Merci TIKOKH

Bonjour Ismaël, Si les murs sont mitoyens, les isoler peut être inutile trhermiquement si les constructions adjacentes sont habitées car il n'y aurait qu'un. très faible delta de température avec la face externe de ces murs. Phoniquement ça peut se défendre, selon la nature du mur et les émissions de bruit des voisins. Isoler des plafonds entre des parties habitables d'une m^me maison et pour les mêmes occupants ne peut se justifier que dans le cas d'une possibilité "d'ilotage" ou réduction de surface occupée et donc chauffée, l'hiver. Par contre phoniquement la chose peut, là aussi, se justifier… alors plutôt choisir un ,isolant -végétal, plus performant dans ce domaine. De plus, si la pose est correctement faite, on corrige déjà beaucoup avec 50mm ! Bon chantier

Plaisir et service !

Avec plaisir 🙂

Merci à vous.

Plaisir

Un grand merci !

Merci JeanMarck

Effectivement le chanvre présente de nombreuses qualités , j'ai essayé de les mettre en évidence dans une vidéo (au son très mauvais, désolé !) : kzfaq.info/get/bejne/fbGdh9Fip-C2fGw.html

Si le diagnostic n'est pas adéquat ou si, bien qu'adéquat, il n'est suivi qu'en partie, alors oui le bien espéré peut être pire que le mal craint.

Merci d'avoir apprécié et de l'abonnement, je pense que vous ne le regretterez pas car à partir de cet automne, je remets en route la caméra et vais initier des cycles qui devraient vous plaire. Le problème global est qu'on ne se pose pas les bonnes questions mais seulement d répondre à des contraintes… administratives ou réglementaires ou de calculs (par ailleurs très justes dans le résultat chiffré (dit autrement, pas d'erreur de calcul) mais très faux sur le plan de ce qu'ils vont donner lors de l'exploitation car faits sur des équations totalement incomplètes (quid de l'inertie, quid de la densité, quid de la chaleur spécifiques, valeurs en intrinsèques ayant une influence considérable sur le déphasage, sur la diffusivité, sur l'effusivité, qualités royalement ignorées). Les calculs style tableur satisfont ceux qui les font, ceux à qui on les remet mais qui a mis au point le logiciel de calcul ? Forcément une équipe d programmeurs, et ils ne peuvent tout simplement pas tenir compte d eme qui aurait de l'importance : le ressenti d confort, celui qui va impacter le mode d'exploitation ou être impacté par lui, celui qui s'appuie sur du subjectif, tout ce que les meilleurs informaticiens du monde ne pouvant pas prendre en compte. En fait, tous les cas sont différents puisque tous les occupants le sont. On devrait donc, non pas uniformiser les moyens à meyttre en œuvre pour obtenir un air à une température donnée, mais programmer des émissions et transferts de chaleur par rayonnement par exemple, sachant qu'on peut être dans un très bon niveau de confort thermique dans un air froid mais entouré d'éléments (cloisons, meubles…) qui émettent beaucoup d'infrarouge. Il faut tirer un grand coup de pied dans le fourmilière actuelle et construire ce que les termites savent faire en plein désert australien, sans mécanique, sans technique hypersophistiquuée, sans clim, un température et une hygrométrie idéale et stables, celles qui leur conviennent bien, en s'appuyant simplement sur ce que la nature leur propose depuis toujours ; des points plus chauds, des points plus froids, des cheminements de renouvellement d'air qu'il faut organiser, du rafraichissement adiabatique… et, quelque soit la température extérieure, des conditions de vie optimums ! Quand à l'affirmation disant que le béton ou le parpaing seraient mauvais en perspirance, certes ils sont moins bons que du bois par exemple, mais tellement meilleurs que beaucoup des pierres utilisées dans la construction que je me garderais bien de les disqualifier pour cette raison, il y a en tellement d'autres, vraiment inattaquables qu'il ne faut pas prêter le flan à la controverse. Pour ma part j'ai fourni un tableau présentant les valeurs de divers matériaux à la fin de mes 2 ouvrages publiés chez Terre vivante éditions et, sur la valeur Mu, il y a de quoi faire voler en éclat cette idée préconçue de la perspirance proche de nulle des bétons au ciment Portland. Attention, je ne suis ni devenu un adepte du ciment Portland ni un prescripteur de ce liant sur des murs en pierre, pisé ou bauge par exemple, simplement j'essaie de demeurer impartial et objectif. L'ouvrage que je conseille pour quiconque n'en n'est pl-us ou pas à se poser al question "construire ou rénover ?" mais p^lus à chercher la ou les voies les meilleures, les plus pertinentes pour atteindre le confort (pour rappel ou info, l'aspiration N°1 de 72% des gens qui souhaitent améliorer leur habitat) est 3Les clés du confort thermique et écologique". Le qualificatif "écologique" a été rajouté, pour ne pas dire imposé, par l'éditeur, pensant que ça bosserait les ventes, or le confort n'est pas parce qu'il répond à des critère écologiques, il est ou il n'est pas… ensuite il es effectivement bien de préférer l'atteindre par en respect des principes de l'écologie… Je vous encourage à cet achat, 25€ qui pourraient bien décoiffer un peu. Pour info, sur mon site internet www.papyclaude.fr/à-propos/quelques-réalisations-passées/mob-en-2007/, vous trouverez cet exemple de réalisation faite en 2006 et qui atteint des résultats que les propriétaires de bien des constructions plus récentes n'imaginent même pas en rêve, ceci avec 145MM de ouate de cellulose projetée humide en murs, 280 mm de ouate insufflée en toiture et 180 au sol dans un solivage. Pas de clim, un ami en ayant visité une récemment pendant la 1#ère canicule à mi-juin 2022 m'a dit au téléphone, encore sous le choc due cette découverte : j'ai cru entrer dans une maison ancienne à murs en pierre de 80 cm er sol etn terre cuite directement sur terre plain…

@@PapyClaude Merci infiniment pour votre retour très argumenté qui challenge mon projet de construction et surtout ma soif d'apprendre pour me construire l'habitat le mieux pensé du point de vue bioclimatique et homéostasique. J'ai encore tellement de choses à apprendre et la vulgarisation technique autour de la thermique du bâtiment m'aide à y voir plus clair, particulièrement votre vidéo très utile sur le déphasage thermique. Les explications sont clairs et efficaces et déjà je perçois bien que vos publications ont un fil conducteur cohérent : celle de nous rendre collectivement plus sensibilisé aux vrais questions qui amène derrière aux bon choix en matière d'écoconstruction durable car résiliente à son environnement. Je me permettrais de revenir vers vous tantôt au moment de la conception des plans après avoir bien assimilé les points saillants du confort thermique dans l'habitat. Encore merci pour vos partages de connaissances, ça oriente mon projet dans le bon sens, amicalement.

Merci Sinan, peace effectivement !

Plaisir et service

👍

Merci Jean-Yves

Merci Justin

Merci beaucoup 👍

Aucun doute, le polystyrène, amélioré ou pas, il faut éviter. Par contre le liège est trop précieux pour être utilisé sur l'ensembles des murs d'une maison, il faut le réserver pour les endroits très humides, là où rien d'autres, dans la gamme des produits biosourcés, ne peut lui être substitué. De la laine de bois, de lin, de chanvre, trio, de coton, de foin ou autres solutions telles que paille pourraient parfaitement remplir cette fonction avec un total bonheur.

Bons choix

Oui, c'est pour le moins normal car vous cumulez plusieurs handicaps : - climat chaud et jamais très éloigné de 'océan ou de la mer, donc air chaud et … humide, - beaucoup de climatisation : refroidissement provoqué de l'air chaud et humide, ce qui génère de la condensation (point d rosée), - non renouvellement d'air permanent et, surtout, probablement mal maîtrisé quand aux horaires de renouvellement, - isolant très peur ouvert à la perméance de la vapeur d'eau… J'ai écrit plusieurs articles qui traitent de ce type d sujet sur Build-green. Tu en trouveras en lien sur l'article suivant (récapitulatif de mes publications 2018). Tu pourras en trouver d'autres publiés depuis le début de cette année via une recherche directe sur le site BG : www.build-green.fr/un-coup-doeil-dans-le-retroviseur-2018/

@@PapyClaude Merci ! 😃👍

Plaisir !

Merci d'apprécier mon travail

@@PapyClaude Je vous en prie, Merci à vous 🙂

Merci d'un autre papy…

Bonjour Remi Jean, Oui, il y a même toute une famille d'isolants qui répond mieux que les autres aux défis de bla chaleur l'été, ce sont ceux d'origine végétale. Ceci s'explique par une meilleure capacité en chaleur spécifique et une densité de mise en œuvre plus élevée. Voir ma vidéo sur le déphasage : Le déphasage thermique, c'est quoi ? Voir aussi un article sur les raisons de la mise dos à dos par le justice de St Gobain et sa laine de verre vs Actis et ses matériaux réfléchissants minces (ce qui ne veut pas dire que l'un serait meilleur que l'autre). Cet article est assez ardu, il est long mais j'y décortique ce que je pense qu'il faudrait faire dans les toits et pourquoi les isolants d'origine végétale sont plus performants, en tout cas sur ce point (et globalement). : Actis vs St Gobain : Pourquoi la laine de verre a perdu son procès ?

Oui, mais pour en être certain rien ne remplacera l'analyse d'un habitologue… si faible dépense eu égard aux sommes que vous allez, globalement, engager ! Et investissement tellement vite amorti car, à n'en pas doûter et malgré votre bonne volonté et, je n'en doûte pas, tous les renseignements glanés ici ou là, les acquis de leur formation, leur œil affûté par l'expérience, leur approche visant à toujours satisfaire votre confort tout en respectant votre maison et leur impartialité feront toujours la différences, vous évitant proibablement des travaux inutiles et en soulignant d'autres que, peut-être, vous auriez ignorés… habitologue.com/yb

Merci Mazigri

Tout à fait, voici un article que j'ai écrit à ce sujet : - www.build-green.fr/notre-avis-sur-les-materiaux-a-changement-de-phase/

Merci Delavega, c'est toujours intéressant d'avoir une appréciation positive de la part d'une fine lame ! J'aborde ces incidences dans un e série d'articles sur Build Green. L'épaisseur d'isolant n'a de véritable importance que sur la consommation d'énergie pour maintenir à une température déterminée. Il faudrait prendre en compte de nombreux autres critères : la chaleur spécifique et la densité entre autres. Ces 2 capacités ont une influence très importante sur la diffusivité (très important l'hiver) et sur lie déphasage (très important l'été). Il faut aussi prendre en considération la nature de l'isolant (minéral, biosourcé, pétrochimique), la nature et les capacités propres des murs porteurs, la perspirance de la paroi, la portion et la désorption, des isolants … Comme vous pouvez le voir, c'est comme une joute qu'aurait pu mener Don Diégo, tout en complexité et finesse ! Tout ceci est à la fois simple dans ses objectifs et complexe dans les moyens d'y parvenir. En plus d'un 1er livre à sortir en sept prochain chez Terre Vivante, dédié aux questions diverses entre rénover ou construire, avec un objectif écologique bien sûr, j'ai un projet de livre (déjà écrit à 95%, en cours de correction) à paraître en 2021 chez Terre vVivante également, lequel portera sur l'objectif de tout un chacun dans son habitat : le confort. La trilogie sera complétée dans un 3ème à suivre, en cours de rédaction (70% écrit à ce jour mars 2020), lequel portera sur les performances réelles d'un habitat, au plan thermique, avec quelques idées préconçues qu'il faudra faire tomber et quelques vérités, connues d'un très petit nombre, mais qui changent beaucoup de choses dans l'abord de la thermie. Ce pavé global d'environ 800 à 900 pages en 3 volumes, tel que décrit ci-avant, sera accompagné de quelques satellites sous al forme de petits livres chacun dédié à une thème, tel que : "la gestion des remontées capillaires", "le renouvellement d'air", "Gérer la thermes d'été" … En attendant de disposer ce qui, je le pense sincèrement, devrait provoquer un changement de paradigme, il est toujours possible d'opter pour un coaching personnalisé : www.papyclaude.fr/particulier/les-bonnes-questions-dans-tous-les-cas/

Bonjour, oui c'est possible mais moins bien pour l'évacuation de la vapeur d'eau qui, lorsqu'elle a commencé son chemin dans des matériaux solides, donc sous forme liquide très souvent (particulièrement les remontées capillaires), va devoir repasser par une phase gazeuse, donc évaporation sur la partie chaude du mur (ce qui consomme des calories) pour, ensuite, se re-liquéfier en arrivant vers l'isolant, ce qui libère d l'énergie. On accentue ainsi les fuites calories vers l'extérieur non plus selon les lois de da thermie mais selon les lois de changement de phase d'un matériau. Cet espace doit être fermé par rapport à l'air extérieur car sinon l'isolant devient bien évidemment quasi inopérant ! Il va de soi que je me positionne dans el cas d'un isolant et de parements finaux perspirants !

