ces grandes fortunes dépendent elles aussi d'une certaine stabilité sociétale et économique... (ici ou à l'étranger... à supposer qu'il y ait des pays qui ne soient pas touchés par les problématiques qui s'annoncent à l'avenir). Si le système bancaire et monétaire connaissait des difficultés importantes, que la consommation s'effondrait et que le contexte sécuritaire devenait préoccupant, elles connaîtront potentiellement aussi des difficultés comme tout le monde.
@user-xg6zz8qs3q
@user-xg6zz8qs3q 7 күн бұрын
J'aime bien ton analyse, mais le terme "extrême gauche" me fait pleurer dans le contexte du NFP. Le NFP est simplement une alliance des gauches socialiste démocrate. Je ne trouve pas le NFP assez radical. Ce parti ne va pas fondamentalement transformer la société. On pourra prévoir une stagflation générale avec le NFP au pouvoir (comme avec le parti Ensemble). Mais les violences sociales ne seront pas aussi présentes comparées au programme RN ou Ensemble (Je les mets dans le même panier : droite dure qui fragilise les salariés). Ouais, tu peux dire que je suis un gaucho radical. Mais on est d'accord sur l'idée qu'il faut changer de système politique
@projetdavenir8433
@projetdavenir8433 7 күн бұрын
Je suis d'accord que le NFP ne peut pas être catégorisé "d'extrême gauche". À titre personnel je n'utilise les termes de "gauche" et "droite" que pour aller vite, car cela ne décrit en rien les idées politiques sous-jacentes. Qu'en outre, ces 2 notions changent beaucoup selon les époques et les pays (par exemple la "gauche" américaine est beaucoup plus à droite que la "gauche française".) Lorsque je parle d'extrême gauche, c'est pour désigner une mouvance qui a - dans les grandes lignes - les caractéristiques suivantes : - Un rejet +/- radical du système politique et économique - Une opposition forte voire systématique à ce système, - Une culture du conflit, que ce soit dans l'idéologie (la lutte des classes marxistes, la résistance face à différentes formes d'oppressions...) ou dans les actes (manifestations dans des formes +/- pacifiques, grèves, blocages, casse, ZAD, sabotages d'installations type réseaux de téléphonie, actions subversives, squats, etc.) dans la lignée de ce que peuvent faire les Blacks Blocs par exemple. - Et globalement, un positionnement centré presque exclusivement sur des populations présentées (à tort ou à raison) comme fragiles et "victimes", et la défense de certaines minorités. Cette frange dite de l'extrême gauche, présente certaines similitudes avec l'extrême droite dans le rejet +/- radical du système, l'opposition à ce système et cette impression d'être "en guerre", avec en conséquence l'usage potentiel de la violence, et enfin, une forme de populisme (dans son sens premier, la défense du "peuple" par oppositions aux élites). Mais c'est sur le positionnement idéologique que les deux groupes s'opposent. Cette porosité s'observe au niveau électoral par moment, lorsque par exemple une grande partie des ouvriers qui votaient auparavant communiste avant les années 1990, se sont reporté sur le FN après, pour manifester leur mécontentement face à la désindustrialisation et aux problématiques qu'ils ont connu depuis. L'analyse ci-dessus est assez général, il y aurait pas mal de nuances à apporter. Avec cette logique, bien sûr que le NFP ne peut pas dans sa globalité être considéré comme de l'extrême gauche. Ce qui me préoccupe avec les mouvements politiques dits de "gauche", c'est qu'ils ne prennent pas suffisamment en compte les réalités entrepreneuriales. Ils peuvent critiquer les grandes fortune et les inégalités, mais à l'heure actuelle, ce sont les classes moyennes et le tissus de TPE-PME qui payent le plus d'impôts en France. Si la situation devient trop insoutenable fiscalement parlant, les contribuables partent et cela affaiblit encore plus le pays (cela inclut les expatriés dont le nombre a plus que doublé depuis les années 1980) En effet, plus la situation se dégradent, plus ces groupes sont mis à contribution, et c'est bien le problème : le système de redistribution français tel qu'il a été conçu, présuppose une classe moyenne importante. Mais cette dernière se réduit de plus en plus, et les populations qui ont besoin des mécanismes de solidarité sont de plus en plus nombreuses, ce qui n'est pas tenable à terme. L'entrepreneuriat présente d'autres formes de précarité (notamment pour les plus petites entreprises qui, en proportion de l'ensemble des entreprises, représentent la majorité du tissu économique français) : - Des impôts divers et variés, et des réglementations écrasantes (surtout dans un contexte d'économie ouverte) - Le besoin de gérer de nombreux aspects pour faire durer l'entreprise : trouver des clients, recruter et fidéliser du personnel (de plus en plus difficile... avec plus de 2 millions de postes à pourvoir en France à l'heure actuelle), réussir à générer assez de chiffre d'affaire pour que le chef d'entreprise puisse se payer lui aussi... - Des cotisations pour le chef d'entreprise, plus élevées que pour