***** Hein pourquoi ???? Croissez chers psychonautes, multipliez vous et envahissons le net ;) Ouh la la, il va falloir que je retourne chez mon psy, moi ;) Chris du Psylab

***** Thanks ! Ca sera sans doute un épisode court, mais c'est en projet ! Jeff du Psylab

Le PsyLab Je plussoie ! Chris du même Psylab

Le PsyLab Ah merci ! ça fait longtemps que je me pose des questions sur ce test !

+ArthurDarkV Ah mais cet épisode est magnifique, peut-être même mon préféré de la série. Et c'est pas SEULEMENT parce qu'il y a un personnage de psy intelligent et bienveillant (ce qui est rare) ;) Jeff

Olympe Hortense C'est en cours...Chris

2-宵 Y O I Heureux que nos (enfin plus précisément celles de Jeff) références te séduisent ! Stay tuned Chris du psylab

Le PsyLab Le test de Rorschach nos SVP

Duba style Merci beaucoup ! Ca fait vraiment plaisir ! N'hésitez pas à proposer des sujets pour Psyché et n'oubliez pas : la folie est souvent la meilleure façon de réagir face à la réalité...

Perside de Saint Pierre Bonjour et merci pour ton attention et ton commentaire ! Mais, en ce qui concerne le rôle des Cumps, cela dépend visiblement des régions : pour nous (à Lille et à Fort de France), la Cump assure aussi le defusing et l'IPPI (version française du debriefing). mais nous parlons sans doute de "temps" différents : ces trois types d'intervention ne se font effectivement pas dans le même temps… A tout bientôt Chris du Psylab

Hello cher Psychonaute et merci ! En voilà une question qu'elle est drôlement pertinente ! Tellement pertinente en fait qu'il est assez difficile d'y répondre de façon univoque car le rapport à notre propre psychisme évolue sans cesse au cours de nos études et au gré de nos rencontres… Dans un premier temps, comme d'ailleurs tout étudiant en médecine, en psycho ou je suppose en sciences humaines, on tente d'assimiler la "foultitude" de théories qui tentent de rendre compte du fonctionnement psychique et par la même, on a évidemment tendance à les "vérifier" par l'étude des proches et de soi-même. Cette expérience, assez grisante pour ma part, permet déjà de se "découvrir", de se "connaître" un peu plus soi-même pour le meilleur et pour le… pire. Dans un second temps, on s'efforce (bien souvent grâce à nos ainés) de prendre du recul c'est à dire à apprendre à ne pas confondre son propre fonctionnement psychique avec celui des autres tout en utilisant nos propres expériences pour développer nos capacités d'empathie sans être "débordé" par celles des autres. Ensuite, eh bien, on "murit" et on s'efforce de séparer les champs de l'activité professionnelle de la sphère intime… En y parvenant plus ou moins bien selon les circonstances (voir le magnifique film "La Chambre du Fils" de et avec Nani Moretti) ! Toutefois, les pièges sont nombreux : si on se "détache" trop de l'autre, on s'en éloigne et la relation thérapeutique se transforme peu à peu en un jeu de questions/réponses où le thérapeute énonce des principes dogmatiques plaqués et souvent inadaptés au patient ; à l'inverse si l'on s'investit "corps et âme" dans la relation, on ne dispose plus du recul nécessaire pour analyser la situation et aider l'autre. Etre "Psy" c'est naviguer sans cesse entre ces deux pôles tout en en étant parfaitement conscient ! Lorsque nous devons consulter un confrère, il est bien évident que, dans un premier temps (et j'allais dire par déformation professionnelle), nous allons tenter de le "percer" à jour (c'est d'ailleurs ce qui rend particulièrement difficile de soigner un soignant) mais rapidement, l'émotion pend le pas et une véritable relation thérapeutique peut s'installer. J'espère que cette réponse t'aura (un peu) éclairé… A tout bientôt Chris du PsyLab

Le PsyLab Donc le fait de connaître les pièges est le premier pas pour les éviter. Ça ne doit pas être évident pour autant. Merci en tout cas de cette réponse complète :)

daistarry You're welcome ! Mais surtout ta question va nous donner des idées… Peut-être un Fovéa sur la Chambre du Fils ? Chris du PsyLab

Le PsyLab Etant étudiante en Psycho je vous remercie pour ce commentaire qui me prouve que je ne suis pas toute seule à éprouver ce sentiment et qui me rassure sur le fait qu'il va s'atténuer. J'avais cependant une question: Dans cette émission (et peut etre les autres je n'ai pas encore eu l'occasion de toutes les voir) vous parlez beaucoup du rôle du psychiatre, est-ce une métonymie pour désigner toute la profession des psychologues cliniques, psychanalystes...?

C'est dans les cartons ! Les grands esprits se rencontrent ;)

Nikolai .Nekodayo So desu neeeee... Merci pour la précision, on fera plus gaffe la prochaine fois ! Ja, mata ! Jeff du Psylab

Mais de rien, c'est moi vous remercie. C'est un super animé. :3 Mata ne !

Nissa-San On va essayer de faire une chronique courte là-dessus dès que nous aurons achevé nos quinze chroniques à venir... ;) A tout bientôt Chris du Psylab

PixelR4ge non c'est pas long

Bien vu ;) Jeff

Étron à roulettes Merci chère déjection automobile ! Chris du Psylab

Pedro Sanchau Le doute est permis. Et même recommandé ! Ne pas parler des TCC, c'était un choix formel, pas de fond. On en parlera, juré craché. Jeff du Psylab

Le PsyLab Il est vrai que cela doit être difficile d'allier information précise et références culturelles obligatoirement. Les TCC ne sont pas du tout sexy à l'écran.

EXACTEMENT ! :) Jeff du PsyLab

Pedro Sanchau Je rajouterais toutefois que nous avons parlé de l'EMDR qui a été développé et qui est même revendiqué par le courant TCC. Par ailleurs, nous n'avons pas évoqué les thérapeutiques médicamenteuses pour les mêmes raisons. Difficile de faire le tour complet en 15 minutes ! Mais, promis, on y reviendra ! Chris du Psylab

Perso je me fiche bien que ma thérapie soit ou non recommandée par la HAS, du moment qu'elle fonctionne ! Je souffre de stress post-traumatique, et la thérapie analytique me fait vraiment du bien (malgré les difficultés dues à un mutisme récurrent, qui aide pas pour une thérapie basée sur la parole). Au fond, ce qui compte le plus je crois, ce n'est pas le mode de thérapie, mais la relation soignant-soigné, le choix de la thérapie par le patient, et sa croyance en ce traitement (on m'aurait forcée à faire une TCC, je suis certaine que j'aurais fait zéro progrès).