Bonjour, Il faut d'abord changer les menuiseries extérieures puis isoler par l'intérieur contre les murs extérieurs, en prenant soin de bien intégrer les chasses des menuiserie dans l'isolant. Dans l'idéal, il faudrait faire le choix d'un isolant végétal. Les entreprises sont habituées à travailler des panneaux, ne pas trop les bousculer dans leurs habitudes est préférable, dans ce contexte, vous pouvez vous orienter vers de la laine de bois, de la laine de lin, de chanvre, de foin, de paille de riz, du liège en panneaux (à mon avis à réserver à des usages plus nobles, plus cher, mais possible quand même), composite (chez Cavac par exemple). Il faut bien protéger l'isolant des risques de condensation (que cet isolant soit végétal ou minéral) par la pose d'un pare-vapeur mis en œuvre dans les règles de l'art, lés à recouvrement, correctement jointés, PV non percé et non déchiré, sinon "réparé", correctement lié à la structure du bâti. Un parevapeur hygroréglable serait préférable à un PV à Sd fixe.

Je ne prévoierais pas en liège mais plutot autre isolant végétal, le liège étant, à mon avis, à reéserver aux milieux humides. L'épaisseur dépendra de la nature du contextev général : entre autres présence ou non de masse…

Bonsoir, En ce qui concerne les rongeurs, la ouate d cellulose en vrac est l'option la plus répulsive. Ce sont des animaux à truffe humide et la ouate restant, par nature, poussiéreuse, il s'en colle sur leur truffe, ce qui semble leur être fort désagréable, un peu comme un loustic dans notre nez. Par ailleurs, l'aspect dessinant (asséchant) de la ouate, naturel du fait de sa composition principale qui est du papier, est accentué par la présence de sel de bore et l'assèchement de la truffe leur est insupportable. Enfin, si un. rongeur veut y faire une galerie, elle se referme derrière lui, ce qui l'étouffe et, attendu que le bore est un bactéricide en plus d'être un dessinant, la bestiole est momifiée sans dégagement d'odeur Pour moi c'est le meilleur choix vis à) vis des rongeurs. Lorsque j'ai démarré, autrefois, avec ce produit, c'est pour cet usage de répulsif que d'ex-collègues charpentiers m'ont confié de premiers chantiers, en vue d'éradiquer des fouines trop envahissantes ! En ce qui concerne les conduits feu, la législation est simple : ile st interdit d'isoler la périphérie de l'évacuation des fumées, non pas pour des risques d'inflammabilité des isolants mais pour éviter les pièges à chaleur ainsi constitués et donc cette législation s'applique à tous les isolants, inflammables, ignifugés, non inflammables, peu importe, interdiction générale de coller l'isolant contre le conduit d'évacuation des fumées ! Voir ma vidéo suivante : kzfaq.info/get/bejne/geBgd7KIxLrZeZ8.html

Non, un phare-vapeur est destiné à gérer la migration de la vapeur d'eau entre deux volumes à température très différente. C'est le Delta T qui l'impose, or entre deux volume habités et chauffés, il n'est pas nécessaire de prévoir un PV puisque les deux températures sont très proches.

Avec plaisir

Bonjour Cyril. Le choix de la laine de bois est indéniablement excellent.. Cependant, il ne faut pas perdre de vue que la lutte contre la chaleur en période caniculaire est très difficile car il fait encore très (trop) chaud la nuit. Les calories stockées dans les isolant ne pourront donc pas c'évacuer pendant cette période noctune. Deux systèmes peuvent à mon avis aider : - le puits canadien (pour moi, ces périodes sont, sous nos latitudes, sa -seule justification). Voici un lien vers un article que je leur ai dédié (aux puits canadiens) : www.build-green.fr/le-puits-canadien-provencal-climatique-la-solution/ - des parements lourds sur l'intérieur des murs extérieurs ainsi que des cloisons lourdes et denses à l'intérieur. D'ailleurs, je mettrais volontierss des serpentin dans ces enduits lourds, ceci afin de m'en servir pour chauffer l'hiver et ainsi disposer de masse thermique et de rayonnement et, l'été, la capacité de puiser des calories dans ces parements (s'il fait trop chaud et que les calories traversent malgré tout car l'isolant ne pourrait pas se décharger de ce stock de chaleur). Pour évacuer les calories je mettrais ces serpentins en lien avec un circuit style géothermie de surface (à plus de 1,50 m de profond), ce qui chargerait le sol en calories (naturellement il s'y situe aux environs de 12° tout en déchargeant le fluide de sa propre chaleur. L'hiver, je puiserais les calories via ce même réseau extérieur et le couplerais avec une pompe à chaleur eau/eau … Ainsi, tout bénéfice l'été et tout bénéfice l'hiver ! Si vous voulez qu'on développe, merci d eme contacter via mon site web, ce sera à titre onéreux, mais très raisonnable, - soit en conseil en une fois : www.papyclaude.fr/particulier/accompagnement-avant-travaux/analyse-avant-travaux/ -soit sous forme de coaching : www.papyclaude.fr/particulier/accompagnement-avant-travaux/coaching-le-temps-des-travaux-ou-de-la-construction/

Oui c'est ça, cependant l'isolation n'est pas l'alpha et l'oméga du confort, il s'en faut de beaucoup. J'ai commis un ouvrage entier sur ce sujet et, surtout, sur les autres aspects que l'isolation qu'il faudrait prendre end compte, même si le "bébé isolation" n'est pas à jeter avec l'eau du bain ! Il sera disponible en librairie le 28 septembre prochain, publié aux Ed. Terre vivante : "Les clés du confort thermique écologique". 227 pages en 23 chapitres eux-mêmes en 5 parties. Le tout, j'espère, permettra au plus grand nombre de bien comprendre les phénomènes en jeu…

Plaisir d'être utile !

Je les classe parmi les biosourcés. La laine de mouton est un isolant intéressant mais pas plus que d'autres non plus et elle est porteuse de ses propres handicaps, entre autres la protection contre les mites.

@@PapyClaude Merci d'avoir pris le temps de me répondre. Donc si j'ai bien compris, la laine de mouton attire les mites ? Encore merci :)

@@ceciled.7481 Comme toute laine non traitée. Il faut donc la protéger via un ou des insecticides, dont parfois des pyréthrinoïdes de synthèse, à effet perturbateur endocrinien et, peut-être, cancérigène. A ce stade aucune étude n'a montré de dangerosité avérée mais elles sont vraiment trop peu nombreuses,, trop peu poussées pour être considérées permettant d'exclure tout risque. En cas d'utilisation de laine d mouton travaillée industriellement je conseille de protéger l'espace habité avec tout moyen adapté à un confinement cotrrect (ce que les pare-vapeurs, correctement posés, font bien… à ma connaissance, mais je ne suis pas spécialiste de l'étude de la dangerosité de ces types de produits. A noter que seulement environ 1% des dérivés chimiques divers utilisés dans l'industrie ont été sérieusement étudiés, et ceci uniquement pour leurs effets propres… alors de là espérer l'études d'effets croisés ou combinés… J'ai, en tant qu'artisan, utilisé la laine d mouton à certains usages , entre autres pour l'étanchéité autour des menuiseries, particulièrement autour des fenêtres de toit (Vélux par exemple)… toujours de la laine brute d tonte, donc issue de toisons non lavées. Un seul inconvénient dans ce cas : l'odeur, un très gros avantage : le soin des moutons protège naturellement la laine contre les parasites. Une de mes connaissances a isolé toute sa maison avec des toisons (ancien éleveur de mouton)… Avec humour il me dit qu'il reste un peu au contact de ces animaux qui ont été ses compagnons pendant ses années professionnelles : un peu d'odeur, plus marquée lorsqu'il fait très chaud, compensée par de bonnes performances globales.

Non, je ne l'ai pas fait. Cependant j'ai une info d'importance. Contrairement à ce qui est généralement admis, les isolants d'origine minérale, laine de verre et laine de roche, sont très appréciés des rongeurs. En effet, contrairement à une idée préconçue, les rongeurs ne s'attaquent pas aux isolants pour les manger mais pour y nicher et les laines minérales sont très faciles à travailler pour nous … mais aussi pour eux et la confection d'un nid douillet y est facile. Par ailleurs, très organisés et, contrairement à une autre idée préconçue, ils sont propres et ménagent, assez loin du nid, le coin "aisances" : pipi, caca, d'où les odeurs ! Par constat, l'isolant que j'ai découvert comme étant le plus efficace se trouve être la ouate de cellulose. Je l'explique par ce que j'ai nommé les 3 effets Kiscool : 1) Les rongeurs ont la truffe humide, cet isolant est relativement poussiéreux, cette poussière se colle à leur truffe : inconfortable. 2) La ouate est, par nature, un isolant doté d'un fort pouvoir hygroscopique, duy fait de sa composition cellulosique et aussi du fait de la présence de sel de bore, fort dessinateur. Résultat, assèchement de leur truffe, encore plus désagréable, 2ème effet Kiscool ! 3) quelque soit le mode de mise en œuvre, il est quasiment impossible pour un rongeur d'y creuser une galerie, donc au fil de sa progression, elle s'écroule derrière lui. Attendu que la ouate permet très peu à l'air de s'y propager, il meure étouffé. 3ème effet Kiscool : radical ! Il n'y a même pas de mauvaise odeur car le bore étant un bactéricide, le cadavre va simplement se momifier, sans passer par le stade pourrissement … tout bénéfice ! Quant à l'argument de la présence de bore qui, parce que les rongeurs seraient belliqueux et se battraient beaucoup, ce qui engendrerait des démangeaisons au droit des écorchures et donc les inciterait à aller se battre ailleurs, donc que le bore agirait comme un répulsif … : C'est ignorer totalement que ces animaux sont grégaires et que, si bagarre il y a, c'est surtout entre mâles au moment des chaleurs des femelles et, à mon avis, les phéromones aidant, se gratter plus tard est probablement le dernier de leurs soucis à l'instant T … Donc je pense qu'on peut classer cette info dans les "fakes" ! Un article que j'ai écrit sur la ouate de cellulose, j'y développe plus longuement ces arguments … et quelques autres (sur Build-green) : www.build-green.fr/la-ouate-de-cellulose-un-isolant-pertinent/

@@PapyClaude , merci énormément!