celles d'un salarié, avec pourtant une moins bonne protection sociale à l'issue - Des horaires de travail pour le même chef d'entreprise qui peuvent être excessives (plus de 50 heures par semaine) - ... Si l'on prend la mesure du NFP d'augmenter le SMIC de 200 € (supposons nets), avec les cotisations salariales et patronales cela reviendrait à 400 €/mois à l'employeur. Rapporté à l'année, cela fera 400 € x 12 mois = 4 800 € de charges en plus pour un SMIC. Pour peu qu'il y en ait 2 et l'entrepreneur devrait générer 10 000 € de chiffre d'affaire supplémentaire à l'année... Un certain nombre de TPE et PME ne pourraient pas et pourraient licencier ou préférer ne pas embaucher... Cela occasionnerait donc du chômage, un faible dynamisme économique et/ou le recours à des formes de travail potentiellement précaires (intérim, indépendants en autoentreprises avec des formes d'entreprécariat...) Ce sont donc ces aspects là du NFP qui pourraient être préjudiciables à l'économie et contribuer à l'occurrence de crises. Et globalement, la réponse à ces problématiques pour obtenir un système économique dynamique, où entrepreneurs et salariés seraient bien protégés et verraient leur travail facilité, serait de refondre le droit du travail, la fiscalité et tout ce qui fait le droit public de l'économie. Le seul grand parti à proposer des idées qui iraient peut-être dans ce sens, ce sont les Républicains. Le problème, c'est qu'ils occultent totalement les aspects sociaux et surtout environnementaux, qui sont les grands défis de notre époque. Dans ma vidéo, je dis que les partis fonctionnent comme des groupes d'intérêt. C'est dans ce sens : certains défendent les salariés, d'autres les entreprises, d'autres des populations qui se sentent marginalisées... Mais aucun parti ne cherche l'intérêt général. Électoralement, ce n'est certes pas vendeur de s'adresser à tout le monde, mais c'est aussi ce qui conduit notre système politique dans l'impasse. Dans tous les cas, il est illusoire d'essayer de revenir aux Trente Glorieuses, avec l'énergie bon marché, une croissance économique forte et un État-Providence puissant. La situation actuelle est inédite, il nous faut donc des solutions inédites elles-aussi ! "On ne résout pas les problèmes avec les mêmes façons de pensée, qui les ont engendrés" comme disait Einstein. C'est là où il serait intéressant collectivement (en dehors des luttes partisanes), de tout poser à plat sur la table, le plus factuellement possible, et de chercher des solutions techniques et pratiques, satisfaisantes pour le plus grand nombre 😉. Je prépare un projet pour fin 2024 ou début 2025 qui irait dans ce sens !
@citoyenlion7202
@citoyenlion7202 9 күн бұрын
Très bien la xénophobie affirmée. Marre de l'armée de réserve du capital qui fait baisser le coût du travail et contribue à la paupérisation globale du pays.
@projetdavenir8433
@projetdavenir8433 9 күн бұрын
Merci pour votre commentaire. La paupérisation du pays est bien réelle. Les délocalisations (rachats de start-ups, d'industries...), les progrès technologiques (robotisation, IA...), le faible dynamisme économique (charges importantes, faible dynamisme économique...), l'inflation... sont des éléments qui y contribuent grandement, mais ce n'est pas évident de l'attribuer à l'immigration. À l'heure actuelle, il y a a priori, plus de 2 millions de chômeurs et presque 3 millions de postes à pourvoir. Ce paradoxe pourrait s'expliquer sans doute parce que les compétences des chômeurs, leurs aspirations et leurs lieux de vie ne sont pas en adéquation avec les besoins sur le marché du travail. Il semble difficile et hasardeux d'attribuer à l'immigration la responsabilité de la dégradation économique, liée principalement à des causes systémiques. Les populations immigrés (à préciser lesquelles, car il y a plusieurs typologies très variées) sont en effets parmi celles qui sont le plus touchées par le chômage et la pauvreté, ce qui peut entraîner dans certains contextes, d'autres conséquences (délinquance, trafics). Ces populations occupent en outre des postes qui ne sont pas prisés autrement, du fait d'une certaine pénibilité. En parallèle, il y a une émigration croissante des Français (expatriés, fuite des cerveaux...) Et de manière générale, il y a un effondrement démographique général en Europe où le nombre décès est supérieur au nombre de naissance. Sauf à réformer en profondeur l'ensemble des modes de fonctionnement des retraites et de toutes les mesures de solidarité et de redistribution des richesses, il semble impossible de stopper toute forme d'immigration et d'espérer e même temps une forme de prospérité sociétale. Sur les immigrations en France, je vous recommande cet atlas qui permet de bien discerner les différents aspects de la problématique. www.autrement.com/atlas-des-immigrations-en-france/9782746762077 Pour les chiffres de l'emploi et du chômage, voici deux sites : www.insee.fr/fr/statistiques/8187337 statistiques.pole-emploi.org/offres/publication
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