Bonjour, la première des précautions en matière de limitation des fuites phonique est d'obtenir un taux de remplissage le plus parfait possible (un trou du ø d'un doigt peut générer une fuite phonique importante). C'est pourquoi je vous conseille plutôt du vrac que des panneaux et/ou rouleaux. Attendu que votre maison est probablement déjà isolée au niveau de ses combles, je vous conseille vivement d'enlever ce vieil isolant. En effet, la pose de l'époque (et parfois encore maintenant) n'était pas réalisée correctement et vous avez probablement de très, très nombreux couloirs (autoroutes) à bruit. Une fois ce travail réalisé, préparer vos combles conformément aux règles de l'art : kzfaq.info/get/bejne/geBgd7KIxLrZeZ8.html Je vous conseille un isolant végétal (ils sont beaucoup plus performants que les autres dans cet exercice). Vous avez de nombreuses possibilités : ouate de cellulose, laines de bois, de coton …

Laine de bois ou ouate de cellulose

Pour moi il n'y a aucun doute, si vous trouvez un artisan sachant insuffler de la ouate de cellulose en vrac, c'est cet isolant qui sera le plus adapté à ce besoin. Faute de cette solution, un isolant d'origine végétale aura toujours ma préférence : laine de bois, d'herbe, de chanvre, de lin, de coton… peu importe quelque part, ils sont tous très proches thermiquement les uns des autres, pourvu que ce soit un isolant végétal !

@@PapyClaude merci de ce conseil, je pensais en effet à de la laine végétale : chanvre, lin, coton ou mélange de ces fibres ; j'espère que la pose au plafond d'un matériau "mou" ne sera pas trop galère. Pour cette utilisation en sous-face de parquet entre 2 niveaux habités, quelle serait selon vous l'épaisseur d'isolant à prévoir ?

@@vb9820 Vous pouvez trouver de la laine de bois semi-rigide, ça se pose très facilement, on la coupe environ 1cm plus large que l'espace à remplir et, ainsi, elle se coince entre les solives. L'idéal serait de combler l'épaisseur disponible.

Le seul véritable bon conseil, à mon avis, est de renouveler l'air de cet espace (VMC simple flux de base, ça coûte très peu cher et ça consomme en électricité de l'ordre de 35€ max par année : www.build-green.fr/vmc-vmi-renouvellement-dair-permanent-ou-non/ La laine de verre est une éponge à eau, il est difficile de trouver pire matériau et vous ne ferez que différer le phénomène de quelques mois, au mieux 1 ou 2 ans, par contre vous allez aider à la dégradation de vos murs. Une info qui vient de tomber "Saint Gobain débouté en cassation et la même; cour co,firme que ses isolants laine de verre n'o,nt pas, dans la réalité de l'exploitation, les performances annoncées qui, elles, o,nt été mesurées en laboratoire ! : www.lesechos.fr/industrie-services/immobilier-btp/isolation-des-maisons-la-cour-de-cassation-revele-un-isolgate-1155733

@@PapyClaude Merci beaucoup, je ne connaissais pas les VMC, je vais chercher dans ce sens.

Bonjour, pour moi, aucune hésitation : la ouate de cellulose en vrac.

La comblissimo est une laine de verre … qualités médiocres, seul intérêt, sa légèreté, mais ce qui est recherché c'est la performance, pas d'être un poids plume ! Pour moi aucune hésitation : ouate de cellulose !!!

Merci Elisabeth d'apprécier mon travail. Isoler par l'extérieur ou par l'intérieur ?

Bonjour ben Ben, difficile d este positionner avec si peu d'infos. En effet, de juin à septembre, c'est plus le soleil zénithal qui pose problème, ce qui n'est pas possible pour un mur. L'exposition, à l'Ouest, est possible uniquement en fin de journée, ce qui n'empêche pas une montée en température par captation de rayonnement solaire. Par ordre d'intervention, je préconise, dans la mesure du possible, de prévoir un écran naturel à l'extérieur du mur, de type vigne vierge par exemple ou arbre à feuilles caduques planté à quelque distance du mur. S'il n'est pas possible d'opérer depuis l'extérieur, je préconise de garnir le fond de votre placard avec un isolant d'origine végétale afin d'en augmenter le déphasage. Er dernier recours, prévoir une fermeture plus épaisse et étanche, mais je doute sincèrement de ce genre d'action car si la chaleur est déjà dans la placard, elle diffusera toujours, au moins en partie, vers la chambre.

@@PapyClaude isolant d origine végétal..OK..et merci beaucoup

Bonjour Christophe Z, Plusieurs réponses : - il ne faut pas raisonner poids total mais poids ramené au m2 réel, - je ne suis pas certain que, à qualité et performances identiques ou proches (dépendant grandement de la densité de mise en œuvre), la laine de roche soit très différente de la laine de bois en terme d'impact poids à reprendre par la charpente, - 55 kg/m3 n'est pas très lourd, loin s'en faut puisque, avec une mise en œuvre de 28 cm d'isolant en épaisseur totale, discontinue du fait de la présence des chevrons, on peut la considérer de 25 cm, ce qui ajoute (55kg/4) 13,75 kg/m2, - des panneaux de laine de roche classiques affichent une densité de 39kg/m3, soit 26 kg de moins. Pour une mise en œuvre de 20cm, vous allez économiser 16 / 5 = 3,2 kg/m2, - à comparer au fait que la neige -fraiche (poudreuse) affiche 20 kg/m3 et que, lorsqu'elle vieillit et se tasse, elle affiche … 500 kg/m3. On atteint plus de 900 kg pour de la glace, ce qui signifie que 3 cm de neige tassée ayant un peu pris l'eau, vous ajoutez nettement plus de poids que ce que vous cherchez à économiser, - le poids statistique moyen de neige au Nord de la Loire est de l'ordre de 45 kg/m2, attendu que tout ceci est avec des facteurs de sécurité importants, je pense que vous vous faites un nœud au cerveau là où il n'y a aucune raison de le faire, Attendu qu'il s'agit de votre toit, attendu que l'été devient la saison à traiter avec beaucoup d'attention et que le déphasage est très dépendant de la densité, vient ensuite la chaleur spécifique (moins bonne pour de la laine de roche que pour de la laine de bois), puis l'épaisseur et, enfin, le lambda, je choisirais de tout réaliser en laine de bois. Ce choix serait meilleur pour l'été, équivalent pour l'hiver, meilleur pour la planète (nettement meilleur : énergie grise, recyclage …) et plus simple en réalisation car matériau unique. Je vous conseille vivement, si vous opérez depuis l'intérieur, de prévoir un treillis de ficelle en sommet des caissons afin d'empêcher l'isolant de toucher la couverture. Bien sûr, un parevapeur, Sd entre 10 et 18, sera parfait pour fermer l'isolant avant la pose du parement intérieur. PV posé selon les règle de l'art. 2 liens, l'un vers les PV (il est possible depuis ce 1er d'"aller vers d'autres) et un autre cers un tableau de mon cru pour découvrir les vraies valeurs, y compris de déphasage, des matériaux : - www.build-green.fr/un-coup-doeil-dans-le-retroviseur-2018/ - www.build-green.fr/produit/comparatif-des-materiaux-isolants-selon-leurs-performances/

Merci de votre réponse. Je vais donc voir pour tout passez en laine de bois vue là peut de différence de poids au m2. J’habite dans le sud, ce que je cherche avant tout c’est un gros déphasage pour m’éviter d’avoir 27degre la journée tout fermé à l’interieur Pour ce qui est de la mise en place c’est comme je l’est dit8cm entre chevron, j’ai 2-3cm entre les liteaux et les tuiles, je pense que ća devrait être suffisant pour assurer la ventilation. Puis je croiserai avec 20cm et finirai par le pare vapeur, avec un Sd de 10-12 comme vous me le suggérer. Merci de m’avoir éclairé, n’hésitez pas à me reprendre si je suis faux dans mon raisonnement.

Ok, bons choix … bon chantier !

Bonne solution.

Il faut mener 2 actions de concert : - isoler certes, - mais aussi penser au renouvellement d'air, impératif, même si bruyant et/ou consommateur d'énergie. Pour ma part je préconise la ouate de cellulose projetée humide, à mon sens la meilleure solution. Reste à trouver l'opérateur, voila une piste : kzfaq.info/get/bejne/ac2PoMSq0rbIoWQ.html

ok merci pour ttes ses infos ainsi que l artisans avec qui je vais pouvoir faire chiffrer enfin une isolation qui répond à mes attentes car bc de on dit mais rien de concret enfin une réponse technique et constructive merci pr tt bonne soirée 😘

Car le liège, même s'il est peu putrescible, l'est quand même, contrairement au minéral qu''est la pouzzolane.

Surveillez bien la face intérieure, particulièrement en pieds des murs. Observez si vous avez des moisissures qui apparaissent au pourtour des embrasures de menuiseries ainsi qu'aux angles de liaison avec les dalles.

@@PapyClaudebonjour. Comment puis-je vous contacter svp ?

@@isabelledarras1560 Via le site habitologue.com

Perte de hsp ??? j'imagine hauteur sous plafond… Je pense que votre architecte gagnerait beaucoup à lire mon ouvrage "Les clés du confort thermique écologique" et, mieux encore, à suivre la formation que nous proposons chez "Soigner l'Habitat". Il y aurait tant à dire !!! Je vais aborder les points essentiels… • L'isolation thermique Avec 10cm de PIR on a bien un super R, complété par un très bon R lié à la laine de verre… sauf que le R est une chose (intéressante pour le confort d'hiver… encore que nous pourrions en discuter longuement) mais que, pour ce qui est du déphasage (confort d'été), plus que le lambda (lequel n'est guère fiable au-delà de 27°C alors qu'un toit atteint couramment 70° et plus l'été), c'est la chaleur spécifique et la densité en œuvre qui importent. Or, la laine de verre à une chaleur spécifique de 850J/kg/K environ, le PIR, de 1200J/kg/K et les laines végétales de… 1850 J/kg/K (sachant que plus elle est élevée et mieux c'est. Pour ce qui est de la densité en œuvre, les fabricants de laine minérale savent tellement que la légèreté est un handicap l'été qu'ils ne la communiquent plus sur leurs docs techniques, pour info, sous forme de panneaux, elle se situe généralement vers 35 à 45 kg/m3. Celle des PIR dans les mêmes eaux et les laines végétales plutôt aux environs de 55kg/m3… et là aussi, plus elle est élevée, meilleur elle est. Or, meilleurs sont les lambdas, moins épais d'isolant est mis en œuvre (puisque le R est dépendant du lambda et de l'épaisseur, un bon R permet de moindres épaisseurs). Moins d'épaisseur, moins de poids d'isolant mis en œuvre, donc moins de matière en capacité de ralentir la pénétration du flux de chaleur. Moins de chaleur spécifique implique moins de capacité là encore à ralentir le flux de chaleur… Dit autrement, vous allez être le schampions du monde du chauffage l'hiver et la lenterne rouge du maintien à une chaleur correcte l'été ! Dit autrement, préférez-vous payer quelques % de chauffage en plus l'hiver et pas de clim l'été ou économiser 5% de chauffage l'hiver (ou de vous vétir un peu plus…! mais vous condamner probablement à l'installation d'une clim l'été ? • Pour l'aspect phonique désormais. Un PIR est presque un amplificateur des bruits d choc, en faire le choix pour un sarking implique les bruits de pluie, vent ou grèle seront parfaitement transmis à votte charpente. Il vous est proposé de poser de la laine de verre "dessous" tel que vous l'écrivez, donc si je comprends bien, entre les chevrons, où et par quoi seront arrétés les bruits d'impact de la pluie ou de la grêle ? La réponseest simplke : par rien, donc nulle part… donc isoçlation phonique… niet, il n'y en aura pas ou quasiment pas ! • La gestion de la migration de la vapeur d'eau. Un PIR à l'extérieur c'est une barrière quasi étanche aux flux de chaleur. Une laine de verre à l'intérieur c'est un isolant fibreux… il peut se charger d'air et donc de vapeur d'eau… elle ne pourra pas s'échapoper par l'extérieur… il faudra donc prévoir un pare-vapeur parfaitement posé et d'un Sd tendant vers l'infini. Si vous voulez vivre dans un milieu salubre vous devrez opter pour un renouvellement d'air de très bon niveau (ce que, de toute façon, je conseille toujours… disons que chez vous ce ne sera pas une option. • La complexité du chantier et le coût global. Avec 2 entreprises différentes (a minima) qui devront intervenir, c'est l-plus de gestion et, probablement, un coût supérieur. • La hauteur sous plafond Vous pourriez, : - option 1 : avec une laine de bois adaptée, réaliser un sarking de hauteur suffisante pour une performance thermique optimale, - option 2 : avec des poses croisées de faux-chevrons sur le toit, vous pourriez créer une épaisseur suffisante pour isoler entre le spièces avec de la ouate de cellulose projetée humide. Dans les 2 cas, non seulement vous auriez une isolation optimale été comme hiver, une très bonne (et bien meilleure en tout cas) isolation phonique, et… plus de hauteur disponible ! Sinthèse longue : Dit autrement, ce qui vous est proposé est probablement plus cher, de façon certaine plus complexe, moins bon thermiquement l'été (beaucoup moins bon !) et à peine meilleur l'hiver, voire à égalité et vous dégage une habitabilité moins bonne. Sinthèse courte : Pourquoi payer plus cher pour avoir moins confortable et moins salubre et, qui plus est, moinsrespectueux de l'environnement, particulièrement du vôtre ? Est-ce à dire que votre architecte est incompétent ou malhonnête… sûrement pas ! Par contre il propose ce qu'il connait, soit parce que c'est ce que "ses" artisans pratiquent, soit parce qu'il ne connait pas les autres options. et comment pourrait-il les connaitre puisque la technique est le parent extrèmement pauvre de l'enseignement dans les écoles d'architecture… c'est d'ailleurs pour cette raison que j'ai développé une formation sur ces sujets… entrre autres. Qualité des isolants : - kzfaq.info/get/bejne/pb-iksyEy9jchGQ.html - kzfaq.info/get/bejne/m7SbmMxe15bHlYk.html - kzfaq.info/get/bejne/ityelr2fvMfVYKM.html Déphasage : - kzfaq.info/get/bejne/d8WIlpWiyseymZs.html - kzfaq.info/get/bejne/h7qoeddyqb2aomQ.html Performance des isolants végétaux (1 exemple) : - kzfaq.info/get/bejne/Y5tdhMd3utenlKs.html Articles, je vous laisse chercher avec les mots clés en sus des liens fournis : - soigner-l-habitat.com/actis-vs-st-gobain-pourquoi-la-laine-de-verre-a-perdu-son-proces/ - soigner-l-habitat.com/notre-avis-sur-les-isolants-biosources/ - soigner-l-habitat.com/notre-avis-sur-les-isolants-dorigine-petrochimique/ - soigner-l-habitat.com/notre-avis-sur-les-isolants-dorigine-minerale-laine-de-verre-de-roche-de-ceramique-verre-cellulaire/

Parce que cet isolant est d'origine pétrochimique et qu'il est possible de le remplacer ar du plus vertueux, par exemple de la laine de bois, en la protégeant bien sûr d l'humidité au moment de la pose. par ailleurs, il est aussi possible de ne pas isoler du tout : kzfaq.info/get/bejne/j7RxqcWXsKyXaHk.html

Qu'il faut repartir de zéro, ne pas espérer garder quoi que ce soit des isolants anciens, généralement mal posés et qui se sont dégradés : kzfaq.info/get/bejne/orymis-iv9ywlXk.html

Bonjour, merci d'avoir apprécié cette vidéo. J'ai prévu de réaliser des vidéos sur et autour de la gestion du transit de la vapeur d'eau ainsi que sur l'étanchéité des bâtis, la 1ère fonction étant, l'initialement, celle qui a présidé à l'invention des membranes et la 2ème lui étant de plus en plus souvent dévolue. Tout d'abord et afin de lever une ambiguité, toutes les membranes destinées à gérer le transit de vapeur d'eau sont, en France, classées pare-vapeur. La notion de frein-vapeur est une appellation qui ne répond à aucun critère, si ce n'est une vieille habitude des écolos (dont j'ai fait d'ailleurs fait longuement partie et que j'ai défendue jusqu'à me rendre à l'évidence, j'avais tord !) et qui n'est absolument pas reconnue dans les normes et autres classements. On doit donc parler de pare-vapeur et exclusivement de pare-vapeur. par contre il est obligatoire de faire suivre cette appellation de la valeur Sd de la membrane ou autre matériau. Jen attendant les vidéos, j'ai écrit plusieurs articles qui traitent de ces sujets, disponibles sur Build-green, selon les liens suivants : - pare-vapeur, frein-vapeur ou rien ? : www.build-green.fr/pare-vapeur-frein-vapeur-rien-du-tout-qui-a-raison/ - le pare-vapeur et ses fonctions : www.build-green.fr/le-pare-vapeur-et-ses-fonctions/ - pourquoi tant d'humidité dans nos maisons ? : www.build-green.fr/pourquoi-tant-humidite-dans-nos-interieurs/ - les effets indésirables d l'eau sur les bâtis et sur leurs occupants : www.build-green.fr/effets-indesirables-de-leau-sur-nos-batis-et-notre-sante/ Il faudrait aussi lire les articles traitant du renouvellement d'air, indissociable de la gestion de la vapeur d'eau et absolument non négociable ! Vous trouverez les liens dans un article récapitulatif de mes écrits de l'année dernière : www.build-green.fr/un-coup-doeil-dans-le-retroviseur-2018/ Bonne lecture (il y a de quoi occuper des fins de vacances en cas de pluie, assez peu prévue malheureusement, ou d'excès de chaleur, plus probable tout aussi malheureusement …)

Merci d'apprécier mon travail. Oui, il faut impérativement que vous fassiez 2 choses : - pare-vapeur de Sd égal ou supérieur à 18 mètres, ; ou pare-vapeur hygroréglable. Bien sûr posé aux petits oignons, - disposer d'un vrai renouvellement d'air permanent. A ce sujet vous pouvez aller lire des articles que j'ai écrits sur Build Green et dont vous trouverez les liens dans cette sorte de répertoire : www.build-green.fr/un-coup-doeil-dans-le-retroviseur-2018/ (rubrique "Renouvellement d'air, ventilation". Si vous voulez plus de renseignements, je vous propose un coaching selon le mode opératoire suivant : www.papyclaude.fr/particulier/accompagnement-avant-travaux/analyse-avant-travaux-1/

La réponse est dans la chaîne : de la ouate de cellulose projetée humide. Je maîtrise parfaitement cette technique, donc je le ferais moi-même : kzfaq.info/get/bejne/p9GpZdRnsdquh4k.html Sinon je ferais appel à mon ami Bernard : kzfaq.info/get/bejne/ac2PoMSq0rbIoWQ.html

Merci sebastien brunod, Vous pourriez lire quelques articles que j'ai écrit sur Build-Green. Non pas que j'aie la solution miracle, mais le confort (ce qui est quand même l'objectif N° 1) ne dépend pas que de la performance isolante de la maison. Je vous donne les liens vers les articles de l'année dernière, via un article récapitulatif. Pour le reste, cette année, j'ai beaucoup écrit sur le confort et abordé des solutions qui dénotent un peu par rapport aux approches classiques, notamment par exemple en ce qui concerne la VMC double flux. Pour les articles de cette année, vous pouvez les chercher sous mon nom. Accès aux articles de l'année passée : www.build-green.fr/un-coup-doeil-dans-le-retroviseur-2018/ Accès aux articles récents, sous mon nom : www.build-green.fr/author/claudel/

@@PapyClaude merci pour votre réponse extrêmement rapide, sincèrement un grand merci à vous, bien cordialement.

Le seul moyen d'avoir un peu d'efficacité l'été est d'opter pour un isolant d'origine végétale, surtout ni minéral (laine de verre ou roche), ni pétrochimique (polystyrène, polyuréthane). Visionner la vidéo sur le déphasage : kzfaq.info/get/bejne/d8WIlpWiyseymZs.html

Pour moi, aucun doute : de la ouate de cellulose en vrac ! La star des stars dans cet emploi …

Bonjour, Une analyse via un coaching me semble la base de conseils pertinents : www.papyclaude.fr/particulier/accompagnement-avant-travaux/analyse-avant-travaux-1/

Il n'y a pas fondamentalement un isolant "meilleur" que tous les autres, il y en a un qui est plus adapté dans votre cas particulier. Le choix dépend de plusieurs critères (utilisation, orientation, climat...) et il est difficile de répondre sans une analyse globale du bâti. C'est pour cette raison que je forme des Habitologues, formés à la compréhension et l'analyse du bâti. Je vous propose de cliquer sur le lien habitologue.com pour en discuter avec un habitologue proche de chez vous.

Bonjour, je pense qu'un coaching personnel serait nécessaire car je crains de vous voir réaliser des travaux soit inutiles soit disproportionnés soit contreproductifs. Pour savoir ce qu'il conviendrait de faire ne pout réellement être apprécié et évalué que sur la prise en compte de nombreuses données et de vos besoins réel, ce qui ne peut se faire que via un réel coaching. Il serait bien d éprendre contact via le lien disponible sur l'image de présentation de la chaîne, soit dans le descriptif des vidéos.

Bonjour Didier Shouck, merci pour votre commentaire. Vous avez presque raison, je dois presque car ce n'est pas une impression et ce n'est pas que je n'aime pas les isola,nos conventionnels. C'est une certitude, je déconseille les isolants conventionnels et vais tenter de transmettre ce qui m'amène à prendre les positions que sont les miennes. Tout simplement et principalement, comme expliqué dans les vidéos dédiées aux critères qui devraient présidé à nos choix : ils sont globalement moins performants. En effet, nous commettons une grossière erreur en prenant pour critère quasi exclusif de choix le lambda. Il est important mais autan,t qu'on nous le fait croire. La chaleur spécifique est, par exemple, au moins aussi importante car, alors que le lambda chute considérablement dans certaines conditions (forte humidité relative, voir pire encore, avec point de rosée matérialisé, chute à la vitesse grand V. Le côté sécuritaire, la salubrité des locaux, l'innocuité au plan santé ne sont pas n on plus à négliger. L'environnement et le dérèglement climatique sont à ménager, urgemment hors les isolants conventionnels sont énergivores, s'appuient sur la consommation de ressources fossiles, ne sont pas recyclables ou ne seront pas recyclés, entre autres du fait des coûts de collecte qui, après traitement, multiplie leur prix de production monstrueusement et les mettent à des prix qui les rendent simplement invendables en comparaison des autres, les bio-sourcés. En fait je m'appuie sur la physique et je suis guidé par le bon sens et le souci des impacts au-delà de l'action d'isolation. En toute chose il faut raisonner global …

@@PapyClaude Merci pour votre réponse éclairée

Le traitement des sols du rez de chaussée sur terre plain est toujours difficile. En effet, à plus de 70 cm de l'extérieur des murs (autant dire quasiment partout en présence de murs en pisé), le sol se situe aux environs de 12 à 14°, soit seulement quelques ° de moins que la température ambiante l'hiver et donc; de ce fait, lorsqu'il fait 0 ou une température négative à l'extérieur, on est en présence d'une possibilité d'apport de calories gratuites. Partant de là, il est dommage de s'en isoler. Pour autant, le sol y est trop faiblement chaud pour y ressentir du confort, donc on a un sentiment de pieds froids. A mon avis, un hérisson général, bien ventilé, c'est parfait (mini 25 cm de galets ou boules). Une chape de compression à la chaux hydraulique avec un agrégat imputrescible (pour moi le mieux, en ce lieu, est la pouzzolane). Là dessus, selon les lieux et les gouts : terre cuite ou plancher bois. Pour le plancher bois, attention à la bonne hygrométrie : il ne s'agit pas de travailler avec du bois sec, ce qui ne veut rien dire, mais en accord avec l'hygrométrie ambiante. Pour ce faire, stocker le bois en question plusieurs mois dans la pièce de destination, ceci alors même qu'elle est utilisée, afin que le bois se mette au diapason et qu'il se stabilise dimensionnellement correctement. Bien laisser des possibilité de dilatation en périphérie, un centimètre n'est pas un luxe, donc plinthes épaisses pour cacher cet espace et bloquer le parquet en périphérie. La pose peut être sur lambourdes ou les lames collées entre elles, donc flottant sur la chape, alors prévoir une feutrine d'interface afin de limiter les grincements et les sensations de pont de navire (souplesse, déformation …). J'ai écrit un long article sur ce sujet sur Build-green : Confort dans l’ancien : nos préconisations pour les sols, il s'inscrit dans une continuité d'autres articles traitant du confort, thème de l'un de mes prochains ouvrages à paraître chez Terre vivante Ed., fin 2020, début 2021. Lien vers l'article : www.build-green.fr/confort-nos-preconisations-pour-les-sols/

@@PapyClaude Je ne sais pas quoi dire...je ne m'attendais pas à une telle réponse! Un immense merci pour le temps que vous avez su prendre et l'épine que vous avez enlevé de mon pied!

Je suis heureux d'avoir pu vous aider. Désolé pour les fautes d'orthographe, sérosités corrigées et pour le line vers l'article, que j'avais omis de vous transmettre, chose désormais également corrigée. Bon courage pour la suite.

Bonjour, faites état de vos besoins sur le site Habitologue.com, selon votre région, un(e) habitologue prendra contact avec vous car il faut envisager une approche globale, pas seulement l'isolation du toit, il y a probablement d'autres points à prendre en considération.

Un isolant biosourcé, c'est sûr ! Si vous en avez la possibilité, de la ouate projetée humide. Voir la vidéo : kzfaq.info/get/bejne/ac2PoMSq0rbIoWQ.html

@@PapyClaude merci beaucoup 👍

De mon humble avis (et par expérience) une VMC double-flux en rénov est une source d'ennuis et de frais inutiles : une VMC simple flux hygro B est bien suffisante et sera plus simple à entretenir. Etes-vous sûr que votre plancher est ventilé ? S'il est inaccessible, c'est peut-être un plancher sur remblais (sable ou terre selon le site) et s'il n'est pas détérioré, il n'est pas essentiel de l'isoler (faibles déperditions vers le sol). Sinon, le liège est adapté, en refaisant le sol ou en levant régulièrement des lames de plancher pour le mettre en vrac. N'oubliez pas le pare-vapeur en intérieur sur la laine de bois.

Très juste, une hygroscopies A ou une toute simple sont encore plus sures !

Bonjour, Vous pourriez tendre sous les solives un film parepluie (pour des raisons de perspirance, c'est cette qualité qui convient) à l'avancement et remplir progressivement avec de la paille broyée. Vous risquez simplement la visite de rongeurs tels que des souris, des loirs ou des rats… Vous pourriez, à la place de la paille, mettre du chanvre broyé grossièrement et acheté localement à un agriculteur (moins facile mais plus sûr pour éviter les rongeurs). Vous pourriez aussi travailler avec de la ouate de cellulose en vrac insufflée sous pression derrière le parepluie (prendre soin de bien fixer et tenir le parepluie avec des liteaux, sinon arrachement du parepluie garanti). Cet isolant est un des moins chers du marché, il est très performant thermiquement et pour décourager les rongeurs. Quelque soit la solution retenue, il est primordial que votre cave soit bien ventilée.

L’isolation phonique nécessite de comprendre à quels sons on a affaire (solidien ou aérien) et comment il se propage pour créer des ruptures. La base est "masse ressort masse". Vous pouvez mettre le meilleur isolant au milieu, si le bruit passe par l'armature...

Il n'est pas facile, pour tout dire même impossible, de répondre à une telle question car ce qu'il faudrait comparer c'est la quantité d'énergie nécessaire non seulement à la fabrication mais au cycle de vie complet, collecte, production, transport, mise en œuvre et recyclage en fin de vie. Par ailleurs, le plus souvent les comparaisons sont faites soit au kg, soit au m3 produits, mais ils ne sont pas alors mis en œuvre, et, là encore, ce serait insuffisant car il faut tenir compte de l'épaisseur requise pour atteindre une même performance… Mais malheureusement, une fois de plus, ce n'est pas possible car la notion égalité, au sens de même résultat n'est vraie qu'en mathématique. En effet, dans le cas d'une laine de roche et d'une laine de mouton par exemple, en admettant que l'on en trouve deux de même lambda, elles n'auront de toute façon pas la même capacité thermique massique, pas la même densité mise en œuvre, pas les mêmes capacités hygroscopique ni de portion et désertion. Il faudrait donc les comparer en terme de quantité utilisée pour atteindre non pas les mêmes objectifs, ce qui n'est pas possible, mais d'accès à un même niveau de confort… ce qui est tout sauf quantifiable puisque totalement subjectif… Désolé, je ne me défie pas devant l'exercice mais avec une objectivité que j'essaie d'être la plus honnête possible, je me tournerais de façon certaine vers la laine de mouton.

Je vous remercie pour votre formidable travail et votre sens d’aide, on attend avec impatience la prochaine vidéo conférence

Bonjour Pierre, merci d'apprécier ce que je fais. dans ton cas, tu es devant 2 problèmes différents, d'une part les points d rosée, d'autre part les ponts thermiques. On va commencer par les ponts thermiques car, eux aussi, peuvent générer des points de rosée. Il est vrai que les rails gala sont plus légers que les montants tradi tiennes mais, perso, je n'aurais pas fait ce choix car ce que tu gagnes sur les rails, tu risques de le perdre ailleurs. En effet, il va te falloir ajouter une épaisseur d'isolant en continu, le plus épais possible mais limité dans le cas d'une Tiny (je connais bien pour m'y être intéressé à un moment) car tu es confronté à 2 handicaps : le poids total roulant autorisé qui détermine le poids max de ta remorque et la surface habitable réduite d'autant plus que les parois exter sont épaisses. Pour cet isolant en continu, je choisirais de la fibre de bois haute densité. Il y en a qui, en plus, est agréée pour contreventer les MOB, ce qui rigidifierait d'autant ta Tiny. j'en mettrais au moins 3 cm, ce qui réduirait considérablement le pont thermique. Venons-en aux points de rosée. Ils sont dus aux chocs thermique entre l'air intérieur et l'air extérieur et la baisse de température de l'air intérieur, fortement chargé en vapeur d'eau, lorsqu'il s'approche des parois extérieures et se refroidit, ce qui provoque une condensation. C'est ça qu'on appelle un point de rosée. Ce que je vais te conseiller n'est pas bien vu des propriétaires de tiny ou fourgon aménagé mais me semble un nécessité absolue. Pour éliminer la vapeur d'eau en excès dans l'air intérieur, il ne faut pas compter sur la perspirance des parois extérieures, elle représente un plus mais elle est nettement insuffisante pour tout gérer. En effet, fans une Tiny on émet pratiquement autant e vapeur d'eau que dans un habitat classique, mais la surface de peau extérieure qui pourrait servir d'échangeur est a minima 2 fois moindre que celle d'un habitat conventionnel et le volume 4 fois moindre. En résumé, on émet pratiquement autant de vapeur d'eau, les parois en évacuent 2 fois moins et le volume d'air est 4 fois moindre, disons que le risque de point de rosée est infiniment plus élevé. Le seul moyen de le limiter est de prévoir un système de renouvellement d'air, même faible, peu puissant (il y a peu d'air à renouveler), il faut en prévoir un. Les Titistes n'aiment pas ce principe car c'est un peu bruyant, mais surtout, ça remet en cause une autonomie électrique, déjà délicate. Ceci dit, in existe de petites VMC à 12 ou 15 W … Il faut bien sûr ne pas entraver la sortie du peu que les parois permettent et, pour cela, bien tailler à une perspirance progressive en partant du principe que plus la membrane extérieure est ouverte à la diffusion (Sd faible) plus la perspoirance sera élevée. Voici les liens vers 2 articles qui pourraient t'être utiles, même s'ils ont été écrit pour des habitats con,ventiles : quelque soit le type d'habitat, la physique reste la physique … Voilà Pierre, toute ma science.

@@PapyClaude merci vous êtes génial

Il ne faut pas trop le dire, je pourrais le croire …

Que vous avez raison !

Bonjour, Dans une maison tout est interactif, il ne m'est donc pas possible d'émettre un avis. La seule chose que je puisse dire est qu'une isolation n'est pas, a priori, une solution qui, à elle seule, permettra des résoudre votre problème si l'humidité des parois concernées est due soit à des infiltrations, soit à des remontées capillaires.

Le béton cellulaire n'est pas, en soi, un isolant mais un correcteur thermique. Il n'apportera pas grand chose en ITE, sauf l'été, il apportera plus de confort global en ITI. 5 à 7 cm suffisent, il, faut absolument le compléter par un parement à effusivité favorable : bois ou tissus par exemple. Un enduit terre ou chaux/sable de 1 ou 2 cm, même si pas miraculeux au plan effusivité, amélioreront le ressenti de confort car en capacité de monter en température. Pour ce parement final, si l'effusivité n'est pas au top mais simplement correcte, il faut chercher de la masse !

@@PapyClaude merci beaucoup pour votre réponse !

Bonjour, sincèrement ajouter une isolation ne changerait pas grand chose. Peut-être un peu moins de chauffage, mais peu (10% à 15% de baisse me semblerait un maximum prévisible). Votre confort n'en serait en rien amélioré. Pour ma part j'opterais plus pour l'ajout d'un enduit intérieur à effusivité favorable (capacité à rénover les rayonnements infrarouges, ceux qui sont si importants pour notre ressenti de confort). Etant plus vite dans el confort, on vit très bien à une température un peu moindre et donc, pour le coup, on a à la fois un gain en confort et une économie de chauffage. Voici un lien vers un article que j'ai écrit sur ce thème : www.soigner-l-habitat.com/les-parements-interieurs-des-parois-exterieures/. Vous pouvez aussi rechercher tous mes articles sur le confort et consulter celui sur l'effusivité et la diffusivité : confort-thermique-diffusivite-effusivite-les-grandes-oubliees Si vous n"avez pas de VMC, en installer une améliorerait la teneur en vapeur d'eau de votre air intérieur, gain immédiat en confort, économies immédiates sur le chauffage (le mythe qui fait croire que faire entrer de l'air froid refroidit et provoque une consommation inutile et génère de l'inconfort est une idée préconçue qu'il faut dépasser, j'ai aussi écrit là-dessus. recherchez sur mon blog avec les mots clés "renouvellement d'air" "ventilation".

@@PapyClaude bonjour, merci beaucoup pour votre réponse rapide. Pour la VMC double flux c'est déjà fait !! Je vais me renseigner sur les enduits que vous conseillez. Merci encore !

@@matvig45 La difficulté est qu'en orientant vers les enduits correcteurs d'effusivité, je vous envoie vers une solution totalement disruptive, perdue, abandonnée, oubliée et, disons le, ringardisée! Et pourtant, il y a des siècles, les hommes appliquaient cette méthode : tentures sur les murs des châteaux, panneaux bois dans les maisons bourgeoises, enduits terre dans les maisons les plus modestes, plâtre peints dans les édifices religieux ; plus récemment les papiers peints… Comme le disait une pub il y na quelques années "ne passons pas à côté des choses simples".

Bonjour Kim molt, merci pour votre commentaire, il apporte une fois de plus la preuve que performance thermique et confort ne sont pas la même chose et que, même si la performance peut être de haut niveau, le confort peut ne pas être au rendez-vous ! Vous souhaitez garder la laine de verre initiale, je le comprends mais je le déconseille vivement pour plusieurs raisons évoquées dans cette autre de mes vidéos : kzfaq.info/get/bejne/orymis-iv9ywlXk.html. Deux raisons supplémentaires m'incitent à vous conseiller de vous débarrasser de votre laine de verre : - Raison 1 : une telle épaisseur initiale combinée avec un apport de ouate de cellulose (ou autre isolant végétal) va engendrer un poids important : • 50 cm de laine de verre en vrac : 12 (kg/m3) x 0,5 (mètre d'épaisseur) = 6 kg/m2 • au minimum 25 cm de ouate de cellulose : 30 (kg/m3) x 0,25 (mètre d'épaisseur) = 7,5 kg/m2 • le cumul amène à 13,5 kg/m2, ce que votre plafond peut supporter si… (par exemple s'il est en BA13 et que les fourrures sont disposées au maximum tous les 40cm). Cependant peu de chantiers sont réalisés avec cet entraxe des fourrures et donc, dans ce tel cas, vous dépasseriez allègrement la charge autorisée pour un entraxe supérieur, à savoir maximum 10 kg/m2 (voir tableau Isover : www.isover.fr/sites/isover.fr/files/assets/documents/DTU-2541-isolation-plafonds.pdf) - Raison 2 : Les 75 cm théoriques que vous atteindriez ainsi ne seraient probablement possibles que sur une partie des combles car en périphérie vous serez limités par la hauteur disponible entre le toit et la surface du placo. La conséquence étant que vous devriez mettre l'excédent ailleurs, vers le centre, et donc augmenter encore la charge au m2 en ces lieux. Pour être clair, votre plafond actuel peut probablement supporter ces charges mais, en cas du moindre problème, le plus mauvais des experts judiciaires vous débouterait pour non respect des normes… J'ajoute volontiers une 3ème raison pour l'enlèvement et le passage à 35 cm de ouate de cellulose : seuls les 1ers centimètres sont réellement efficaces et votre laine de verre (que vous devrez en cas de conservation, impérativement positionner au dessus de la ouate de cellulose afin d'éviter tous les inconvénients afférents à une disposition inverse décrits dans ma vidéo dont lien ci-dessus). J'ai illustré l'aberration d'épaisseurs excessives dans un de mes derniers articles : www.build-green.fr/confort-thermique-pourquoi-et-comment-devons-nous-changer-de-comportement/. J'ai accompagné cet article d'un tableau, simple mais très explicite, sur le travail réel de chaque centimètre d'isolant. J'ai limité ce tableau à 24 cm d'épaisseur, je vous laisse imaginer l'efficacité au-delà de 35 cm et de ce que donnerait une projection à 75cm ! www.build-green.fr/wp-content/uploads/2020/02/Efficacite-chaque-cm-isolant-supplementaire.pdf Donc, pour moi, aucune hésitation : - conseil 1, vous enlevez la laine de verre initiale, - conseil 2, vous ne mettez pas de PV car en l'état, ça fonctionnera très bien (autres articles : www.build-green.fr/pare-vapeur-frein-vapeur-rien-du-tout-qui-a-raison/ www.build-green.fr/le-pare-vapeur-et-ses-fonctions/), - conseil 3, vous mettez en œuvre 35 cm de ouate de cellulose soufflée à l'air libre, ce sera très suffisant pour disposer des mêmes performances et confort l'hiver (vous pouvez, à ce sujet, lire tous mes articles sur et autour de l'isolation publiés fin 2019 et début 2020 sur l'isolation, support, Build Green : www.build-green.fr) et pour, enfin, disposer d'un réel déphasage l'été !

@@claudelefrancois4789 merci pour votre magnifique réponse et rapide en plus les liens vers votre site "surtout pour apprendre de nouvelles connaissances" j'oubliais un détail important car si je me lance dans le projet de modification d'isolant une question me turlupine. Les murs sont fait de brique porotherm Gfr20 et l'isolation intérieur en polystyrène noir de 100mm. Par rapport à votre immense connaissance du sujet pensez vous que le changement d'isolant du comble sera bénéfique l'été malgré le déphasage des murs faible ? Est-ce qu'une possibilité de rattraper en isolant par l'extérieur sans démolir toute la partie habitable est possible ? Car comme vous dite maison performante l'hiver par contre l'été un désastre. Trop naïf d'avoir fait confiance au constructeur. 😢 J'imagine que leur maison témoin avait des isolants différents. Merci à vous.

@@kimmolt2869 Décidément, je comprends de plus en plus que votre maison soit défaillante l'été. En effet, un des intérêts des murs en matériaux minéraux, tels que les vôtres, en briques, est leur capacité d'inertie… conservable en isolant par l'extérieur. Et malheureusement, probablement tellement habitué à œuvrer de cette manière, votre constructeur a isolé par l'intérieur ! Par contre, vu la situation actuelle de votre maison et sauf à déposer l'isolant intérieur en même temps que vous isoleriez par l'extérieur (ce que, j'imagine, vous n'envisagez pas… et je vous comprends), vous n'obtiendrez pratiquement aucun bénéfice sur le plan inertie ou déphasage en isolant vos murs par l'extérieur. Si vous disposez de murs de refends lourds et/ou de chapes et carrelages,vous devriez disposer d'une inertie intérieure suffisante. Si tel n'est pas le cas, il faudrait plutôt prévoir de doter votre maison de plus de matériaux à capacité en inertie. Une des solutions possibles, si vous aimez l'aquariophilie, serait de vous équiper d'un grand aquarium : l'eau est un excellent matériau à inertie (chose peu connue, c'est une des matières qui, au kg, nécessite le plus de calories pour être chauffée, donc elle est capable d'en capter beaucoup). De plus, il s'en évaporera toujours un peu, ce qui consomme de l'énergie et contribue au rafraichissement. La présence de plantes à l'intérieur, générant de l’évapotranspiration pourrait aussi aider. Si vous y être prêt, vous pouvez aussi travailler sur les parements intérieurs, en augmentant leur masse : www.build-green.fr/les-parements-interieurs-des-parois-exterieures/ Toutefois et afin de vous rassurer, si vous gérez bien vos ouvertures et si vous vous protégez de la pénétration des calories pendant la journée, votre confort devrait être nettement amélioré en travaillant sur vos combles. En effet, la chaleur, l'été, est principalement générée par le soleil dans sa situation zénithale, donc principalement sur le toit. Un point qui peut aussi avoir de l'importance : si vous avez une terrasse extérieure minérale, elle capte et stocke aussi beaucoup de calories, elle les renvoie ensuite vers l'intérieur le soir quand on ouvre les menuiseries… Si tel est le cas, il est intéressant d'y installer beaucoup de plantes qui, du fait de leur ombre d'une part et de leur évapotranspiration d'autre part, non seulement limiteront l'apport des calories mais en "consommeront". Je ne pense pas pouvoir vous aider plus, sauf à échanger lors d'un coaching afin de détailler au maximum la situation d e votre maison et aborder des points particuliers, non abordables au plan général tel que je viens de le faire. Au cas où et à toutes fins utiles, voici le lien qui amène à la page de mon site, sur laquelle j'en explique le principe : www.papyclaude.fr/particulier/accompagnement-avant-travaux/analyse-avant-travaux-1/

@@claudelefrancois4789 merci énormément et j'hésiterai pas a faire un coach personnalisé. Merci pour votre travail et vos conseils.

Merci

Oui, c'est possible, mais quel intérêt de travailler avec de la laine de bois rigide puisque le placo devra être posé sur une ossature porteuse, métallique ou en bois et que la laine de bois rigide sera plus chère et plus difficile à travailler. J'opterais pour une version "flex" entre montants ou devant montants. Par ailleurs, il sera impératif de réguler le transit d vapeur d'eau par l'adjonction d'une membrane pare-vapeur avant la pose du placo et, surtout, non percée et non déchirée pour le passage des réseaux divers. De plus ce PV doit être raccordé à la structure et les lés jointoyés. Il faudra choisir un Sd adapté. Le nom de pare-vapeur ne veut pas dire étanche aux flux de vapeur, c'est son nom légal en France, les organismes certificateurs, normalisateurs et/ou les assurances ne reconnaissent que ce mot, par contre son Sd doit être annoncé. Pour vous aider dans votre choix, je vous conseille un article que j'ai écrit sur Build green et qui traite de ce sujet : www.build-green.fr/le-pare-vapeur-et-ses-fonctions/ Par ailleurs, pour vous faire une idée du mode opératoire, je vous mets le lien vers mon site Internet (l'isolant utilisé est de la ouate de cellulose en vrac, projetée humide, mais quel que soit le type d'isolant, vrac, en panneau, minéral ou végétal, le process est le même)? D'autres modes opératoires existent, ce que j'ai présenté sur mon site a ma faveur. C'est ni le plus rapide, ni le plus simple, mais à coup sûr, le plus efficace. : www.papyclaude.fr/à-propos/quelques-réalisations-passées/iti-maison-ancienne/. Un autre article que j'ai écrit très récemment peut vous être utile : www.build-green.fr/les-parements-interieurs-des-parois-exterieures/

@@PapyClaude merci, une version flex ne risque t'elle pas de se tasser dans le bas de la cloison avec temps et ainsi perdre de son efficacité ?

Non, si elle est posée selon les règles de l'art, aucun risque. Ce qui provoque le tassement des isolants fibreux souples, particulièrement ceux à base de minéraux, tel ue je l'ex)pique dans une iu deux de mes vidéos et au fil de mes articles, c'est l'eau qui se condense dans l'isolant, d'où l'obligation, quelque soit la version d'isolant, de bien gérer les flux de vapeur. En effet, même avec des versions rigides, si le risque d tassement est moindre, les effets délétères de cette eau et notamment dans ses changements d phase, sont tout aussi dommageables au plan thermique. Ils le sont aussi pour les risques de moisissures.

Quelque soit l'isolant fibreux mis en œuvre, un film parepluie, ce que vous nommez "film de sois-toiture", est toujours nécessaire. Il assure, entre autres, la régulation du transit de l'air au travers de l'isolant, et, combiné à un renouvellement d'air important entre lui-même et la couverture, contribue à l'évacuation de chaleur l'été. Ceci permettra de limiter la, pénétration e chaleur en excédent vis la toiture. J'ai largement décrit ceci dans cet article : Actis vs St Gobain : Pourquoi la laine de verre a perdu son procès ?

Je vous recommande surtout de bien analyser la faisabilité de votre projet car, transfoormer un sous-sol en habitat c''est, très souvent, s'exposerb à des déboires importants, pour l'habitat, ce qui est dommage et pour les habitants, ce qui l'est encore plus. Une analyse faite par un habitologue me semble le meilleur conseil, il vous en coûtera un peu, mais c'est un des meilleurs moyens de savoir si vous prenez des risques ou non, dit autrement, si c'est dsage ou non… ensuite et seulement ensuite il faudra se poser les questions "comment ?" et "avec quoi ?"… habitologue.com/yb

Merci pour votre retour rapide. Etes vous en train de dire qu'il se pourrait que ce ne soit pas aménageable? Je vais me renseigner pour faire venir un expert mais j'avoue que vous m'inquiétiez :(

@@olivierpatry532 Par expérience, il est rarement simple et efficace de rendre unsous-sol aménageable, les techniques de construction de ces parties basses ne sont pas toujours les mêmes que celles des parties hautes, infiltrations, remontées capillaires sont toujours à craindre et, avant de' voius engager plus, je vous conseille très sincèrement d elever ces doutes et, pour l-avoir initié la formation "Habitologue pro", je sais que c'e sont des aspects qu'ils(elles) analysent parfaitement… il est toujours important de savoir sur ou vers quoi on s'engage car corrigéer à posteriori n'est jamais simple… je vous suouhaite bien sûr que vos projets soient réalisables !

Parfait, nous allons suivre vos conseils. Je vais me renseigner et tenter de contacter un professionnel dans notre région. Merci encore.@@PapyClaude

@@olivierpatry532 Plaisir

Oui c'est possible, mais ce ne serait absolument pas logique puisque le polystyrène est mauvais dans cette position au plan phonique, n'apporte pas le meilleur déphasage possible, qu'il est d'origine pétrochimique. A mes yeux (et pas qu'aux miens d'ailleurs), faire appel à un matériau ,nécessitant, pour le coup et en lien avec la question précédente, tellement d'énergie et, de facto, qui ne sera jamais recyclé, au risque qu'il participe à la pollution de la planète avec du plastique, alors même que d'autres peuvent lui être valablement substitué ne me semble pas bien du tout (et je reste mesuré dans mes propos). Par ailleurs, au plan sanitaire, il n'est pas non plus très recommandable, donc, définitivement, je ne ferais pas le choix du polystyrène… n'oublions pas que le thème de ma dernière visioconférence était "la maison écologique" et là, on en est aux antipodes ! Pour l'autre question, le même isolants partout, pour tout ? Quel intérêt puisqu'il n'existe pas de matériau parfait, choisissons le meilleur pour chaque emploi, selon les contraintes rencontrées et les objectifs recherchés… ou au moins ne choisissons par un des plus imparfaits.

Papy Claude merci beaucoup Monsieur , je vous suis très reconnaissant, vous me donnez beaucoup d’astuces pour la réalisation de mon projet, je regarde vos vidéos nuit et jour, merci infiniment pour votre travail

If it's possible !

Bonjour Alexandre. Merci pour vos 2 questions. Polystyrène : chaque fois que possible, éviter ce type d'isolant car issu d'une ressource fossile (le pétrole), non recyclé (recyclable mais ne l'est pas et ne le sera jamais), non perspirants, dangereux en cas d'incendie … (pour le recyclage : www.build-green.fr/polystyrene-ecologique-knauf-aurait-il-reussi-lincroyable/), (pour le risque incendie : kzfaq.info/get/bejne/a79jldl9utirmqM.html). ITE ou ITI : l'ite (par l'extérieur) n'est pas dénué d'intérêts mais ceux-ci ne sont pas flagrants par rapport à l'itv (par l'intérieur). Voici les liens 3 articles que j'ai écrits à ce sujet : www.build-green.fr/isolation-par-linterieur-ou-par-lexterieur/ www.build-green.fr/lisolation-par-lexterieur-la-solution-ideale/ www.build-green.fr/pourquoi-isoler-par-linterieur/

Merci pour les réponses et les liens vers la documentation. J’ai une nouvelle question. quelles seront les conséquences de la pose d’un matériau non perspirant sur un mur ?

Les murs en parpaing, dont on dit qu'ils sont étanches aux flux de vapeur d'eau, ne le sont absolument pas. Ils sont plus ouverts que les murs en pierre dure, il faut donc, même avec ce genre de murs, privilégier les matériaux perspirants. Zen isolant par l'extérieur, on bloque les sorties d'eau dans l'épaisseur du mur, ce qui n'est jamais bon. Voici un lien vers un tableau des différentes valeurs des matériaux, dont la valeur Mu (et n'oublions pas que des parpaings, c'est au mieux 4 parois de 2 cm de béton, donc 8 cm de béton, au pire 3 parois de 2 cm, soit 6 cm de béton, ce qui est finalement peu, en tout cas beaucoup moins que des murs en pierre … dont tout le monde dit qu'il ne faut pas les isoler par l'extérieur avec un isolant non perspirants (alors que dans les faits, ils laissent moins passer d vapeur d'eau que les parpaings ! Une preuve de plus que beaucoup est dit sans chercher à analyser à fond) : www.build-green.fr/produit/comparatif-des-materiaux-isolants-selon-leurs-performances/ Et, par ailleurs, ce matériau est une telle catastrophe environnementale qu'il faut, de fait et rien que pour ça, s'en interdire l'emploi dès lors que d'autres solutions existent.

Merci Camille d'apprécier mes vidéos. Je pense que face à votre projet il serait bien que nous échangions un peu sur le spécificités d votre projet. Un coaching téléphonique d'une heure devrai suffire, auquel cas l'investissement serait très minime, 80,00€. Voici comment j'opère !si vous êtes Ok, merci de me faire un courrier par la page contact d mon site en lien ci-après (la réservation via PayPal ne fonctionne pas correctement) www.papyclaude.fr/particulier/accompagnement-avant-travaux/analyse-avant-travaux-1/

Il faut couper autant de ponts thermiques que possible et, dans votre cas, si vousne soufflez pas d'isolant au niveau des murs dans le plénum que vous allez créer, alors vous aurez loupé 80% de vos objectifs… Oui, il faut souffler dans el volume direcytement en conta-ct avec votre hab-ir-tat… attention par contre, c'est à bien maîtriser !

​​@@PapyClaudemerci bcp de votre confirmation. Donc la réponse est oui, à condition de bien remplir l'espace jusqu'aux murs afin que le vide soit comblé à 100%. Et je ne comptais pas le faire moi-même , je vais m'adresser à un pro spécialiste.

@@oldschoolgeek4199 Bonne décision je pense

Il faut maîtriser les flux d'air autant depuis l'intérieur que depuis l'extérieur.Faute de l'avoir maîtrisé et imposé, le syndicat de la laien de verre a perdu un procès fleuve il y a quelques années. Par contre ce qu'on peut dire c'est que la qualité de la mise en œuvre et la nature de l'isolant (la laine de bois est plutôt favorable à l'étanchéité au vent… si elle est bien posée). J'ai écrit un article sur les coulisses de ce procès : www.soigner-l-habitat.com/actis-vs-st-gobain-pourquoi-la-laine-de-verre-a-perdu-son-proces/ Un mix laine de bois, laine de roche… pourquoi ? Aucune laine de roche, qu'elle qu'elle soit ne sera jamais, globalement, l'équivalent d'une laine de roche (pas assez de chaleur spécifique, c'est de la physique et rien ne changera cet état de fait). Pour compenser, il faudrait une laine de roche 2,5 fois plus dense qu'une laine de bois… ces ui, inéxorablement, impacterait négativement le lambda (pas assez d'air emprisonné).

@@PapyClauderéponse claire et précise, merci ! Le mix bois-roche fait suite à une erreur de ma part.

@@christophelacroix2605 Dommage !

@@PapyClaude merci pour le lien ! Quelle leçon ! Je découvre avec horreur (sic) que le couvreur m'a déconseillé le pare-pluie, que je ne vois pas de prises d'air basses, et que le nombre de prises d'air hautes est sûrement. "au standard"... Le vide sanitaire est quasi plus ventilé que le toit ! Si je mets des grilles dans le cache-moineux, quel ratio puis-je utiliser ? 1 entrée pour une sortie (diamètre équivalent) en doublant l'existant ?

@@christophelacroix2605 Bonjour Christophe, Il est vrai que ce que je développe est assez disruptif, donc les artisans n'ont pas encore tout intégré de l'évolution des concepts qu'on découvre, petit à petit, les désordres générés par nos évolutions… Dans l'idéal il faudrait une prise d'air par cache moineau, pas facile à créer en place mais ceci aiderait beaucoup à la bonne gestion de la chaleur l'été. L'équivalent en ø d'entrée et sortie est une bonne base mais, de toute façon, comme en toutes sitconstances, c'est le maillon faible de la chaîne qui détermine sa performance totale, donc le plus petit ø régulera le débit.

Je conseille surtout de vous poserv la question "Pourquoi une ITE sur des murs ?" N'y aurait-il pas des besoins plus urgents ou plus pertinents ? Pour vous aider à faire votre choix, je vous recommande l'analu-yse d'y-un habitologue, vous aurez alors des certitudes, y compris s'ul faut ou non casser les briquettes ! kzfaq.info?event=channel_description&redir_token=QUFFLUhqa2tTeHFtZmdZa2hMMnZib29nbnZRUXFkWk01UXxBQ3Jtc0trTXVvcUZ0bHByNlItZTZRaHF2SElzd1k5YlpMajVBbm15VUhMak53TXRKTWRDbm4wbHRoYmlKbDl5SnhlWTM1NEh6WVkxM0hZbkJEelZoa05FdW8xazYyUVdSemlzc0hPTmY2QlhyWEJ2S2ZZTF9kNA&q=https%3A%2F%2Fhabitologue.com%2Fyb

Bonjour, J’ai exactement la même maison que vous, Qu’avez vous décidé de faire ? Cordialement JL

​@@jeremydu50ltrc48 Et si les choix de @bebopdoq3q n'étaient pasq pertinents, pas les mieux adaptés, voire inadaptés, vous feriez les mêmes par mimétisme ? - Etes-vous dans la même région, - Avez-vous les mêmes contraintes climatiques ? - Vos sols sont-ils identiques ? - les topograhies des leieux sont-elles les mêmes ? - Etes-vous exposés aux mêmes vents dominants ? - Vos maisons ont-elles la même configuration ? - Etes-vous tous les deux dans iune maison de plain pied po dans une maison à étage ? - Sont-elles exposées de la même manière ? - Vos familles sont-elles de même composition ? - Vivez-vous de la même façon ? - Avez-vous les mêmes ressentis de confort, les mêmes attentes ? - Vous chauffez-vous de la même manière ? - Avec les mêmes systèmes (poêle centralisé ou chaudière et distribution de chaleur par circuit d'eau, aboutissant à des radiateurs ou à un plancher chauffant ou à des murs rayonnants …) ? - Avec une pompe à chaleur ? En géotthermie ? Avec circulation d'eau ou air pulsé ? - Disposez-vous d'un bon renouvellement d'air, opérationnel et… utilisé ? Voilà des points et des questions qu'un habiyologue regarde et étudie avec son client. Ces approches sont nécessaires et de l'étude de tous ces points vont apparaître des intérêts pour une solution ou une autre… une même maison habitée par des personnes différentes ne sera probablement pas abordée de la même façon, alors des maisons différentes pour des occupants différents… La meilleure décision, en l'état actuel de votre projet, me semble d ecommencer par une analyse d'habitologue, certainement l'investissement le plus rentable que vous pourrez faire : habitologue.com/yb

200 mm, déjàç une bonne prestation, 300, encore mieux, il faut mettre le paquet sur le toit, ailleurs on peut mettre beaucoup mpoins. Il faut toujoiurs un pare-vapeur sous un isolant fibreux (face Chaude) quelque soit sa nature, minéral, animal, végétal.

@@PapyClaude bonsoir papy claude un grand merci pour vos réponses , je suis fan de vos videos , belle fêtes de fin d'année

@@giovannimarroccomediumspir6796 Merci Giovanni, bonnes fêtyes à vous aussi.

Perso ma préférence va vers la ouate de cellulose projetée humide : kzfaq.info/get/bejne/ac2PoMSq0rbIoWQ.html

Voici mon avis sur la question : - www.soigner-l-habitat.com/isolants-minces-sont-ils-reellement-efficaces/

@@PapyClaude merci pour votre réponse et pour l'explication. Je comprends pourquoi leurs fonctionnent est très limité. Je vais m'orienter sur de la fibre de bois. Bonne continuation.

@@benjamincaliot8138 Bravo pour votre choix

Je vous signale papy que suis de maroc d une ville de atlas meyne

Je suis allé voir et ce que j'ai découvert ne me semble pas transcendant. En effet, le bilan n'est pas meilleur que celui du bois massif, au contraire. En effet, si ce type de matériau présente un peu d'intérêt, les questions à se poser sont : -1) apporte-t-il quelque chose de plus que d'autres matériaux avant lui, chacun individuellement ? -2) sue substitue-t-il à un matériau qui ferait défaut ? - 3) quel(s) avantage(s) spécifique(s) apporte-t-il par rapport à ses prédécesseurs ? A ces 3 questions, les réponses sont non ! - Déphasage : dépasser 1#2 heures ne sert plus à rien ! - Imputrescibilité ? Par exemple, si des bois ou de la terre sont bien utilisés et correctement mis en œuvre, il leur est inférieur. - Incombustibilité ? Combien de maisons flambent par année, j'entends par là, au niveau de leur structure ? Très peu et, le plus souvent, ce sont les équipements secondaires qui flambent… il en nécessite au même titre que les autres matériaux. - Inertie ? Le fabricant est très affirmatif mais ne communique pas la densité et le pourcentage de chacun de ses éléments et, sans ces données, impossible de confirmer ou infirmer ses dires. Cependant et attendu qu'il comporte peu de bois, matériau disposant de la meilleure chaleur spécifique dans ce qui est cité et, attendu qu'il comporte manifestement également assez peu de ciment et autres éléments minéraux, certes à faible chaleur spécifique mais à forte densité (or au total c'est environ 790 kg/m3 qui nous est annoncé en global, ce qui est très faible), je crains fort que ces affirmations relèvent plus de l'incantation que de la réalité. - Isolation ? Je ne suis pas un grand partisan de l'isolation à outrance mais avec le lambda annoncé de 0,16 dans le peu de documentation technique disponible, étant assez averti du ce qu'est l'isolation et du calcul du R, avec 0,30 mètres d'épaisseur, on obtient R=1,875… il faut une belle dose d'audace pour prétendre que de tels murs se passent d'isolation selon les normes de construction neuve… Audace et, osons le, de malhonnêteté. Le bilan CO2 ? Je rappelle ici que les fiches INIES sont déclaratives et que, se prémunissant contre ce fait, elles commencent toutes avec une déclaration l'INIES qui est de dire "que cette fiche ne l'engage en rien et que le contenu est fait sous la responsabilité du déclarant" (je ne reproduis pas leurs termes mais l'esprit…). Alors dire que le bilan CO2 est favorable mais occulter le méthane, qui est quand même 24 fois plus puissant en terme d'effet de serre, relève là aussi d'une grande audace. Prévoir un enfouissement à 50 km du point de collecte et un point d écollette, d mémoire, à 0 km est aussi assez audacieux… Bref, si vous voulez construire avec ces type d matériau, pourquoi pas, mais pour ce qui me concerne je ne revendiquerais pas d'être très engagé dans l'écologie, simplement correcte, ce qui est déjà bien en soi.

Tout d'abord les toitures terrasses et autres s toits plats sont, d'un point de vue technique et thermique seul, une pure erreur, au mê"me titre que de transformer des combles perdus en combles habitables : perte du volume tampon du pseudo grenier, préjudiciable aussi bien l'hiver que l'été… plus encore l'été d'ailleurs car -notre organisme souffre beaucoup plus du chaud que du froid. Il faudrait, à mon avis, prévoir une ventilation entre l'isolant et le plancher EPDM, au moins 10cm d'air ventilé. Pour que votre isolant fonctionne au mieux de ses capacités, il lui faudrait un film parepluie HPV directement posé sur la ouate de cellulose. Pour être très clair dans mes explications le filet d'air ventilé prés,isé ci-avant circulerait entre la membrane parepluie HPV et votre plancher OSB. Pour être certain de la bonne ventilation de cet ensemble, il faudrait prévoir une ventilation mécanique forcée. En sous-face de l'isolant, il faudrait un pare vapeur de Sd minimum 100 et une bonne étanchéité globale au vent. Je préconise tout ceci car rien ne garantira jamais que la membrane PV de Sd 100 minimum ne sera pas un jour percée, déchirée ou dégradée et alors de l'air chargé en vapeur d'eau pourrait s'infiltrer dans l'isolant, se refroidissant l'hiver, des points des rosées ponctuels pourraient s'y produire avec les conséquences qu'on peut imaginer : perte d performance de l'isolant, tassement d celui-ci, dégradation des bois, condensation sous l'OSB le rendant alors sujet à la moisissure et donc ne pouvant, à terme, plus assurer la tenue de la couverture… Par ailleurs, 200mm de ouate de cellulose n vrac seront probablement trop faibles pour une lutte correcte contre les fuites d chaleur l'hiver et très insuffisants pour assurer un bon déphasage l'été. Désolé de ces infos, il n'est pas certain que le pire se produise… mais il reste possible. Pour moi, en toiture plate, la seule véritable bonne solution est le verres cellulaire, un peu faible en matière de chaleur spécifique mais ce handicap peut être contré par des parements intérieurs lourds.

Vous allez directement à un sinistre car l isolant sous une membrane d étanchéité, même si vous mettez un pare vapeur sous votre isolant, va condenser et se égorger d eau et vous allez vous prendre votre plaque de plâtre sur la figure C est le beaba de la mise en oeuvre d isolant sous l'étanchéité

Bonjour Paolo, merci d'apprécier mon travail. Oui, il faut mettre un Pare-vapeur, de Sd d'environ 18 mètres dans votre configuration. Il vaut mieux un isolant moyen, bien protégé par un PV qu'un très bon isolant mal protégé, alors dans votre cas, un très bon isolant très bien protégé, c'est le top ! Je précise que le PV doit être posé dans les règles de l'art : les lés sont jointoyé, le PV est raccordé aux éléments de structure, il doit être non percé, non déchiré (en cas de percement, mettre une rustine via une bande collante adaptée).

@@PapyClaude bonsoir, Merci pour votre retour, quand vous.dites aux éléments de.structure, dans mon cas fourrures plaque de plâtre?et comment fixer le pv sans le.percer? Pour info j'ai posé la 1 er couche entre chevron, et je ne suis pas.déçu, c'est autre chose que de la laine minéral, malgré la poussière de bois on sent un côté sain, j'aime beaucoup. Merci de.donner de.bons.conseils, je travaille dans bâtiment et pas.facile de changer les habitudes.

Pour fixer, on peut agrafer si c'est dans du bois, soi-non double face (pour agrafer, éviter les agrafeuses marteau, ça tape trop fort et déchire les PV, préférer une agrafeuse à levier. C'est vrai que c'est franchement autre chose, le ressenti est direct meilleur. Vous serez bluffé lorsque vous aurez fini et que vous exploiterez votre habitat. Vous ne refermerez vraiment pas vos choix, bien au contraire ! je suis entrain d'écrire des articles qui paraîtront sur Build Green et je décortique en ce moment le différentes qualités qu'il faut chercher dans un isolant, ce qui change tout, c'est la chaleur spécifique et, dans la laine de bois, elles est carrément 4 fois supérieure à celle d'une laine d e bois. Ces articles paraîtront courant janvier et février. J'en ferai aussi assez rapidement des vidéos.

Bonjour Marc, plutôt qu'isoler, il serait préférable de commencer par un puits canadien, ou climatique (c'est la même chose). Vous gagnerez beaucoup plus en confort qu'avec une isolation par l'extérieur et, si vous disposez de terrain pour l'installer, cela vous coutera probablement moins cher. A coupler bien sûr avec une VMC (une simple flux fera très bien l'affaire). Le principe est qu'à plus de 1,5 mètre de profondeur, le sol est beaucoup moins chaud que l'air, l'air qui circulera dans la conduite enterrée se rafraichira, ce qui provoquera la condensation d'une partie d l'humidité contenue dans l'air. Le résultat est que l'air entrera dans la maison moins chaud et plus sec, donc infiniment plus confortable. Le puits canadien doit être raccordé avec les points d'entrée dans la maison. La VMC extrait l'air depuis la cuisine, la salle de bain et les wc, on crée un passage sous les portes intérieures pour que l'air puisse circuler et on permet le remplacement de l'air via les bouches d'entrée d'air qui sont raccordées au puits canadien. Il faut bien sûr, pour ce soit efficace, tenir les menuiseries extérieures fermées et que les parois de la maison soient assez étanches au vent. En cas de besoin, un petit ventilateur peut être couplé au puits canadien pour forcer l'entrée de l'air frais et sec.

@@PapyClaude Merci pour tes conseils tu est au top comme toujours 👍😁

J'oubliais, j'aménage un grenier en pièce de vie ,-)

Bonsoir Salvatore, j'imagine que le roofing est une autre appellation d'un isolant en mousse. Il faut savoir que, si tel est le cas, ces mousses sont très largement fermées aux migrations de vapeur d'eau et qu'installer dessous un isolant fibreux ne peut être envisagé qu'en optant pour une pose, sous l'isolant rapporté, en face chaude, donc intérieure, d'un pare-vapeur doté d'un Sd de plus de 100, donc classé infini. L'espace entre les 2 matérriaux ne sert strictement à rien, si ce n'est, s'il est ventilé, à évacuer la valeur d'eau… mais alors il rend inutile l'isolant supérieur, lequel n'est plus opérationnel que l'été, période à la elle ce serait celui du bas qui ne servirait à rien !

@@giorgiocastro alors prévoyez, en même temps, un excellent système d renouvellement d'air, en continu, faute de quoi vous serez probablement confronté à des phénomènes de condensation…

… cependant, je ne vois pas l'intérêt, d'une part, d'utiliser un isolant pétrochimique et, d'autre part, de le mixer avec un éventuel isolant minéral : cumul de 2 isolants très, mais alors très moyens sur le plan global, au-delà du lambda, lequel n'est pas le critère le plus important, loin s'en faut, même si la législation, beaucoup d thermiciens et de vendeurs affirment le contraire. Ils vont carrément à l'opposé de Fourrier, celui qui a posé les principes de base de la gestion des flux de calories, c'est vous dire l'étendue de la désinformation dans laquelle tout le monde entretient tout le monde… je sais, ça semble prétentieux de p"penser avoir raison contrez l'immense majorité, et pourtant c'est simplement l'application des lois physiques !

Bonsoir, merci pour votre réponse détaillée, ouf de l’aide 😀 Non, le roofing est une sous toiture de bitume. Ce sont des rouleaux de bitume de 3mm à 4mm d’épaisseur à vue d’oeil. On en voit sur les toits des abris de jardin ou sur une toiture plate. J’imagine que votre analyse sera différente étant donné que ce n’est pas un isolant thermique. Donc ce bitume est positionné sous les tuiles et recouvre toute la maison.